samedi 29 décembre 2018

Amanda Lear et l'amour : "Alors là, mon chéri, j'ai fermé la boutique !"

Elle ne manque ni d'humour, ni de mordant lors de ses interviews... Amanda Lear le prouve une nouvelle fois avec le magazine "Nous deux" avec lequel elle parle de sa bonne résolution : celle de lever le pied. En amour comme au boulot...


Amanda Lear n'a qu'une seule bonne résolution pour 2019, celle de mieux vivre : "Être en bonne santé et profiter de chaque instant... Le reste, j'en suis revenue !" C'est ce que confie la comédienne, chanteuse et animatrice dans une interview savoureuse accordée au magazine Nous Deux, en kiosques ce 29 décembre 2018.


Dans cet entretien, la star évoque son désir de travailler un peu moins pour vivre un peu plus. Profiter de sa maison, de ses chats et retrouver une pratique quotidienne de la peinture. Amanda Lear parle d'une semi-retraite professionnelle. En revanche, elle a définitivement renoncé à l'amour : "Alors là, mon chéri, j'ai fermé la boutique ! Ça ne m'intéresse plus ! Je suis très bien toute seule. On s'habille comme on veut, on mange ce qu'on veut, on regarde ce qu'on veut à la télé, on ne rend plus de comptes... J'ai été mariée pendant des années, ça va, j'ai donné. Mais quel bonheur d'être seule ! Une petite aventure, ça fait pas de mal, mais vivre ensemble, se laver les dents ensemble, se coucher ensemble quel enfer !"



C'est avec le même humour qu'elle évoque le mystère qui entoure ses origines ou son âge : "Qu'est-ce qu'on se fout de mon enfance et de ma date de naissance, martèle Amanda Lear. Pourquoi les gens ont envie de vous voir enfant, quand vous étiez moche, avec la peau grasse et les dents en avant ? On aimerait croire que je sois née en Mongolie, en Transylvanie, au pays de Dracula... Peu importe, gardons une part de mystère ! L'important est dans ce que l'on cache. Se montrer à poil est anti-érotique, mieux vaux suggérer. Amanda Lear est une illusion. Ma maison de disques, à l'époque, m'avait fabriquée comme une savonnette." Une sacrée savonnette !

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mardi 11 décembre 2018

Amanda Lear on her relationship with Dalí: For his wife, " It was almost a relief "

With Anne Roumanoff on the Radio Europe 1, the singer looks back on her years alongside Salvador Dalí, when she was the muse and companion of the artist.

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ANNE ROUMANOFF, THAT'S GOOD
Salvador Lear's muse, Amanda Lear also had a relationship with the artist for about fifteen years. Invited on the occasion of the release of her book Délires , Anne Roumanoff Tuesday, she returns on this status of "muse".

"I did not plan anything" When she met Salvador Dalí in 1965, Amanda Lear took painting classes with him before quickly becoming his model. "I had no ambition," the singer defends herself, "I did not plan anything". "I used to meet people just like that, and I was pushed to do things," she describes.


From 11h to 12h30, it's Anne Roumanoff every day on Europe 1! 


For Dalí's wife, "it was almost a relief." Despite the relationship he had with Amanda Lear, Salvador Dalí was married at the time, with Gala Dalí. According to Amanda Lear, the situation did not bother the artist's wife, on the contrary. "For her, it was almost a relief that her husband found a younger muse," says Amanda Lear. "Gala said it was fine if her husband needed a muse to show up in the evenings, and she said, 'I've been stealing it for 50 years,'" she recalls. And for her part, the artist's wife could go about her business and do what she wanted. "She was quiet, she even gave me the keys to the house," Amanda Lear remembers.

In 1979, Amanda Lear eventually married another man, Alain-Philippe Malagnac, in Las Vegas. "He had taken it very badly because he was very possessive, he felt that I was escaping him," she says. "As a message, Dalí sent me a mortuary crown telling me that I was going to suffer a lot!"



mercredi 5 décembre 2018

Délires – Amanda LEAR

Pétillante icône

Dans ce livre, Amanda Lear partage tout, et c’est vraiment drôle. Quel sens de la répartie ! Quelle autodérision ! La superbe couverture du livre est déjà éloquente : elle rayonne. Elle ose tout dire, se moquant des autres et d’elle-même. Croqueuse d’hommes, manager de sa carrière, muse et amie de Dali, elle a un passé extraordinaire, et entend bien ne pas s’arrêter là. Elle nous fait part de ses réflexions sur l’âge, a un regard assez lucide sur sa profession, observe les différences qu’elle a pu constater entre la timide mais fidèle France et l’exubérante Angleterre par exemple. Elle a une vie incroyable, et a rencontré les plus grands : Jimi Hendrix, Elton John, Freddie Mercury, la princesse Diana, Kirk Douglas… Elle râle quand David Bowie salit leurs draps avec son maquillage. Elle dit non aux prestigieuses Folies Bergères, refusant d’être coincée plusieurs années au même endroit. Dotée d’un tempérament de feu et d’un humour cash mais jamais méchant, elle nous livre ici ses souvenirs, la folle vie parisienne des décennies précédentes avec des noms tels que Castel, le Palace, et ses petites phrases qu’on adore (« Mieux vaut être belle et rebelle que moche et remoche »). Quel excellent moment en sa compagnie !

HD


Parution le 8 novembre 2018 aux éditions Cherche Midi

16 €

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Amanda Lear: «Ho detto che ero un uomo perché non sapevo cantare»

di ROBERTA MERCURI

L'artista francese, ospite di Mara Venier, ha svelato che il mito sulla sua ambiguità sessuale l'ha creato lei: «Avevo bisogno di pubblicità». Oggi è single ma nel suo passato, oltre a qualche toy boy, ci sono uomini importanti: Salvador Dalì, David Bowie, e il marito Alain-Philippe, morto nel 2000: «Il mio vero grande amore»


«Ho fatto tutto io. Non sapevo cantare e mi serviva pubblicità. Con la mia voce particolare si poteva credere che fossi un uomo e ci ho giocato. Ha funzionato». Intervistata da Mara Venier a Domenica In, Amanda Lear ha chiarito il mistero sulla sua ambiguità sessuale. Ammettendo di averlo creato deliberatamente, «altrimenti sarei stata dimenticata». Nel salotto di Raiuno la cantante e attrice francese non ha però voluto svelare la sua vera età (72 o 79 anni a seconda delle fonti): «Vi autorizzo a utilizzare il carbonio quando sarò morta per scoprirlo», ha detto scherzando.

Per poi parlare della sua passione per i giovanotti: «Hanno un’ingenuità che mi piace, li porto io al ristorante così non rischio di finire al McDonald. Preferisco che non siano ricchi perché fanno gli splendidi e sono boriosi. Invece con un ragazzo normale posso godermi le piccole cose».

Oggi l’artista è single e vive a Parigi coi suoi dodici gatti, ma alle spalle ha tante storie importanti. Tra cui, naturalmente, quella con Salvador Dalì, di cui fu amante per sedici anni.



«A Dalì piaceva molto il mio osso del bacino. Quando lo incontrai mi recitò una poesia di Garcia Lorca. Io ero cotta, innamorata persa. Se fu un amore platonico? Beh sì, lui era impotente, non aveva figli e gli serviva una musa. Mi ha insegnato l’arte e la filosofia della vita. Mi manca molto». Dopo il pittore arrivò David Bowie, «l’uomo più truccato con cui sono andata a letto».

Poi, il 13 marzo 1979, la Lear sposò a Las Vegas l’aristocratico francese Alain-Philippe Malagnac d’Argens de Villèle, produttore musicale, morto nel 2000, a 49 anni, nell’incendio della loro villa in Provenza. Amanda, che gli dedicò l’album Heart, non lo ha mai dimenticato. Tanto che a Mara Venier ha confessato: «Io penso che nella vita abbiamo un solo grande amore. E per me è stato mio marito. L’ho conosciuto a Parigi, prima organizzava spettacoli, ma si era rovinato per fare un programma e quando l’ho incontrato non aveva una lira. A me piacciono i morti di fame». Nel 2002, conducendo Il brutto anatroccolo su Italia 1, l’artista conobbe il modello Manuel Casella, più giovane di lei di 44 anni, a cui rimase legata fino al 2008. Dal 2014 al 2015 ebbe un altro toy boy, l’attore Anthony Hornez, di 37 anni più giovane: «È carino, romantico, brillante, e sì, ci faccio pure l’amore», raccontava all’epoca.



Anche oggi, confessa Amanda, i pretendenti non le mancano. Tuttavia, come ha chiarito con una battuta fulminante, ormai «la boutique è chiusa»: «Il prossimo uomo che mi vedrà nuda sarà il medico legale sul tavolo dell’obitorio».


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lundi 3 décembre 2018

Amanda Lear : La reine de la répartie  ....

Dans son ouvrage “Délires”, Amanda Lear nous livre ses plus belles répliques… 
Un délice de drôlerie et d’autodérision ...

Mannequin, peintre, chanteuse, actrice, égérie de Salvador Dalí et maîtresse de David Bowie, Amanda Lear semble avoir vécu mille vies et croisé sur sa route les plus grands esprits de son époque ! Cette artiste iconique et mystérieuse publie Délires aux éditions du Cherche midi, un florilège hilarant de reparties savoureuses, de réflexions sérieuses et de piques bien placées dont nous vous livrons quelques extraits…

Gala dinner for the Children.Peace..Africa..charity.
1/12/2018


Pour l’amour du muscle
« La seule chose qui m’intéresse  dans le sport, ce sont les vestiaires. »

On ne peut pas être et  avoir  été…
« Je croise à la pharmacie ceux que je croisais en discothèque il y a quelques années. »

Lucidité frustrante
« Les gens ne parlent jamais de ma musique. Normal, ils sont trop occupés à regarder mes jambes. »

Tout est dit
« La notoriété, c’est lorsque l’on remarque votre présence. La célébrité, c’est lorsque l’on note votre absence. »

Plutôt Brigitte qu’Yvonne !
« La presse a fait ses choux gras des faux airs que Brigitte Macron aurait avec moi. “Faux”, oui, c’est le mot ! Il faudrait penser à leur acheter des lunettes ? Cela dit, quitte à ressembler à une première dame, je préfère Brigitte Macron à tante Yvonne [de Gaulle] ».

Coquine
« Ce n’est pas la taille qui compte. C’est le goût. »

Retour de bâton
« Régine m’a gentiment citée dans l’une des feuilles de chou qui s’intéresse encore à elle : “J’ai connu Amanda Lear quand elle était un homme.” Eh bien moi, j’ai connu Régine quand elle était une femme. »

Balance planétaire
« Je veux perdre du poids, mais seulement à certains endroits. Miami, Los Angeles ou Capri… »

Rassurant
« Une bonne nouvelle pour les cons : la méduse a survécu plus de six cent cinquante millions d’années alors qu’elle n’a pas de cerveau. »

Beau oui, comme Bowie
« Moi qui raffolais des guitaristes musclés aux cheveux longs, je me suis retrouvée avec une crevette à la tignasse rouge vif qui se coiffait comme Régine. C’était la première fois que je sortais avec un homme qui se maquillait plus que moi. Et surtout qui ne se démaquillait pas ! Je ne compte plus les taies et les traversins qu’il m’a salopés. »

Au lit avec le président
« J’ai bien connu Ivana Trump lorsqu’elle était encore mariée à Donald. Elle me proposa un jour de venir exposer mes tableaux dans le domaine que son milliardaire d’époux possédait à Mar-a-Lago, en Floride. J’ai refusé, me disant que je n’allais tout de même pas me fourvoyer chez ce gros plouc. […] Ivana me confia plus tard que Donald Trump passait mon tube Follow Me chaque fois qu’il s’apprêtait à lui faire l’amour. “Pour se mettre en condition”… Ma participation virtuelle et involontaire aux ébats des Trump n’a pas dû suffire, puisqu’ils ont fini par divorcer. »

Encore une question de  taille !
« J’ai rencontré plusieurs fois Elizabeth Taylor. La plus grande star du monde était gentille et simple, sans prétention. Mais c’était un vrai pot à tabac. Je me suis d’ailleurs souvent étonnée de constater que nombre d’immenses stars étaient toutes petites. Frank Sinatra, Tony Curtis, Gina Lollobrigida… Quelle déception ! Tout petits, je vous dis ! »

Merci Momie…
« Un admirateur vient de se jeter dans mes bras en me remerciant d’exister… depuis si longtemps. Ça fait toujours plaisir ! Mais il n’a pas tort. Je suis une survivante. J’ai la chance d’être encore là et d’avoir rencontré des gens extraordinaires : Dalí, Andy Warhol, David Bowie, Mitterrand… C’est formidable. Je risque de croiser qui, aujourd’hui ? Jean‑Pierre Foucault, Jenifer… Ou pire : Nabilla. »

Déception
« Un jour, JoeyStarr m’a demandé un autographe. J’étais ravie. Sauf que c’était pour sa mère. »

On ne s’éternise pas
« La première chose que je fais après l’amour ? Je lui appelle un taxi. »

À l’italienne
« C’est fou ! À 80 ans passés, Silvio Berlusconi a encore des projets électoraux ! À l’époque où j’ai officié sur Canal 5, en Italie, c’était un bon patron de chaîne, sans plus. Par contre, il ne m’a jamais sauté dessus. Bien élevé ? Pensez-vous ! C’est surtout que je ne suis pas son type. Il aime les brunes plantureuses avec de gros seins et des poils sous les bras ! Je n’avais aucune chance. »



dimanche 2 décembre 2018

Amanda Lear è un tornado ....

Amanda Lear è un tornado: Dalì, i ragazzi e la "boutique".
Poi svela la verità sul suo sesso ... 
L'attrice e cantante si racconta senza filtri a Domenica In




Straripante, affascinante, arguta, solitaria e selvaggia: è Amanda Lear. La cantante è stata ospite di Mara Venier a “Domenica In” e ha travolto con la sua simpatia il pubblico presente e a casa. Una battutista fuori concorso: “La boutique è chiusa, il prossimo uomo a vedermi nuda sarà il medico legale. Mara, non mi senti? A Natale ti regalo un amplifon”.



Il tornado Amanda Lear irrompe nella garbata “Domenica In” di Mara Venier (il programma dovrebbe essere ribattezzato “Casa Venier” per la bravura della conduttrice nelle interviste e nel tenere la barra dritta di fronte ai non risolvibili problemi tecnici) e incolla i telespettatori allo schermo. Si parte con la Venier: “Come sei sexy, guarda che spacco”, “Stai ferma” le intima la Lear che rivela: “Ho avuto un burnout”, “Che?! Bernardo?” risponde Mara afflitta da problemi di audio, “Nooo, un esaurimento, stanca stare in tutte le sere in teatro per anni e anni. Mi sono fermata e sono andata casa dai miei gatti. Faccio l’olio di oliva”, “Ah quello nuovo!” sorride la Venier. Amanda Lear si descrive come una persona sui generis: “Io vivo da sola e non ho bisogno di nessuno, non sono una diva con camerieri, maggiordomo, autista. Sono libera, control free”. E parte un esilarante e autoironico botta e risposta. Mara: “Saremo perfette per vivere insieme” e la Lear: “No grazie”, “Ci potremmo sposare” insiste la Venier e quella: “Eh sì siamo coetanee”, ma la conduttrice veneta non ci sta: “Eh no, io sono più giovane di te! Ah bella, ma se eri un uomo ti sposavo”. Amanda Lear rifiuta la proposta di matrimonio: “Ma non mi piacciono le bionde…”. La Lear scherza anche sulle sue canzoni: “Eh sì belle, mi hanno pagato l’affitto e qualche diamantino”.


Amanda Lear e la carriera in Italia
La pittrice torna indietro con la memoria: “Lavoravo in Francia e non pensavo di venire in Italia. Mi chiamò nel 1978 Pippo Baudo a Campione d’Italia, non pensavo di funzionare perché ero alta e magra e in Italia andava la donna formosa. Invece la gente si è innamorata di me. Devo tutto al pubblico italiano”.

Amanda Lear e l’amore
Mara Venier indaga sulla vita sentimentale e la Lear: “Io penso che nella vita abbiamo un solo grande amore e per me lo è stato mio marito. L’ho incontrato a Parigi, prima di conoscermi organizzava spettacoli, ma si era rovinato per fare un programma e quando l’ho incontrato non aveva una lira. A me piacciono i morti di fame, mi piace invitare i ragazzi giovani perché hanno una bella ingenuità, li porto io al ristorante così non rischio di finire al McDonald”. Mara Venier indaga: “Sei fidanzata?”, “Ho chiuso la boutique (la Venier inizia a ridere come se non ci fosse un domani, nda). Non mi interessa più e non faccio mai il primo passo. Poi ci sarebbe il fenomeno della gerontofilia... In realtà sono un po’ selvaggia, la gente mi invita, ma non sono capace di ricambiare l’invito”. E poi le esce una battuta fulminante: “Il prossimo uomo che mi vedrà nuda sarà il medico legale sul tavolo dell’obitorio”.

Amanda Lear e Salvator Dalì
Ovviamente tra i grandi amori di Amanda Lear c’è il geniale Salvator Dalì: “In verità era molto tirchio, mai un regalo, non mi ha mai dato niente, neanche un quadretto, solo dei fiori. A Dalì piaceva molto il mio osso del bacino. Quando lo incontrai mi recitò una poesia di Garcia Lorca e io ero cotta e innamorata persa. Se fu un amore platonico? Beh sì, lui era impotente, non aveva figli e gli serviva una musa. Mi ha insegnato l’arte e la filosofia della vita. Io all’epoca facevo la modella e stavo a Londra, nel mio giro si fumavano le canne e lui mi disse ‘basta, d’ora in poi devi bere solo acqua naturale non gasata’. Mi ha ripulita completamente, mi ha cambiato, io ero molto rock… non di facili costumi (ride, nda)” e Mara: “Sì come no, una donna pia”, “Mi manca molto, davvero molto”.

Amanda Lear e i suoi misteri
L’artista affronta anche il suo sesso e la sua età, da sempre molto discussi. “La mia ambiguità mi ha aiutato tantissimo. Da dove nasce? Da me! per farmi pubblicità, scusa eh, ma una che non ha voce e non sa cantare, qualcosa deve fare. Mi serviva per provocare, altrimenti sarei stata dimenticata completamente”. Poi Amanda Lear fraintende una domanda e dice: “Ah adesso vuoi sapere dell’età, allora vi autorizzo a utilizzare il carbonio quando sarò morta per scoprire…”, ma Mara Venier ha difficoltà a sentire e chiede ai tecnici :”Alzateme l’audio, per favore, non sento!” e Amanda regala l’ennesima freddura: “Per Natale, ti regalerò l’amplifon! Anch’io ho perso il 50% dall’orecchio”.

Amanda Lear e il futuro
“Cosa mi piacerebbe fare? Recitare in teatro in Italia perché lo faccio solo in Francia. Poi non lo so, lì sopra c’è qualcuno che decide per me, magari esco e incontro Woody Allen che mi cerca” rivela Amanda che poi, una su un milione di modelle, ammette: “Come faccio a mantenermi così? Cammino. Se faccio la dieta? Sono 40 anni che non mangio! Champagne? Poco. E niente pane. Poi sai prima delle sfilate si deve mangiare solo liquido”.

Amanda Lear e la vita
Si può ascoltare Amanda Lear per ore e ore, la pittrice è una calamita, la sua vita è un caleidoscopio, ma non rimpiange il passato: “Quando sono felice? Lo ero molto quando ero sposata, fu un periodo bellissimo, cantavo, viaggiavo molto con mio marito, però anche adesso sono felice. Ogni giorno che passa sono felice perché sono ancora viva. Chi mi ha fatto del male? I giornalisti pettegoli, le invidie nel mondo dello spettacolo, le critiche che però servono. Il teatro mi ha aiutato a trovare confidenza, a esser più tranquilla, oggi non mi preoccupo di essere la più bella. Sono contenta di essere viva, felice, di avere amici, va tutto bene”. Mara Venier la invita a tornare e quella con la solita ironia: “Vista la mia speranza di vita… se sono ancora qua torno”. Mara Venier e Amanda Lear finiscono a stonare “Cocktail d’amore”, non prima di dire: “Non parlarmi più di Tomorrow”. L'intervista è finita, peccato.

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Notizie Di Oggi ....

Verso la fine degli anni Settanta cominciarono a diffondersi diverse voci sulla possibilità che Amanda Lear fosse in realtà un uomo e che avesse cambiato sesso a Casablanca con due operazioni. La Lear ha sempre smentito le voci, dichiarando che si era trattato di un espediente escogitato da lei e Salvador Dalì per suscitare più curiosità e aumentare le vendite dei suoi album. E lo ha confermato oggi a Domenica In: «Avevo detto che ero un uomo per farmi pubblicità. Per attirare un po’ di interesse e far parlare di me ho detto questo». Ma c’è un’altra vicenda che ha fatto discutere: la sua età. Anche in questo caso la sua spiegazione è ironica: «Quanti anni ho? Quando morirò useranno il metodo del carbone-14 per datarmi». Nel frattempo scorrono le foto del suo passato da modella e lei precisa: «Come faccio a mantenermi in forma? Cammino. Quando facevo la modella seguivo diete, ora finalmente posso lasciarmi andare un po’». Recentemente invece è stata vittima di Scherzi a parte.

“Nuovo amore? Basta, sono single! Ho chiuso la boutique”
Amanda Lear è single: lo ha confermato a Domenica In. «Ho chiuso la boutique, finito. Ho conosciuto dei ragazzi splendidi e degli uomini meravigliosi. Il prossimo uomo che mi vedrà nuda sarà il medico legale». Con Mara Venier ha ricordato anche Giuni Russo: «Mi manca molto, era molto talentuosa». Tante le curiosità soddisfatte dalla Lear, a partire dal periodo più felice: «Quando ero sposata, vendevo dischi e facevo soldi, quindi viaggiavamo». Ora non si preoccupa del futuro. «Non mi sono fatta dei piani. Lascio decidere tutto a chi c’è lassù. Magari esco e incrocio Woody Allen che mi dice che mi cerca…». La conduttrice evidenzia allora la saggezza della sua ospite: «Il teatro mi ha aiutato, mi ha dato fiducia e ora sono più tranquilla. Non mi importa più di nulla, quello che conta è che sia serena e felice». Magari il futuro potrebbe riservale degli spettacoli in Italia: «Mi piacerebbe recitare a teatro in Italia, l’ho fatto in Francia ma qui non mi hanno ancora vista».



“Salvador Dalì? L’amore più grande resta mio marito”
Amanda Lear ha parlato anche della sua carriera a Domenica In, cominciata a dispetto di chi non credeva che avrebbe avuto successo. «Dicevano che non sapevo cantare. Non avendo la voce di Mina non pensavo di fare carriera, ma era il periodo della disco music». Ma ha parlato anche di amore, come quello per Salvador Dalì: «Mi sono innamorata di questo uomo che era più grande di me. Mi guardò negli occhi e cominciò a recitare una poesia. Amore platonico? Era impotente… Gli serviva una musa. Mi ha insegnato una filosofia di vita, mi ha ripulita completamente. Comunque mi manca tantissimo, era un uomo splendido. Era un pittore miliardario ma non mi ha fatto mai un regalo, era molto tirchio, solo dei fiori». Il suo grande amore resta Alain-Philippe Malagnac d’Argens de Villele, morto nel 2000 all’età di 49 anni nell’incendio della loro villa in Provenza. «Nella vita si può vivere solo un grande amore "


Amanda Lear non si nasconde più: ‘Ero un maschio? Ecco cosa sono veramente…’

Di Calogero Latino per kontrokultura.it ...Click !

La showgirl francese si confessa nel salotto di Mara Venier



Oggi pomeriggio a Domenica In, tra i vari ospite c’era anche Amanda Lear. La popolare showgirl francese ha rilasciato una lunga intervista nel salotto di Mara Venier. Una puntata tutta al femminile, infatti nello studio Rai sono arrivate anche: Stefania Sandrelli, Claudia Cardinale, Isabella Rossellini e Lorella Cuccarini.

Amanda Lear toglie ogni dubbio: ‘Sono una donna’
Amanda Lear ha regalato al pubblico di Domenica In un medley dei suoi brani più conosciuti e successivamente si è confessata a Mara Venier. La francese ha avuto diversi flirt in tutta la sua vita, tra cui David Bowie e Salvator Dalì. La showgirl, inoltre, ha raccontato di essere molto cercata dagli uomini, soprattutto dai ragazzi molto più giovane di lei. Si può dire che la Lear è stata una delle prima ad attuare la moda dei toyboy nel nostro Paese.

“Non sono fidanzata, ho chiuso la boutique. È tutto finito”,

ha dichiarato alla conduttrice veneziana.

Amanda Lear e l’intervista a Domenica In
Nel corso dell’intervista fatta a Domenica In, Amanda Lear ha svelato che da sempre ha giocato sull’ambiguità uomo-donna, ma da qualche anno ha deciso di non toccare più quell’argomento.

“Ho detto questa cosa per farmi pubblicità”,

ha rivelato la Lear affermato di essere a tutti gli effetti una donna. A Domenica In, inoltre, la francese ha ricordato il suo esordio nel nostro Paese, avvenuto nel 1977 a Campione d’Italia e ha ricordato anche alcuni aneddoti della sua carriera:

“Sono molto grata. Per non avere una bella voce come Mina, Vanoni, non pensavo di fare successo. Era il periodo della disco music”.

Amanda Lear "I trans? I just said that to make me advertising '

Amanda Lear Sunday In: "I do a trans? I just said that to make me advertising '



Amanda Lear never ceases to amaze and its ambiguities that featured a long period of his career, It is a kind of outing. Among the guests Mara Venier, Today at Domenica IN there is Amanda Lear that as he always does when discussing thanks to his intelligence and the way in which it ironically. Amanda Lear has 79 years but it is still in good shape and has not spoken of his past inibilizioni, of From there of which she was a lover and his “ambiguity”.

THE AMBIGUITY TO WHICH IT REFERS IS A STATEMENT MADE BY AMANDA DECLARED TO BE A TRANS...

"This ambiguity has helped me a lot because it was all about me – He explains Lear – I did everything I. For provocation was I to ride the wave, with my particular voice in fact you could believe that I'm a man and I played a lot. I needed advertising and we got it. Even today they talk so just imagine how it worked ".

Amanda and passion for young men

One of the “weaknesses” Amanda Lear by his own admission are always young boys, He teased by Venier responded well:

"YOUNG GUYS HAVE AN INNOCENCE THAT I LIKE.

I prefer that they are not rich because then they make wonderful and are puffed up. Instead a normal guy took him to the restaurant, I can enjoy the little things. They are usually men to come to me I will not go to them ".

MARA VENIER, HOWEVER, THE NOTES THAT SALVADOR DALI WAS RICH AMANDA RESPONDS: "IT WAS A CHEAPSKATE!».

The story that amanda ago Dali is beautiful and intense, but we would like to specify that it was a platonic relationship, but at the same time she fell in love right away that the artist had become the muse.

Admitting, however, that Dali was not very often gifts and that the greatest gift I received from him was just a bunch of flowers.

Salvador Dali: He was a painter – sculptor – writer – photographer – filmmaker – designer and screenwriter Spanish...

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Amanda Lear: «Se sono un uomo? Una domanda che mi ha aiutato tanto..»


L’attrice si racconta a Domenica In. «Il prossimo che mi vedrà nuda sarà il medico legale»
«Ho chiuso la boutique. Finita». Amanda Lear, vulcanica, divertente, autoironica, si racconta a Domenica In.

Senza filtri ha spiegato in una bella chiacchierata con Mara Venier come non sia fidanzata, perché la boutique, appunto, è chiusa. «Il prossimo uomo che mi vedrà nuda sarà il medico legale», ha detto, dopo aver raccontato anche della tirchiaggine di Salvador Dalì, con cui ebbe una nota relazione platonica.
Amanda ha risposto anche alle domande sulla sua natura, con il dubbio della sua sessualità che per anni ha tenuto banco nel mondo del gossip.
Un dubbio dovuto alla sua voce, un’ambiguità sul suo essere uomo o donna l’ha «aiutato tantissimo, perché si parlava solo di me». Da dove nasce questa voce? «Da me – ha risposto alla domanda di Mara Venier -, per farmi pubblicità: una che non ha voce, che non sa cantare qualcosa si deve inventare…». Quindi fu la stessa ex modella a far girare la voce che fosse un uomo. «Ancora ne parlano». Una strategia che ha davvero funzionato…

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Domenica in, la confessione di Amanda Lear sulla sua ambiguità ...

Domenica in, la confessione di Amanda Lear sulla sua ambiguità: "Io trans? Sì, l'ho detto"



Amanda Lear ha finalmente svelato la verità sull'ambiguità che accompagna il suo personaggio sin dai tempi in cui era musa dell'artista Salvador Dalì. Ospite di Domenica in da Mara Venier, la Lear, in splendida forma alla bellezza di 79 anni, ha chiarito: "Questa ambiguità mi ha aiutato tantissimo perché si parlava solo di me. Ho fatto tutto io - ha ammesso - Per provocazione sono stata io a cavalcare l'onda, con la mia voce particolare in effetti si poteva credere che io fossi un uomo e ci ho giocato molto. Mi serviva pubblicità e l'abbiamo ottenuta. Ancora oggi ne parlano quindi figurati quanto ha funzionato".

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Domenica In, Amanda Lear: «Ho detto di essere una trans per farmi pubblicità»



Amanda Lear ha finalmente fatto chiarezza sull'ambiguità che lìha riguarda da anni, sin dai tempi in cui era musa dell'artista Salvador Dalì, e lo ha fatto a Domenica In da  Mara Venier. La 79enne Amanda Lear ha finalmente parlato della cosa imo chiaro : "Questa ambiguità mi ha aiutato tantissimo perché si parlava solo di me. Ho fatto tutto io. Per provocazione sono stata io a cavalcare l'onda, con la mia voce particolare in effetti si poteva credere che io fossi un uomo e ci ho giocato molto. Mi serviva pubblicità e l'abbiamo ottenuta. Ancora oggi ne parlano quindi figurati quanto ha funzionato". E' stata solo una riuscita trovata pubblicitaria, Amanda Lear è una donna. Smentita Simona Izzo che in passato, dopo la sua esperienza nella casa del Gf Vip, aveva giurato che fosse un uomo.

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"Amanda Lear: età, figli e carriera. Cosa fa oggi la modella"

È una donna eclettica e inarrestabile (nella sua vita ha lavorato come modella, attrice,  pittrice, scrittrice, presentatrice televisiva, doppiatrice e cantante). È passata alla storia per il suo legame con uno dei massimi esponenti del surrealismo, Salvador Dalì, con cui ha vissuto per 15 anni. Lei è Amanda Lear e oggi ripercorriamo insieme le tappe della sua vita e scopriamo oggi di cosa si occupa questo straordinario personaggio, a cui il gruppo Indie-rock Baustelle hanno reso omaggio al termine del 2016 con un singolo eponimo.

Amanda Lear: breve biografia, gli esordi

Nata Amanda Trapp, la Lear nasce il 18 novembre 1939 e oggi ha 79 anni. Il suo luogo di nascita è Hong Kong, ma molto sulla sua vicenda biografica resta nel mistero. Sembra però che i suoi genitori si siano separati e lei si sia trasferita in Francia, a Parigi, dopo le scuole elementari A Londra, nei primi anni 60, studia presso la Scuola di Arte di San Martino e al contempo viene alla luce la sua storia d' amore con il frontman dei Roxy Music, Brian Ferry.
Nello stesso periodo inizierà la carriera di modella: esordisce lavorando per Catherine Harle, ma poi poserà anche per Paco Rebanne, per le testate  !Vogue &Elle ; e sfila sulle passerelle di Antony Price, Ossie Clark e Mary Quant in Inghilterra e, a Parigi, per Yves Saint Laurent e Coco Chanel. Viene notata dal pittore Salvado Dalì e poserà anche per lui, fino a diventarne una vera e propria musa: grazie alla loro frequentazione (Amanda vivrà con lui e con sua moglie per almeno una quindicina d' anni), frequenta importanti salotti parigini del tempo. ;artista era affascinato oltre che dall' androginia che le era propria, anche dalla affinità elettiva che si palesava tra di loro. Sarà proprio lui a darle il suo cognome d'arte, che sembra sia nato dalla concrezione di " amant de Dalí ";Amanda Lear Dagli anni   la vedremo protagonista sulla televisione italiana, sia sulle Reti Rai che Mediaset, in qualità di ospite e conduttrice.

Nel 2000 il marito di Amanda, Alain Philippe, muore a soli 49 anni a causa di un incendio scoppiato nella sua casa, nella Francia del Sud. Probabilmente nell
 incendio sono andati perduti anche dei dipinti di Dalì, ma anche questo dettaglio resta ancora un punto oscuro nella vicenda. A Alain, la Lear dedicherà il suo album Heart. Tra le conquiste di Amanda anche il cantante David Bowie e Manuel Casella, questo;ultimo conosciuto nel corso del programma Il brutto anatroccolo.
Con Casella l'amore dura per sette anni, dopodiché nel 2014 non ;innamorò di Anthony, un attore con cui si passa 30 anni di differenza ma, anche se pure questa storia tramontò, il movente non fu mai nella differenza d'età, come spiegò Amanda stessa. Non ha mai avuto figli.
Oggi vive a Saint-Etienne-du-Gres, nei pressi di Avignone. Tra le sue ultime fatiche quelle del 2011, incide infatti il singolo ;Chinese Walk e interpreta a teatro la commedia Lady Oscar ;

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vendredi 30 novembre 2018

On l’a connue croqueuse d’hommes, reine du disco.... Amanda Lear

On l’a connue croqueuse d’hommes, reine du disco, ou mystère sexuel. Son apparition au Festival International du film indépendant de Bordeaux en guise d’invitée d’honneur et la sortie d’une autobio – qu’on suppose blindée à la gueule d’anecdotes méchaaaantes – nous ont rappelé qu’il n’y en a qu’une comme elle chez nous.

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«Amanda Lear, elle est née où, elle est née quand?» Réponse de l’intéressée: «On s’en fout». Car Amanda s’en tape d’une force phénoménale, et c’est ça qu’on aime. Depuis quelques années, elle est devenue ni plus ni moins que l’incarnation live de la Patsy de Absolutely Fabulous (bien plus que Nathalie Baye deso pas déso), même si on la voit moins carburer aux clopes. De son passé fabriqué ou chuchoté, la rumeur en tirera une identité sexuelle floue: là où la moitié des stars passeraient les quolibets sous silence ou feraient mine d’être choqués, Amanda a préféré en jouer, car ça l’a fait bien marrer.



Trans ou pas, on s’en fout, Amanda is Amanda. D’abord mannequin dans les 60’s, puis muse platonique de Salvador Dali, elle fait une fois de plus jouer sa chance en tombant sur Brian Jones ou David Bowie (qu’elle accompagne dans le clip de Sorrow), qui l’entretiendra et la coachera pour une éventuelle carrière musicale. À la même époque, on l’a verra même sur la pochette de For your pleasure de Roxy Music en dominatrice toute de cuir vêtue, baladant sa panthère tranquilou en centre-ville: un mythe commence alors à se dessiner. Récupérée par une maison de disque allemande, elle finira sans trop le vouloir en queen du dance-floor à la fin des années 70, écrivant les paroles de ses chansons au passage. En Dracula femme femme, elle nous invite avec sa voix d’un autre monde. FOLLOW ME disait-elle. So internationale, elle va partout. Joe d’Amato fera même d’elle la présentatrice de son mondo Follie di Notte !

On lui colle une image de vamp, de créature insatiable, nocturne et langoureuse, ce qui l’a définirait selon elle absolument pas. On la voit en Sphinx malicieux sur la pochette de Never Trust a Pretty Face, énigme qu’elle est, se fait peinturlurer la tronche par les débutants Pierre & Gilles pour Diamonds for Breakfast, avant de faire ciao bello au disco. Les albums continueront de défiler, même si le public ne suit plus, ayant lâché la donzelle après sa période boule à facettes. Amanda s’en balance on vous dit. Elle traverse inlassablement la télé française et italienne, pimpante et je-m’en-foutiste comme jamais, alors que sa grande préoccupation était avant tout de peindre dans sa villa loin de tout. En 2010, la voilà qui entame une carrière dans le théâtre qu’on avait pas vu venir et qui visiblement, l’amuse beaucoup. Contre la connerie, la vieillesse et la douleur, Amanda préfère répondre par l’humour. Elle a tout de l’icône gay suprême, de la survivante aux mille couleurs, ancienne maîtresse de bordel devenue la tante folle qu’on rêverait d’avoir, ou la grand-mère froufrou qui a tout vu. Et le sexe? Amanda répondra mieux que nous «Tant qu’il y a de la gérontophilie, c’est merveilleux»....

lundi 26 novembre 2018

Amanda Lear tacle violemment Jean-Pierre Foucault, Jenifer et Nabilla ...

La chanteuse comédienne Amanda Lear fait son grand retour avec un livre, Délires, qui regroupe toutes ses phrases mythiques. Attention âmes sensibles s’abstenir !


Après un an d’absence, on pensait que la belle Amanda Lear avait pris le large loin des projecteurs. Que nenni, la muse de Salvador Dali préparait un livre ! Dans une interview accordée à Closer, la comédienne est revenue sur les moments marquants de sa carrière, mais surtout sur les histoires d’amour sulfureuses qui ont rythmé sa vie. Attention, ça balance !

Habituée de la jet-set, Amanda Lear s’est fait connaître au travers de ses frasques tant physiques que verbales. Dans son dernier livre Délires, on redécouvre les plus belles perles de la comédienne avec sa fameuse voix rauque en tête : “Mon secret de beauté ? M'asseoir à côté d'une moche” ou “Je n'ai jamais couché pour arriver. Je suis arrivée pour pouvoir coucher.” L’icône disco de 75 ans revient avec nostalgie sur cette période feutrée qui a vu naître le succès de stars comme David Bowie, avec qui elle a vécu, Elton John ou encore Madonna. Aujourd’hui, elle fait le bilan et certaines personnalités en prennent pour leur grade…

“Et aujourd'hui, qu'est-ce qu'il me reste à croiser ? Jean-Pierre Foucault, Jenifer ou, pire, Nabilla !”
⋙ Amanda Lear dévoile qui elle a désigné comme héritiers dans son testament, un choix très surprenant !

“Parler avec les morts, c’est un peu comme discuter avec un journaliste people”, balance Amanda Lear, qui dézingue notamment la presse people italienne : “ils sont terribles, ils m’ont tout fait”. Lorsque Closer évoque sa relation avec David Bowie, Salvador Dali ou encore Brian Jones, Amanda Lear se considère comme “une survivante” : “Et aujourd'hui, qu'est-ce qu'il me reste à croiser ? Jean-Pierre Foucault, Jenifer ou, pire, Nabilla !” Ce qu’elle reproche à ces personnalités ? La réponse est sans appel : “ce ne sont pas de grands artistes, à côté de ceux que j’ai connus, c’est frustrant.”


La comédienne n’a pas hésité non plus à livrer quelques détails inédits sur les performances sexuelles de son ancien amant Salvador Dali : “Jamais de sa vie il n’a pénétré une femme”. En effet, Amanda Lear était considérée comme la muse du peintre espagnol, avec lequel elle a vécu en ménage à trois avec sa femme Gala pendant plusieurs années.

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Amanda Lear : “J'ai côtoyé Dali et Bowie. Aujourd'hui, il me reste Jean-Pierre Foucault, Jenifer ou Nabilla !”

La reine Amanda Lear avait pris sa retraite il y a un an, mais elle revient avec un livre compilant ses meilleures punchlines, "Délires". Rencontre avec une diva !

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Closer: Vous publiez Délires, vous avez chanté dans Jean-Paul Gaultier fait son show, sur France 2. On vous croyait à la retraite !



Amanda Lear: Je l'ai fait pour lui et gratuitement. C'est un ami. Il était là quand j'ai inauguré le Palace, en 1978 ! Il m'habille de la tête aux pieds, a créé mes costumes pour la pièce Divina, ce qu'il n'avait fait pour personne. Il vient chez moi dans le Midi. Mais c'est la dernière fois que l'on me voit en tant que chanteuse ou comédienne.

On vous voit aussi en photo dans son extraordinaire revue Fashion Freak Show, aux Folies Bergère !

Oui, dans la partie Scandales et à l'évocation de son défilé 2013 autour du disco. Comme Donna Summer était morte et Gloria Gaynor trop grosse, on avait pensé à moi !

Pourquoi dire adieu au spectacle ?

J'ai enchaîné quatre pièces pendant sept ans. Le corps a besoin de se reposer. Je vis chez moi, en Provence au milieu de mes oliviers et mes dix chats. Et je peins. Mes amies sont aujourd'hui alcooliques, droguées ou nymphomanes. Moi, je peins. C'est ma thérapie.

Et pas de nouvel amant ?

J'ai fermé la boutique ! (Elle rit.) C'est fini, tout ça. Le dernier a été Manuel, un Italien avec lequel j'ai vécu quatre ans et demi. Il est maintenant marié et père de famille. Les jeunes gens d'aujourd'hui sont directs. Ça va de "Vous êtes charmante" à "T'es trop bonne !" Il y en a un peut-être qui se décidera... Mais ce n'est pas ce que j'ai en tête actuellement.




Et vous venez donc de sortir Délires...

Sans aucune ambition littéraire. J'adore rigoler et faire des jeux de mots. Mon but est de faire sourire les gens, alors qu'on apprend des drames tous les jours.

Et que lit-on dans votre livre ? "Parler avec les morts, c'est un peu comme discuter avec un journaliste people" ! (Elle éclate de rire.) La mort de stars est un peu trop le fonds de commerce de la presse people ?

Cela aurait pu être ça, mais non ! Dans mon esprit, les journalistes people veulent donner une image de vous qui ne correspond pas à la réalité. On n'existe pas tel que l'on est. On est mort. J'en veux surtout aux journaux italiens, qui sont terribles. Ils m'ont tout fait.

Vous pratiquez aussi la culture des morts dans Délires : vous évoquez Brian Jones dont vous avez été la petite amie, David Bowie avec lequel vous avez vécu un an et demi, Dali dont vous étiez la muse...

C'est vrai. Je suis une survivante. Mais bien vivante ! Et aujourd'hui, qu'est-ce qu'il me reste à croiser ? Jean-Pierre Foucault, Jenifer ou, pire, Nabilla !

Que vous ont- ils fait ?

Rien. Ce ne sont pas de grands créateurs, de grands artistes. Ils sont bien gentils mais, à côté de ceux que j'ai connus, c'est frustrant.

Sur Dali, vous écrivez une vérité qui ne va pas passer inaperçue : il était impuissant. Et vous ajoutez : "Jamais de sa vie il n'a pénétré une femme."

Il en parlait lui-même. Il a toujours dit : "Il n'y a rien à faire." Alors quand cette astrologue espagnole a obtenu des tests ADN pour prouver qu'elle était sa fille, j'ai été scandalisée. J'ai informé les Espagnols que l'ADN de Dali existait déjà. Une équipe américaine était venue me voir pour authentifier certaines de ses toiles. J'ai donné des chemises, des lettres qu'il m'envoyait. L'ADN de Dali a parfaitement été établi. On n'avait pas à le déterrer. C'est honteux.

Le ménage à trois avec sa femme Gala s'arrêtait aux caresses, alors...

Dali était amoureux de moi. Pas seulement parce que j'étais jolie, il y avait plein de mannequins autour de lui. Il avait trouvé autre chose en moi. Et il ne voulait pas d'un ménage à trois avec la femme et la maîtresse que l'on voit en douce, trop bourgeois. Il désirait que ma présence soit officielle. "Donc je veux t'épouser", a-t-il dit. Mais il était déjà marié avec Gala et il l'aimait aussi.

Il ne voulait pas que vous chantiez...

Sans doute avait-il peur que je m'émancipe. Mais je crois surtout qu'il craignait que je me ramasse et que ça rejaillisse sur la famille. Car je faisais partie de sa famille. Quand il recevait, je n'étais pas sa muse, il me considérait comme son autre femme.




Vous écrivez que l'homme de votre vie est Alain-Philippe Malagnac, disparu en 2000 dans l'incendie de votre maison du Var.

Je l'ai rencontré le jour de mon premier concert au Palace. Il sortait d'une grave maladie et il avait été ruiné par Sylvie Vartan dont il avait voulu relancer la carrière. Il avait vu trop grand. Elle aurait pu lui en être reconnaissante. Elle n'en parle même pas dans son autobiographie. J'étais dingue de lui. Nous nous sommes mariés à Vegas. Il était vulnérable, attendrissant, intelligent. Il connaissait très bien la littérature. Cela a duré vingt-deux ans.




De Freddie Mercury à Elton John, pourquoi plaisez-vous tant aux gays ?

Je ne suis pas la seule : Cher, Kylie Minogue, Barbara ... Primo : s'ils étaient une femme, ils aimeraient nous ressembler, car nous sommes glamour. Deuzio, plus nous vieillissons, plus nous devenons leur maman. C'est un public si fidèle ! Moi-même, je suis très attirée par les gays, souvent très beaux garçons. Dali avait des tendances homosexuelles. Mon mari était le fils adoptif de Roger Peyrefitte, qui était homosexuel. Une femme peut être très heureuse avec quelqu'un qui est "fluide", comme on dit aujourd'hui.

Depuis que vous êtes célèbre, vous n'êtes sortie qu'avec des inconnus. Pourquoi ?

Les célébrités veulent rester seules dans la lumière. Je me demande parfois si je ne leur ai pas fait du mal : ils étaient avec moi pour sortir de l'anonymat, voire devenir célèbres.

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Amanda Lear : “J'ai côtoyé Dali et Bowie. Aujourd'hui, il me reste Jean-Pierre Foucault, Jenifer ou Nabilla !”






samedi 24 novembre 2018

Amanda Lear : “En amour comme avec le reste, je me lasse très vite”

Quand l'égérie de Dalí et de Bowie s'allonge sur le Divan de MOF, sur France 3, vendredi 9 novembre, à 23h10, elle en profite pour nous faire des confidences. Avec humour !

@bestimage .....Amanda Lear à Rome le 28 Novembre 2014


Télé Star : L'an dernier, un portrait dans Libération vous disait à la retraite. Et là, vous passez chez Fogiel et sortez un livre* plein de bons mots et de souvenirs. C'était une fake news ?


AMANDA LEAR : Pourquoi ? Vous m'avez vue à la télé ou sur scène récemment ? (Elle rit.) Quant au livre, je n'y fais pas de révélations comme dans les mémoires de Françoise Hardy ou de Jean-Claude Brialy. C'est un recueil rigolo, qui reprend ce que j'ai pu dire à la radio, aux Grosses Têtes. Je ne ferai jamais de biographie. On vit une époque si pesante, il faut de la légèreté...

Pourquoi si vous ne voulez pas livrer votre intimité, vous prêter à une psychanalyse télé sur Le Divan de Fogiel ?

Parce que je le connais et qu'il me le demande depuis des années. Mais qu'il ne s'imagine pas me faire chialer sur des secrets de famille ! Le pathos ce n'est pas mon truc ; de l'émission de Frédéric Lopez à celle de Catherine Ceylac, je les ai toutes refusées. Avec Marco, on rigolera. Je ne veux pas qu'on me prenne au sérieux...

@bestimage ...Amanda Lear à Paris le 28 novembre 2017


C'est pour ça qu'au théâtre vous avez fait du boulevard, au risque que le public français méconnaisse votre carrière de chanteuse et oublie votre rôle d'égérie ?

Tout le monde connaît mes histoires avec Salvador Dalí et David Bowie. L'un des regrets, c'est que j'aurais peut-être dû enregistrer mes chansons en français. Si l'on me propose un rôle dramatique, je verrai. Et je suis disponible pour Almodóvar. Mais ça, il le sait ! Il ne faut rien planifier et se diversifier. En amour comme avec le reste, je me lasse très vite...

Vous restez curieuse, même si vous vous êtes détachée des hommes ?

S'intéresser à ce qui se fait, c'est essentiel. Quant aux hommes, j'en témoigne, les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas froid aux yeux !

Vous voyez que l'heure de la retraite n'a pas sonné !

Je parlerais de semi-retraite, si ça ne faisait pas penser à semi-remorque ! C'est difficile d'être toujours en représentation : on joue le rôle qu'on attend de vous. Et j'ai envie de vivre. En peignant, parmi mes animaux, ou en recueillant l'huile de mes oliviers...

*Délires, Le Cherche-Midi.

Direct link Télé Star From Olivier Rajchman ...Click

@bestimage ...Amanda Lear à Rome le 06 janvier 2015

jeudi 22 novembre 2018

Amanda Lear has shared the sheets with David Bowie From The Sun New's Paper

WILD SEXY LIFE Model who inspired Bryan Ferry, bedded David Bowie and who can ‘die now, happy’ tells all in raunchy memoirs

Amanda Lear has shared the sheets with David Bowie, spent 16 the summers at Salvador Dali's coastal home as his muse, inspired Roxy music and was allegedly the spark behind Joanna Lumley's character 'Patsy' in 'Absolutely Fabulous'

Direct link from The Sun ....By Grant Rollings......

WHEN Roxy Music released their second album it was not the black panther on the cover that caught the eye – it was the statuesque model holding its leash.

With her svelte body poured into a black leather dress, towering French model Amanda Lear made a big impression on everyone who saw the record sleeve.

French model Amanda Lear long limbs and natural allure made a big impression on everyone who saw her

She had been chosen for the 1973 For Your Pleasure album cover by singer Bryan Ferry, who was rumoured to be one of her many famous lovers, along with David Bowie.

Although Bowie was married to his first wife Angie at the time, he asked to meet the mysterious blonde model from the sleeve. Amanda later said: “It wasn’t me he fell in love with, it was the picture of me.
“And he was very weird, I must say — it was the first time I went out with a man who wore more make-up than I did.”

They ended up in a tempestuous, year-long affair during what Bowie had called his “promiscuous period”.
                        Ms Lear was not known for being shy and even posed for Playboy
                    David Bowie asked to meet Amanda and they began a fiery year-long affair


Amanda seemed well suited to the gender-fluid Bowie. For years there had been a rumour that she had been born male and that flamboyant Spanish surrealist artist Salvador Dali had paid for her sex change.

Bowie sought to spread the story as he helped Amanda start her own pop career, which led to several hit singles in Europe in the 1970s.

Due to her height — 5ft 10in — and manly cheekbones, those suggestions have never really gone away.
Now, with her second memoir Delusions about to be published, she claims the stories were made up by Dali as a “publicity campaign”.

           The picture of Amanda on the cover of this album was more alluring than the black panther


                 The former model worked for high profile designers such as Gianni Versace


At the book launch, she said: “I’m a coat rack, and people used me to hang up all of their fantasies.”

Given that when she posed naked for Playboy in 1978 she clearly had nothing to hide, Amanda’s version of events seems far more plausible.

She had also dated a string of famous men prior to meeting Dali in the late 1960s.

Amanda was going out with Rolling Stones guitarist Brian Jones when she first encountered the painter, and the band’s track Miss Amanda Jones on their 1967 album Between The Buttons was inspired by her.

Before Jones, she had fallen in love with married Guinness brewing heir Tara Browne, who died in a car crash in 1966 aged just 21.

         Living in London during the 'swinging sixties' Ms Lear rubbed shoulders with the greats


             Salvador Dali wanted the French model all to himself as his muse in his coastal home

Bryan Ferry, who denies rumours that he slept with Amanda, said: “She always seemed very womanly to me.
“She was very good company as one of the lads, but she always seemed very much a woman.”

Amanda insists she is a hot-blooded, heterosexual woman. In a recent interview she boasted about all the handsome men she had slept with.

She said: “I’ve sold records, I’ve made movies, I’ve made TV shows, I’ve been in the theatre. I’ve accomplished all of my dreams.

        The blond beauty says she's 'attracted to beautiful men' and married Alain-Philippe Malagnac


There were rumours that her manly cheekbones were signs she was born a man, but she says she's all woman

“I had sex with the most beautiful men in the world. I had wonderful boyfriends. I can die now, happy.”

Now single, Amanda has been married twice — first to Scottish student Paul Lear in 1965, then in 1979 to Frenchman Philippe Malagnac d’Argens de Villele, who died in a house fire in 2000.

She once said: “I have a very difficult relationship with men. Of course, I’m attracted to beautiful men — I’ve had many lovers, many boyfriends — but it’s very difficult.

“I’m extremely jealous, I’m extremely possessive, and most of all I’m very, very bossy. I want to show them the way. I want to tell them, ‘You’re doing it wrong, let me do it for you,’ like a control freak.

                                       The model is now single and lives in France with 12 cats


   Ms Lear finds relationships difficult and will now call her lovers a taxi after she has bedded them

“In the end, that’s why I’m all alone. Sometimes I’ll have sex with somebody and then I’ll call them a cab. ‘Goodbye, thank you very much’.”

Having arrived in London in 1964 to study at Saint Martin’s School of Art, she experienced the height of Britain’s swinging Sixties.

Modelling for Paco Rabanne, Yves Saint Laurent and Coco Chanel, she went to star-studded parties and the coolest clubs.

She hung out with The Beatles and the Stones as well as other top models such as Twiggy, Anita Pallenberg and Pattie Boyd. It meant she was exposed to the pill-popping drug experimentation of the time.


                       During the 60s Ms Lear got involved with the drug culture but is now teetotal

                      Rolling Stones guitarist Brian Jones was going out with Amanda and she is allegedly the inspiration for the track Miss Amanda Jones

She said: “I’m from this generation, so I had to try this.”

For that reason it is thought that Amanda was the inspiration for Joanna Lumley’s ageing stoner Patsy in Absolutely Fabulous.

But when Dali took her on as his “muse” he insisted she gave up illegal substances, and these days Amanda is teetotal.

Despite two autobiographies, her true origins remain unclear. She claims to have been born in November 1950 in Saigon, but she is known to have started university in London in September 1964 — which would suggest she is at least 72.

While she started out life in South East Asia, Amanda has given different stories about her parents, with her mother being either French, Russian or Asian.

According to her website her father was “an English naval officer” and she had “an Asian mother”.
She claims to have arrived in London as a shy, innocent girl who had to learn to gain the attention of famous men.

Amanda told the French press last week: “For a long time I didn’t have the confidence to date people like Dali or David Bowie, but I became more confident with age, while accepting that making fun of yourself is the rule.”

                         The long legged lovely said that she 'didn't have the confidence' to date men like Bowie for a long time


                 During her long affair with painter Dali, they are reputed to never have had sex.
                              Salvador Dalí, Amanda Lear and Nanita Kalashnikov........

It is her long affair with oddball Dali that she is most known for. She said: “He wanted to meet Brian Jones. He invited us to lunch the next day. Brian being, as always, too f***ed up, I went alone.”

Dali, more than three decades her senior, was besotted with Amanda and asked her to live with him on the Costa Brava, despite the fact he had a wife, Gala.

For 16 years she spent every summer at his home in the coastal village of Port Lligat.

Amanda would pose naked for his paintings or be photographed next to him with a whip. But she claims Dali never had sex with her because he didn’t want to have children.

    Amanda claims Ivanka Trump told her that Mr Trump used to play her 1978 tune, Follow Me, before they made  love

She said: “I must have been his mistress for almost 20 years, but never in his life has he penetrated a woman.”

She grew increasingly distant from Dali as she tried to become a painter in her own right, as well as pursuing her music career.

Amanda claims to be pals with Donald Trump’s first wife Ivana — who she said told her that the US President used Amanda’s 1978 song Follow Me as mood music in the bedroom. She said: “Ivana told me he played it every time he was about to make love to her.”

These days Amanda is semi-retired. She lives with 12 cats in rural France and acknowledges that her days of sexual shenanigans are now over.

She said: “The next guy who will see me naked is my medical examiner.”