dimanche 17 mars 2024

Quelle époque ! : "Vous n'avez plus…", Léa Salamé déstabilise Amanda Lear avant une réponse cash . . .


Amanda Lear était l'invitée de Quelle époque !, le 16 mars 2024

C'était au tour d'Amanda Lear de répondre aux questions de Léa Salamé dans Quelle époque !, samedi 16 mars 2024. La journaliste a tenu à lui montrer des archives de la chanteuse qui datait d'il y a 40 ans. Elle se confiait sur la manière dont elle imaginait finir sa vie. Elle disait alors qu'elle pensait qu'elle serait seule entourée de chats.

"C'est pas loin de la vérité", a-t-elle lancé après avoir visionné les images. Léa Salamé a alors voulu lui demander si elle pensait que les chats étaient mieux que les hommes. "C'est vrai que je suis entourée de chats. Ils ne me déçoivent pas, ils me voient sans maquillage et ils ne me mentent pas", a-t-elle ainsi fait savoir.

Amanda Lear : "La boutique est fermée"

Amanda Lear a également expliqué qu'ils pouvaient lui faire des bisous, des câlins et qu'elle n'avait pas besoin de plus. Ensuite, elle a tenu à faire passer un message aux femmes de son âge qui sont seules. Pour elle, ça ne doit pas être source d'angoisse. "C'est formidable d'être seule, on sort, on s'habille comme on veut, on mange ce qu'on veut, on regarde le film que l'on veut. Le fait de ne pas avoir de compte à rendre à personne, pour une femme je trouve que c'est extraordinaire."

Face à de tels propos, Léa Salamé lui a posé une question qui l'a mise mal à l'aise. "Vous n'avez plus d'amoureux", lui a-t-elle demandé. Durant quelques secondes, la chanteuse semblait être déstabilisée. "La boutique est fermée", a-t-elle simplement déclaré pour mettre un terme à cet échange.

Amanda Lear a vécu plusieurs histoires d'amour

Pour rappel, Amanda Lear a eu de nombreux hommes dans sa vie. Elle a été en couple avec le peintre Salvador Dali. Durant de nombreuses années, elle a été à la fois sa muse et son amoureuse. Quelques années plus tard, elle a été mariée à l'homme d'affaire Alain Philippe Malagnac. Pendant 22 ans, ils ont vécu une belle histire d'amour jusqu'à la mort tragique d'Alain Philippe Malagnac lors d'un incendie.
Elle a également vécu des idylles avec Brian Jones (des Beatles), Bryan Ferri et David Bowie. De 2001 à 2008, elle a été en couple avec Manuel Casella.


"C’était un bon amant ?" Quand Léa Salamé questionne Amanda Lear sur sa vie intime avec David Bowie

 "C’était un bon amant ?" Quand Léa Salamé questionne Amanda Lear sur sa vie intime avec David Bowie

Article de Lola Breton ...

Ce samedi 16 mars, Amanda Lear était l’invitée de Léa Salamé dans Quelle époque !. Elle est revenue sur son histoire d’amour avec David Bowie, dans les années 1970. Et Léa Salamé n’a pas pu s’empêcher de lui poser une question très indiscrète sur le chanteur.

La curiosité de Léa Salamé n’a pas de limite. Sur le plateau de Quelle époque !, la journaliste pose chaque semaine des questions qui dérangent, qui fâchent ou qui font rougir. Ce samedi 16 mars, c’était au tour d’Amanda Lear de passer sur le gril. La chanteuse et comédienne de 84 ans est revenue sur sa relation avec David Bowie. Dans les années 1970, les deux artistes ont entretenu une relation pendant plusieurs mois alors que le chanteur londonien était marié avec l’actrice Angela Barnett. “C’est très passionnel. Disons qu’au début, c’était une attraction physique, sexuelle, etc. Après, ça devient de la tendresse”, a expliqué Amanda Lear à Léa Salamé alors que celle-ci lui montrait des images d’archives de l’une de leurs performances communes. La journaliste a tout de suite été intriguée par l’allusion à la sexualité de David Bowie.

Amanda Lear a préféré contourner la question de Léa Salamé

“Sexuelle ? Moi, c’est mon chanteur préféré de tous les temps. J’étais amoureuse de lui quand j’avais 15 ans, mais je me suis toujours dit : ‘Est-ce que sexuellement, Bowie… Est-ce que c’était un bon amant ?’” a alors lâché Léa Salamé. Amanda Lear a explosé de rire tandis que son voisin de table, le styliste Jean-Paul Gaultier, lui soufflait : “Mais tout le monde a envie de le savoir !” La comédienne a alors botté en touche, en répondant de façon sibylline, sur son amant qui avait révélé sa bisexualité quelque temps avant de la rencontrer : “Il était mieux maquillé.”

Entre Amanda Lear et David Bowie : Une fin de relation précipitée

Amanda Lear, qui a également été en couple avec le peintre Salvador Dali dans les années 1960, n’a jamais caché sa relation avec David Bowie. D’ailleurs, c’est lui qui lui a conseillé de se mettre à la chanson et qui l’a menée vers une carrière de chanteuse disco. Amanda Lear ne tait pas vraiment non plus certains aspects de l’intimité qu’elle a partagée avec le chanteur. Invitée dans Clique, sur Canal+, en mai 2023, elle avait déjà parlé de cette relation et de l’amour de Bowie pour le maquillage. “Il se maquillait beaucoup plus que moi, mais le problème, c’est qu’il ne se démaquillait pas. Il vous salopait l’oreiller !”, avait-elle plaisanté. Amanda Lear et David Bowie se sont séparés après plusieurs mois de relation, alors qu’elle l’avait suivi à New York, parce qu’il “se droguait beaucoup”, et qu’elle ne voulait pas de cette vie-là.

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Amanda Lear : Pourquoi elle a refusé la tournée des stars des années 80

 Amanda Lear : Pourquoi elle a refusé la tournée des stars des années 80. . .

par Anastasia Wolfstirn pour Gala Magazine

Bernard Montiel & Amanda Lear 

Au micro de Bernard Montiel, dans l’émission “1 h avec…” qui sera diffusée dimanche 17 mars sur RFM et dont “Gala” vous fait découvrir un extrait en exclusivité, Amanda Lear s’est exprimée sur son absence de la grande tournée des chanteurs et chanteuses emblématiques des années 1980.

Elle a passé son tour. Initiée en 2013 par Olivier Kaefer à la suite du succès du film Stars 80 de Thomas Langmann et Frédéric Forestier, la tournée Stars 80 tient le coup. Il faut dire que la formule séduit encore un large public et la dernière série de concerts en date a encore convaincu avec son affiche de rêve : Sabrina, Zouk Machine, Jean-Pierre Mader, artiste derrière le tube “Macumba”, ou encore Phil Barney. Amanda Lear aurait eu toute sa place parmi ces vedettes des années 1980, mais la chanteuse a pourtant préféré ne pas prendre part à ce grand rassemblement. Un choix dont elle s’est justifiée dans l’émission 1h avec…, diffusée ce dimanche 17 mars sur les ondes RFM.

Au micro de Bernard Montiel, Amanda Lear a d’abord souligné que ce genre de tournées était énergivore : “C’est très fatigant”, a ainsi soufflé celle qui a été opérée du cœur en 2022. De plus, pas question pour l’interprète de “Queen of Chinatown” de prendre part à la guerre d’ego qu’engendrerait ces séries de concerts dédiées aux stars des années 80, comme elle l’a expliqué auprès de nos confrères : “C’est curieux, comme ça a eu un énorme succès en France. Ils voulaient aussi le faire en Italie, donc on me l’avait proposé. Mais en Italie, il y a eu un problème d’ego, c’est-à-dire que tous ces chanteurs des années 80 disaient ‘ah non, moi, je suis plus célèbre que toi’, ‘moi, j’ai vendu plus de disques alors je devrais terminer la première partie’…”

“Je préférerais faire un duo avec Chris Brown”

En 2013, Amanda Lear a donc refusé de participer à la toute première tournée Stars 80. Dans une interview donnée à Paris Match à cette époque, l’ancienne muse de David Bowie n’avait d’ailleurs pas mâché ses mots à propos de ce grand rendez-vous musical : “Je ne reprendrai pas mes vieux tubes remixés ou ceux des autres. Et pourquoi pas la tournée des morts ‘Âge tendre et gueule de bois’ ! Ce serait un constat d’échec.” Et d’ajouter, cinglante : “Je préférerais faire un duo avec Chris Brown et Snoop Dogg que de chanter avec Nicoletta.” Auprès de Bernard Montiel, Amanda Lear a d’ailleurs assuré une nouvelle fois qu’elle préférait vivre avec son temps : “Je ne suis pas nostalgique. […] Ça ne sert à rien de regarder en arrière.”

Bernard Montiel & Amanda Lear 


L’interview intégrale de Amanda Lear par Bernard Montiel est à écouter ce dimanche 17 mars, dans 1h avec…, sur RFM, dès 12 h.

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Amanda Lear a choisi d’entretenir le mystère à propos de son âge. En fonction de ses interlocuteurs, elle donne toujours une année de naissance différente, pour que personne ne sache la vérité. "Quand je serai morte, on me datera au carbone 14 pour connaître enfin mon âge", s’était-elle amusée dans le livre Délires, recueil de ses meilleures punchlines, paru aux Éditions du Cherche midi. L’ancienne muse de Salvador Dali prétend qu’elle a elle-même oublié sa date de naissance à force de donner de mauvaises réponses. "J'ai le même problème avec la caisse de retraite, ils me disent : 'on a trois dossiers, vous comprenez', ils me doivent plein d'argent, mais ils ne veulent pas me le donner parce qu'ils n'ont pas les bonnes dates", s’était-elle amusée en janvier dernier sur le plateau de C à vous.

Amanda Lear aurait pu participer à une tournée spéciale années 80 en Italie

Ce qui est sûr, c’est qu’Amanda Lear est une célébrité depuis plusieurs décennies, en France comme en Italie. Elle aurait d’ailleurs toute sa place dans une tournée dédiée aux stars des années 80, mais la chanteuse refuse de participer à un tel rassemblement. Dans l’émission 1h avec… qui sera diffusée dimanche 17 mars sur RFM, et que Gala a pu visionner, elle a expliqué son refus. "C’est très fatigant", a-t-elle d’abord déclaré. Puis, celle qui n’a aucun mal à parler de ses histoires d’amour a donné une autre raison. "C’est curieux, comme ça a eu un énorme succès en France. Ils voulaient aussi le faire en Italie, donc on me l’avait proposé. Mais en Italie, il y a eu un problème d’ego, c’est-à-dire que tous ces chanteurs des années 80 disaient ‘ah non, moi, je suis plus célèbre que toi’, ‘moi, j’ai vendu plus de disques alors je devrais terminer la première partie’…", a-t-elle souligné. Des réactions qui ne lui ont pas donné envie de participer, et qui ont d'ailleurs conduit à l'annulation du projet.

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vendredi 15 mars 2024

Amanda Lear interprète L’Argent de la Vieille au théâtre Libre

 Amanda Lear interprète L’Argent de la Vieille au théâtre Libre

par Gaelle Alban pour Dynamic-Seniors ....

Après deux ans d’absence, Amanda Lear revient sur scène dans le rôle d’une milliardaire cynique, égoïste et méchante. Muse de Salvator Dali, Amanda Lear excelle dans ce rôle. D’ailleurs, elle avait déjà démontré son talent dans la pièce « Qu’est-il arrivé à Bette Davis et Joan Crawford ». Elle y interprétait le rôle de Joan Crawford. Avec L’argent de la Vieille, c’est le rôle de Bette Davis qu’elle reprend. Bête de scène, l’actrice a déjà triomphé dans La Candidate, Divina, Lady Oscar et Panique au Ministère. 


En effet, en 1982, Luigi Comencini avait réalisé « Lo scopone scientifico » en Italie et c’est Bette Davis qui jouait la Milliardaire. Rebaptisée « L’Argent de La Vieille » et adaptée au Théâtre, cette comédie musicale prend ses quartiers au Théâtre Libre à Paris. L’histoire ne se déroule plus dans les bidonvilles italiens mais à Paris dans un quartier chic. Ses victimes sont Jean-Luc et Pierrette, un couple qui vit pauvrement. Désespérés par leur situation précaire, chaque année, ils espèrent récupérer “l’argent de la vieille”. Avec l’aide de leur fille espiègle et volontaire, ils vont essayer de duper la milliardaire et son majordome trop dévoué pour être honnête.

Amanda Lear

Amanda Lear fut chanteuse, actrice et animatrice de télévision. Après avoir passé son enfance entre la Suisse et le sud de la France, à 16 ans, elle se rend compte qu’elle est passionnée par le domaine artistique. Pour se former à la peinture, elle intègre le College of Art and Design de Londres. Toutefois, elle va se retrouver propulsée sur les podiums comme mannequin. C’est Paco Rabanne qui va la rendre célèbre en faisant d’elle sa muse. Puis, c’est Salvator Dali qui fond d’admiration et d’amour pour Amanda Lear quand il la rencontre. Leur liaison durera quinze ans. Coup médiatique ou vérité, le peintre fera courir une rumeur sur sa transsexualité. A ce jour, nous ignorons toujours si le peintre a dit la vérité ou s’il a juste voulu faire parler d’eux.

De multiples talents

Alors qu’elle file le parfait amour avec Salvator Dali, Amanda Lear côtoie le monde du Rock. Et elle entame une idylle avec  Brian Jones, le guitariste des Rolling Stones. Dans la foulée, David Bowie la pousse à chanter. Elle trouve l’idée intéressante et sort son premier opus « I am a Photograph » en 1977. En première noce, elle épouse Paul Morgan puis Alain-Philippe Malagnac d’argent de Villèle. Ce dernier avait été l’amant de Roger Peyrefitte. Bien campée sur le devant de la scène, Amanda Lear se lance dans l’animation d’émissions de télévision. Silvio Berlusconi la remarque et l’engage. Malheureusement, le décès de son second mari dans l’incendie de leur maison située dans les Bouches-du-Rhône la frappe de plein fouet.

Une pièce décapante et instructive sur les relations Milliardaires et Pauvres

Amanda Lear campe une Milliardaire odieuse dans L’Argent de la Vieille ». Pour elle tous les coups sont permis. Aucun complexe à plumer Jean-Luc et Pierrette qui en plus d’être pauvres sont stupides. Cynique, elle va même jusqu’à les dresser les uns contre les autres pour mieux les manipuler. Pour elle, l’argent et le pouvoir justifient tout. Tout au long de la pièce, vous verrez à quel point, elle peut-être machiavélique pour parvenir à ses fins. Rien ne l’arrête. Elle est sans pitié envers ce couple et leur fille qui est devenue sa bonne. Tout comme elle maltraite son majordome, à son service sans être rémunéré. Amanda Lear démontre à nouveau l’étendu de son talent avec ce rôle décapant. D’ailleurs, tous les acteurs sont fabuleux dans leur rôle respectif. Si cette pièce est caustique, leur jeu vaut d’être découvert. Rire, stupéfaction, étonnement, tristesse et émotion sont au rendez-vous.

Le bémol

Nous n’entendions pas toujours ce que disaient les acteurs. Ils n’ont pas de micro et c’est dommage. Pourtant, nous étions installés dans le Carré Or.

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Informations Pratiques

Distribution

Auteur : Rodolfo Sonego

Adaptateur : Sylvie Chauvet – Jean Franco et Guillaume Melanie

Assistante Mise en Scène : Quantin Morant

Comédiens : Amanda Lear, Marie Parouty, Jeanne Perrin, Atmen Kalif et Olivier Pagès.


Théâtre Libre

https://www.le-theatrelibre.fr

Crédit Photos : Elie Axas

A lire aussi sur le Site Dynamic Seniors : https://dynamic-seniors.eu/gabrielle-chanel-au-studio-hebertot-de-paris/

lundi 11 mars 2024

Amanda Lear « L’ARGENT DE LA VIEILLE » AU THEATRE LIBRE

 « L’ARGENT DE LA VIEILLE » AU THEATRE LIBRE

par Agnes Falco ...

Pour son retour sur les planches après ses deux précédents succès Panique au ministère et Qui a peur de Baby Jane, Amanda Lear joue la vieille que l’on adore détester dans une version actualisée du classique de la comédie italienne Lo Scopone scientifico. Il s’agit de la deuxième adaptation au théâtre après celle de Robert Thomas en 1981 du film de Luigi Comencini sorti en 1972, qui nous présente Jean-Luc et Pierrette, invités régulièrement chez la vieille qui aime à les plumer dans un jeu inégal de belote.

Crédit Louis Josse

Amanda, la reine Lear. Si elle aime à cultiver le mystère en laissant planer le mystère sur son âge, Amanda Lear a l’énergie de la jeunesse atemporelle. Est-ce du cynisme ou une vision lucide des rapports humains qui seraient insupportables sans une touche d’humour vachard ? Tour à tour perfide ou (faussement ?) attentionnée envers son entourage, elle joue de manière délicieuse avec le public de son regard perçant et de ses répliques cinglantes, qui font mouche à chaque fois.

Crédit Louis Josse


Une distribution quinte flush. La présence, la drôlerie et l’incroyable énergie dégagées par Amanda Lear auraient pu conduire à un déséquilibre.

Bien au contraire, ses partenaires de jeu (tant à la belote que sur scène) ne déméritent pas, puisque chacun des interprètes fait ressortir les caractéristiques sous-jacentes qui animent son personnage :

Crédit Louis Josse

La distance du majordome interprété par Olivier Pagès qui, faute d’avoir pu devenir le compagnon deviendra le damoiseau de compagnie de la milliardaire.

Le naturel et les pieds sur terre (bien qu’elle soit affectée de claudication) d’Anastasia, la jeune fille du couple, campée par Jeanne Perrin, qui est femme de chambre chez la Vieille.

L’idéalisme ou la naïveté du père joué par Atmen Kelif.

Le pragmatisme de la mère, incarnée par Marie Parouty, qui finit par se perdre dans une envie de toujours plus.

Crédit Louis Josse

Bien qu’en pleine farce, les personnalités sont plus travaillées en ombres et lumière qu’il n’y paraît de premier abord. Les lumières de Denis Koransky parcourent tantôt le public ou dardent leurs rayons sur la diva, habillée des tenues fantasques de David Belugou. Le décor Art Déco de Nicolas Delas richement coloré et graphique plonge tantôt le public au cœur du salon de la riche demeure, avec une vue sur la Tour Eiffel scintillante et les Invalides, tantôt lui donne à voir ce qui se passe à l’extérieur de la propriété de celle qui fait le tour du monde en suivant le printemps.

Théâtre Libre, 4 boulevard de Strasbourg, 75010 Paris

Du mercredi au samedi à 21h00




(Partenariat=> Elles ont été invitées mais ça ne change rien, elles ont vraiment adoré puisqu'elles ont  fait l’article à la suite :)


Amanda Lear avait enregistré un duo inédit avec David Bowie

 Amanda Lear avait enregistré un duo inédit avec David Bowie

La comédienne est revenue sur sa relation avec Bowie au début des années 1970, qui a débouché sur l’enregistrement d’un duo, jamais sorti. Explications.

Par Marc Fourny pour le point Magazine...


La vie d'Amanda Lear réserve toujours des surprises… L'égérie de Salvador Dali vient en effet de révéler qu'elle avait enregistré un duo avec la superstar David Bowie quand ce dernier l'avait prise sous son aile, au début des années 1970.


À l'époque, la jeune Amanda fréquente l'underground londonien, copine avec Marianne Faithfull ou encore Bryan Ferry, le chanteur du groupe Roxy Music, qui lui demande de poser en femme fatale sur la pochette de leur album For Your Pleasure. Bowie tombe raide devant la photo et veut la rencontrer – il l'invite à dîner à domicile à 3 heures du matin. Commence une relation intime et professionnelle…



« Il était mieux maquillé que démaquillé », relève-t-elle dans une interview accordée dans l'émission RTL Bonsoir. « Il n'était pas allé longtemps à l'école, et il avait une soif d'apprendre. Il s'intéressait à tout, aux sciences, au cinéma, à la littérature… » Et c'est lui qui va la pousser à se lancer dans la musique.

« Il m'a dit : “Il faut que tu chantes.” Chanter, ce n'était pas mon métier. Quand on est mannequin, on dit toujours “sois belle et tais-toi”. David Bowie m'a dit que j'avais une voix intéressante, se souvient-elle. Il m'a payé des leçons de chant avec une dame très sévère et il m'a poussée à faire mon premier disque. Je lui dois beaucoup. »

Marlene Dietrich disco . . .

C'est pendant cette période que tous deux enregistrent un titre inédit. « On a fait un duo, mais il n'est jamais sorti ! Ça s'appelait “Star”, c'était la toute première chose qu'on a enregistrée ensemble, mais ce n'est jamais sorti », précise-t-elle en indiquant qu'elle avait même signé un contrat avec le manager du chanteur britannique.

« Il me disait : “Patience, Amanda, pour le moment, on s'occupe de la tournée de David, après je m'occuperai de toi.” Et moi j'attendais… Il me payait tout, l'hôtel, les limousines… Mais je m'emmerdais, donc, au bout d'un moment, je me suis lassée, j'ai pris un avion pour Munich. C'était la période disco et c'était à Munich que se passait tout le disco. Et on a voulu faire de moi une espèce de Marlene Dietrich disco. »

C'est là qu'elle connaît ses premiers succès en collaborant avec le producteur et compositeur allemand Anthony Monn, qui lui fait enchaîner les séances d'enregistrement jusqu'à 4 heures du matin en fumant des gitanes et en buvant du whisky pour modifier sa voix… Suivent plusieurs albums et quelques pépites comme « Queen of Chinatown », « Enigma » ou encore « Follow Me », un classique de l'univers disco récemment repris pour une publicité Chanel, qui lui a permis de renflouer son compte en banque.


Quant à son titre « Star », enregistré avec Bowie, il est resté dans les tiroirs et pourrait ressortir un beau jour. « Peut-être un posthume », avance Amanda Lear, 84 ans, toujours optimiste.

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vendredi 1 mars 2024

Amanda Lear : Et si ?

 Amanda Lear : Et si ?

par Christian Soleil, écrivain . . .

Amanda Lear est souvent présentée comme une femme mystérieuse, une diva absolue, une extraterrestre qu’elle fut en effet un temps, dans le premier film où elle interpréta un petit rôle à la fin des années 1960. Elle a bien sûr contribué à installer puis à renforcer ce mystère en répondant de manière contradictoire, selon les époques, aux questions des journalistes.


Peut-être aurait-elle préféré qu’on lui pose des questions sur son art, sur « ses » arts serait plus juste, sur ses motivations, sur les sens multiples de ses paroles dès ses premiers albums de la période disco, sur ses sources d’inspiration, que sur les éléments les plus affriolants de sa biographie. Ce que l’on a été compte moins que ce que l’on devient. On est, après tout, ce que l’on choisit de devenir. La vie est une fiction que les plus courageux tentent de mettre en œuvre, que les plus retirés tentent d’écrire. Comme Amanda se situe à cheval entre construction de son destin et développement de son imaginaire, creuser ce filon pouvait avoir son intérêt.

Mais les choses étant ce qu’elles sont, les journalistes croyant volontiers ce qui fait vendre du « papier », même à l’heure de l’électronique dominante, elle s’est rangée finalement, par dépit, à cette injonction de Cocteau : « Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être l’organisateur. »


Le mystère d’Amanda Lear n’est pas celui qu’une certaine presse a contribué, avec sa collaboration active, à fabriquer. Ses contradictions sur sa date de naissance (entre 1939 et 1950, le 18 novembre ou le 18 juin), sur son lieu de naissance (Hong-Kong ou Saigon), sur son genre d’origine, ont certes contribué à brouiller les pistes. Mais il suffit de lire Jung pour comprendre la manière dont l’animus et l’anima tricotent de la fluidité de genre. Le masculin et le féminin, pour une femme de son époque, d’autant plus pour une femme qui a développé une relation avec Dali et une autre avec Bowie (même si elle niait cette dernière à la fin des années 1970, comme toutes celles qu’on lui prêta avec des rockstars, des coureurs automobile ou des rugbymen), le masculin et le féminin donc : un entrelac subtil où une chatte ne retrouve jamais ses petits.

Le vrai mystère n’est pas là, parce que les questions de genre à ce niveau de tout à l’ego n’intéressent que ceux qui, sans le savoir, ont des doutes sur eux-mêmes. On peut espérer que ce soit un cas minoritaire, même si aucune statistique sur le sujet n’est actuellement disponible.


Le vrai mystère d’Amanda Lear, profondément, est de savoir d’où elle tire cette énergie vitale qui l’amène à se tuer au travail depuis « toujours », en tout cas depuis qu’on la connait, à multiplier les albums année après année, à empiler les peintures et les dessins jour après jour, à accepter toutes les participations à des émissions de télévision dans différents pays d’Europe, les expositions mondiales, les rôles dans des films à l’intérêt variable, les publicités diverses depuis les années 1960, les apparitions dans les œuvres de Dali, bref le meilleur et le pire sans discernement, quand elle sait pertinemment la valeur des choses, la valeur de l’art, la valeur des vrais artistes : il n’y a peut-être que sur la valeur de ce qu’elle fait qu’elle ait des doutes, parce que comme Michel-Ange, si son personnage fait du marketing et se vend au plus offrant comme jadis à Faust, l’Amanda profonde ne travaille au fond que pour Dieu.

Il y a bien une Amanda Lear cynique qui se fiche d’un monde qui n’est décidément pas le sien et l’Amanda Lear qui épargne quelques visages potentiellement amis, en doutant toujours que les amitiés naissantes ne finissent pas en trahisons. Jamais sûre de l’autre, par expérience. Jamais sûre d’elle, par habitude. Jamais sûre de rien, par sagesse.


« Klaus Mann habitait très mal cette terre, » disait le poète. Amanda Lear ne diffère pas de l’écrivain antinazi qui dépassa son père Thomas au poids écrasant mais qui écrivait comme la grand-mère de Goethe. Mais elle construisit un monde d’illusions qu’elle promène toujours avec elle.


Amanda Lear, c’est le prestige, la magie, un monde de dupes, l’avers et l’envers du décor. Dans ses toutes premières chansons des années 1970, elle parle volontiers d’un destin construit de toutes pièces, d’un corps façonné par les chirurgiens, puis rêve, en tant que fille, d’être un vrai garçon dans If I was a boy. Tente-t-elle de brouiller les pistes, ou faut-il entendre ce qu’elle dit au premier degré ? Regrets, I had a few, but then again, too few to mention.


Son humour souvent placé en-dessous de la ceinture lui confère une image de « baiseuse » invétérée. A-t-elle fait l’amour à cinq ? lui demande Ardisson dans l’une de ses mémorables interviews. Elle fait mine d’hésiter, ne se rappelle plus très bien. Dans ces cas-là, voyons, on ne compte pas. « Ah oui, à cinq, oui… » La ménagère devant son poste de télévision dans les années 1990 ou 2000 est quand même impressionnée. Lucy Jordan en a rêvé. Cinq, c’est peut-être beaucoup. Bien évidemment, Amanda Lear vit sa vie sans le moindre sentimentalisme, c’est une femme fatale, une diva, une consommatrice effrénée qui absorbe des hommes comme on fait du shopping dans les rues de Milan, n’est-ce pas ? Pas le genre de femme à multiplier les images de son mari mort dans un incendie dans toutes les pièces de sa maison, à vivre à moitié dans les souvenir, à moitié dans l’espoir de le retrouver dans une grande lumière plus bleue encore que le ciel de Provence, bientôt, bientôt. Encore un effort, ma petite Amanda, le salut n’est pas loin.

Et si Amanda était tout le contraire de ce qu’elle laisse croire ? Et si elle descendait de Frédéric Mistral ? Et si elle parlait souvent là où ça fait mal, avec l’air de ne pas y toucher, aussi prussienne que Marlene, aussi indomptable que Romy ?


Et si elle était sentimentale comme la Belle du film de Cocteau, incapable de voler autre chose qu’une rose ?


Et si elle collectionnait des cœurs ex-voto ?


Et si elle séduisait pour maintenir à distance ?


Et si elle maintenait à distance pour protéger l’autre de sa propre fatalité ?


Et si elle cherchait à plaire à tout le monde pour se préserver, pour neutraliser l’ennemi ?

Et si elle quêtait dans le monde entier une reconnaissance qui ne lui suffirait jamais ?


Et si elle était vierge comme Marie, maternelle et protectrice comme l’Opium Queen de mon roman éponyme, pure et fraîche comme l’enfant qui vient de naître, mal à l’aise dans le monde des grands, distante comme une strip-teaseuse de chez Madame Jojo posant la tête sur mon épaule pour réclamer une présence sincère ?


Le fan aime d’Amanda Lear le personnage qu’elle a construit pour son adoration, à la fois généreux et lointain. Pas envie de se perdre. L’amant meurt rapidement : on est fatale ou pas. L’amoureux fou tente de comprendre sans peser. Il se débat pour un regard, mais ne sait pas toujours voir le geste affectueux de la divine. Amanda Lear est un modèle d’âme japonaise. L’essentiel n’est pas dit. Le seul langage possible est celui des gestes, des preuves sans promesses, parce que les promesses ont perdu toutes leurs valeurs et qu’on est toujours seul sur terre à tenter de se sauver.

Le plus intéressant chez Amanda, ce sont ses silences. Ils sont rares. Elle les prodigue peu aux inconnus. Ils peuvent être de colère. C’est dire qu’ils sont courts. La colère est furtive chez Amanda. Elle se l’interdit parce qu’elle en a peur. Elle la transforme vite en tristesse, ne sait faire du mal qu’à elle-même. La colère ne lui a pas été autorisée. Il y a aussi des silences d’abandon. Vite voilés. Mais ses silences sont les moments les plus précieux que l’on espère gagner chez elle. Ceux d’une âme au repos, apaisée. Qui n’attend plus rien. Qui se contente d’être.


Amanda parle pour faire taire qui hurle au fond d’elle. Cette femme qui est un symbole de vie est habitée par la mort. Comme le poète, après la disparition de Radiguet, s’asseyait à la nuit tombée sur le port de Villefranche et regardait le phare du Cap-Ferrat éclairer la rade par intermittence, voyant à peine les pêcheurs le saluer dans un monde déjà devenu pour lui un inaccessible au-delà.

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dimanche 25 février 2024

Pour Amanda Lear, l’âge n’existe pas

Pour Amanda Lear, l’âge n’existe pas ...

Par Le Figaro avec AFP ...

À l’affiche de Maison de retraite 2, la comédienne campe aussi une milliardaire acariâtre chaque soir, sur les planches du Théâtre libre. Une comédienne prolifique que le temps n’atteint pas.


«L'âge, ça n'existe pas ! Depuis longtemps, je ne fête plus mes anniversaires»

«L'âge, ça n'existe pas ! Depuis longtemps, je ne fête plus mes anniversaires», confie à l'AFP Amanda Lear, de retour au théâtre en vieille dame indigne dans une adaptation sur mesure de L'Argent de la vieille, film italien de Luigi Comencini sorti en 1972. «On ne demande leur âge qu'aux actrices, jamais aux acteurs. C'est encore un truc sexiste !», estime la chanteuse et comédienne qui entretient le flou sur sa date de naissance, au point que le Who's Who in France refuse de publier sa notice biographique, comme celle d'Arielle Dombasle pour la même raison.

«Sur Wikipédia, c'est n'importe quoi ! On me donne 84 ans. Et pourquoi pas centenaire, tant qu'on y est ?», s'emporte-t-elle, en rappelant que c'est Salvador Dali, dont elle a été la muse, qui lui a appris «à créer le mystère». «Dali a été une merveilleuse école de publicité. Il aimait tellement provoquer, répondre à côté de la plaque. Les artistes ont besoin qu'on parle d'eux», ajoute Amanda Lear (Amanda Tapp, à l'état civil). «Plus on s'interroge sur vous, plus ça fait le buzz et plus vous êtes intéressant. Il faut du mystère. Ne jamais répondre, c'est le secret ! Et j'ai fait une carrière merveilleuse.»

«On n'est pas périmées comme des yaourts !»

«On dit que j'ai fait quinze liftings. Je défie n'importe quel médecin: il ne trouvera aucune cicatrice ! Je ne me ferai jamais lifter», assure celle qui concède toutefois avoir recours à «des traitements expérimentaux pour ralentir le vieillissement». «À toutes les femmes d'âge mûr», elle enjoint de «bouger pour rester en forme». «On n'est pas périmées comme des yaourts !»


Le théâtre, «c’est ma thérapie»

Malgré des adieux en 2016 parce qu'elle était «fatiguée du showbiz», l'interprète de Follow Me (tube planétaire de 1978 remis au goût du jour dernièrement par Chanel dans une publicité) multiplie les rôles au théâtre.

Après avoir campé Joan Crawford dans une conversation imaginaire avec Bette Davis, Amanda Lear joue une milliardaire acariâtre et cynique. Un rôle tout en démesure créé sur scène par Alice Sapritch en 1981. La richissime héritière fait face à un couple aussi désargenté que machiavélique, qui tente désespérément de se refaire à l'occasion de parties de cartes.

«Je joue une espèce de Liliane Bettencourt  ... »

«Je joue une espèce de Liliane Bettencourt qu'on essaie d'exploiter mais, la différence, c'est qu'elle est très manipulatrice. Au-delà du vaudeville, c'est aussi un sujet grave entre riches et pauvres», souligne la comédienne, à l'affiche du Théâtre Libre, à Paris, avant une tournée l'an prochain.

«Le théâtre est une discipline. C'est ma thérapie. Ça me fait du bien mais je ne peux plus jouer les séductrices, il faut être raisonnable. Je rêvais de jouer une femme antipathique et, là, tous les personnages sont affreux, sales et méchants», résume-t-elle.

Amanda Lear est aussi au casting du film Maison de retraite 2 de Claude Zidi Jr., avec Kev Adams et Jean Reno, en salles depuis mercredi. Celle qui a été enrôlée pour une série espagnole sur Netflix a également rejoint la distribution de la série Escort Boys de Ruben Alves pour Prime Video, avec Carole Bouquet et Rossy de Palma. «Des producteurs américains veulent faire un biopic sur ma vie», affirme-t-elle. «Je leur ai dit que je n'étais pas encore morte !»

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"Ce n'est jamais sorti" : Amanda Lear révèle avoir fait une chanson avec David Bowie !

 "Ce n'est jamais sorti" : Amanda Lear révèle avoir fait une chanson avec David Bowie !

Par Théau BERTHELOT | Journaliste ... For Pure Charts !


A l'affiche du film "Maison de retraite 2" et de la pièce "L'argent de la vieille", Amanda Lear revient une nouvelle fois sur sa relation avec David Bowie. La comédienne révèle avoir enregistré une chanson en duo avec l'icône britannique. Elle explique pourquoi le morceau n'a jamais vu le jour !

« A l'époque, tout le monde était la Reine du disco ! Grace Jones, Diana Ross... Même Karen Cheryl en a fait, c'est vous dire ! N'importe qui faisait du disco et on disait "Queen of disco" » nous confiait Amanda Lear en interview, jamais avare en petites piques. Il faut dire que l'emblématique chanteuse a vu son tube "Follow Me" revenir au sommet des charts suite à son utilisation dans la pub Chanel. Aujourd'hui, Amanda Lear fait l'actualité grâce au film "Maison de retraite 2" et à la pièce "L'argent de la vieille", qui se joue actuellement au Théâtre Libre à Paris. « C'est très jouissif de jouer les méchantes. J'en rêvais ! J'ai toujours joué des filles fofolles ou rigolotes, mais la vraie méchante, une espèce de Tatie Danielle milliardaire, j'en rêvais ! » note la comédienne, invitée mercredi soir dans "RTL Bonsoir" : « C'est très curieux parce que plus je dis des horreurs, plus les gens rient. Le public est aussi cruel que moi »

"Chanter, ce n'était pas mon métier"


Au cours de l'entretien, Amanda Lear est évidemment revenue sur ses relations avec Salvador Dali et surtout David Bowie, qu'elle décrit comme un homme « romantique, charmant, très séduisant ». « Il était mieux maquillé que démaquillé » s'amuse-t-elle, parlant de l'interprète de "Modern Love" comme d'un chanteur qui avait « cette soif d'apprendre » : « Il s'intéressait à tout, aux sciences, au cinéma, à la littérature... ». La chanteuse et comédienne révèle même que c'est lui qui l'a poussée à faire de la musique : « Il m'a dit "Il faut que tu chantes". Chanter, c'était pas mon métier. Quand on est mannequin, on dit toujours "sois belle et tais-toi". David Bowie m'a dit que j'avais une voix intéressante. (...) Il m'a payé des leçons de chant avec une dame très sévère et il m'a poussé à faire mon premier disque. Il me doit beaucoup ».

Et Amanda Lear révèle aussi qu'elle a enregistré un duo avec David Bowie... mais que celui-ci est resté dans les tiroirs. « On a fait un duo, mais il n'est jamais sorti ! Ça s'appelait "Star", c'était la toute première chose qu'on a enregistrée ensemble, mais c'est jamais sorti » indique-t-elle, évoquant qu'elle était sous contrat avec le manager de David Bowie : « Il me disait "Patience, Amanda, pour le moment on s'occupe de la tournée de David...". Et comme moi j'attendais (...) donc au bout d'un moment je me suis fatiguée. J'ai pris un avion pour Munich, c'était la période disco et c'était à Munich que se passait tout le disco ». Et c'est Outre-Rhin que la carrière d'Amanda Lear a pris son essor ! Quant au titre enregistré avec David Bowie, verra-t-il le jour ? « Peut-être un posthume » conclut-elle.

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jeudi 22 février 2024

È Durata poco la «pensione» di Amanda Lear

 

“QUANDO BERLUSCONI LANCIÒ IL CANALE ‘LA CINQ’ IN FRANCIA, FUI RICEVUTA ALL’ELISEO DA MITTERAND. ERA CONVINTO CHE FOSSI L’AMANTE DEL CAV” – AMANDA LEAR APRE LE VALVOLE E NEGA OGNI RELAZIONE SESSUALE CON SILVIO E POI PARLA DELLE SUE LIAISON CON BRIAN JONES, DAVID BOWIE (“NON SI STRUCCAVA MAI. MEGLIO COSÌ, NON ERA UN GRANCHÉ”) E DALÌ: "TRA NOI NON C’ERA SESSO. LA MOGLIE, GALA, MI DISSE ‘TE LO REGALO. COSÌ HO PIÙ TEMPO LIBERO PER FARE SHOPPING'" - SULL’ULTIMA EDIZIONE DI SANREMO: “I CANTANTI SONO MENO VIRILI RISPETTO A UNA VOLTA, NON SI SA BENE COSA GLI PIACCIA..." 


È Durata poco la «pensione» di Amanda Lear che, dopo un breve ritiro dalle scene a inizio febbraio, è tornata a teatro a Parigi con L’argent de la vieille (I soldi della vecchia, in italiano). Un riadattamento del film “Lo scopone scientifico di Luigi Comencini, dove l’artista recita il ruolo di Bette Davis […]

Cosa l’ha convinta a tornare?

«La pièce è presa da un film mitico ed è stata scritta su misura per me dagli autori. Ma non è la solita commedia perché c’è anche una tematica sociale. Ad un certo punto, quando si parla di soldi, tutti i personaggi diventano dei mostri, litigano tra di loro, sono gelosi l’uno dell’altra e si odiano. Ma non nego che il teatro rappresenta una grandissima fatica».

Quindi niente più vita mondana?

«Nel periodo in cui facevo la modella passavo le notti da Maxim’s a Parigi, mentre a New York mi capitava di incontrare Andy Warhol, Elizabeth Taylor o Onassis. Mi sono data una calmata quando ho cominciato a lavorare seriamente: non puoi continuare ad andare alle feste tutte le sere se poi devi salire su un palco, è troppo faticoso. E comunque oggi quel mondo lì non esiste più. Non possiamo chiamare jet set quello frequentato dalle varie Kardashian, perché sono troppo volgari, fanno


Lei ha mosso i primi passi nella Swinging London Anni 60.

«Era la Londra di Jimi Hendrix, dei Rolling Stones e dei Beatles. Oggi le ragazze sognano di uscire con un calciatore, ma al tempo noi guardavamo le rockstar».

Come Brian Jones, uno degli Stones scomparso nel ’69 con cui ha avuto una relazione.

«Povero, fu cacciato dal gruppo e ci rimase malissimo. Voleva continuare da solo, aveva previsto di andare a fare musica a Marrakech, in Marocco»



Poi c’è stato David Bowie, che ha frequentato proprio nel periodo di Ziggy Stardust.

«Non si struccava mai, nemmeno quando andava a dormire! Ma in fondo è stato meglio così, senza make-up non era un granché (ride). Noto che la moda dell’uomo truccato va avanti ancora oggi. A Sanremo ho visto lustrini, paillettes e trasparenze. I cantanti sono un po’ meno virili rispetto alle rockstar di una volta, non si sa bene cosa gli piaccia, ma è la tendenza del momento dove tutto è un po’ fluido». […]

A proposito, come va la vita sentimentale?

«Io sono sposata con il teatro, che è un’arte molto impegnativa. Ci sono ragazzi che ancora mi chiamano, ma anche volendo non avrei tempo».

Oltre al teatro c’è la pittura. Più che una passione per lei, che è stata Musa del genio surrealista Salvador Dalì.

«Quando l’ho conosciuto ero una studentessa di Belle Arti. Lui voleva che dimenticassi tutto quello che mi avevano insegnato. Mi diceva che Rembrandt era un orrore, Chagall faceva schifo e Cezanne non sapeva dipingere. A me però piacevano, per questo quando abbiamo smesso di frequentarci ho ritrovato quegli autori che amavo veramente. Ma Dalì era un genio, e non era facile contraddirlo».


Il vostro fu un rapporto molto chiacchierato.

«Per me non è stato facile all’inizio: non capivo se era un amante, un fratello o un professore. Soprattutto perché tra di noi non c’era sesso».

La moglie, Gala, non era gelosa?

«Mi disse: “Sono stufa, te lo regalo. Così ho più tempo libero per fare shopping”. Andavamo d’accordissimo, non c’era nulla di segreto tra noi tre».


Come vede il #MeToo? In Francia molte attrici stanno denunciando molestie sessuali.

«Ogni giorno ne esce fuori una che sostiene di essere stata stuprata. È mai possibile che non ce ne sia una che non abbia avuto problemi ? Il mondo del cinema è sempre stato così, ma si sta scoprendo solo ora. Non è una gran novità».

E lei ha mai avuto problemi del genere?

«No. Ma ormai la gente è convinta che per lavorare sia necessario andare con il produttore o con il regista.

Quando Silvio Berlusconi lanciò il canale La Cinq qui in Francia, fui ricevuta all’Eliseo dall’allora presidente François Mitterand, che mi voleva conoscere. Era convinto che fossi l’amante del Cavaliere perché era una voce che circolava all’epoca. Io gli spiegai che Berlusconi era semplicemente il proprietario della rete». […]

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