mercredi 26 avril 2017

Amanda Lear, présidente !

Cécile Bouquigny, alias Amanda Lear, est de retour dans "La Candidate", la suite de "Panique au ministère". Une comédie politiquement incorrecte.
PAR JEAN-NOËL MIRANDE...


On the French Télévision ...
Dimanche 14 mai sur la chaine Comédie a 20h50 ...
 LA CANDIDATE ....avec l inénarrable AMANDA LEAR ... 

        Sunday 14 May in the French Chanel Comédie...


Le rideau se lève. Après quelques secondes de suspense, elle sort du cabinet de toilette dont la porte est restée grande ouverte. Tel un missile, sûre de son effet, blonde vaporeuse, gainée dans une robe panthère, Amanda Lear, est applaudie. Cela s'appelle faire son entrée comme les grandes stars du boulevard d'antan, Sophie Desmarets, Jacqueline Maillan ou Maria Pacôme, et comme on ne le fait plus aujourd'hui.

Elle joue une ministre de la Jeunesse et des Sports, bombardée à ce poste grâce à un émir du Qatar. Sur un coup de tête, elle se présente à la présidentielle de 2017, faisant fi de toute primaire dans son parti. L'histoire de cette folle candidature, comme l'est Amanda, est prétexte à une intrigue farfelue pour tenter d'amener au pouvoir une candidate sans idées et sans programme. « Alors oui, ma première réforme sera de donner plus de pouvoir d'achat aux Français et leur rendre un train de vie enfin digne de ce nom ! » lance la candidate en guise de profession de foi.

Elle, présidente, est tout à fait crédible. Toute ressemblance avec des politiques existants n'est pas forcément fortuite. Sur fond de remaniement bien réel celui-là, rien n'étonne plus le public qui rit à gorge déployée et frappe des mains à chaque saillie. « Si je gagne, je vais changer la donne, moi. Je vais les faire sauter leurs grèves. Et si ça gueule, j'envoie l'armée. »

Une heure de demie de répliques cinglantes

Un spectateur dit à sa voisine : «On dirait Michele Alliot-Marie dans Madame Sans-Gêne. » Un autre en sortant : « Au moins, elle est glamour et drôle. » Cougar assumée, la candidate Amanda Lear collectionne les amants, fume des joints et balance à tout va, pétaradant entre cour et jardin, balançant son texte comme un bolide klaxonnant dans la tempête. Une heure de demie de répliques cinglantes écrites sur mesure par Guillaume Mélanie et Jean Franco pour l'ex-reine du disco. Des formules que ne renierait pas Michel Audiard, à recopier d'urgence dans une anthologie d'humour, et à servir lorsque l'on s'ennuie dans un dîner à côté d'un fâcheux.

Cette comédie bon enfant est servie par des acteurs jouant avec sincérité une situation digne de Barillet et Grédy, auteurs longtemps méprisés par la critique intellectuelle, que salue aujourd'hui Télérama. Mention spéciale pour Raymond Acquaviva, hilarant en « première dame » de France, ou plutôt premier drame de France, travesti en madame Coty, vêtu d'un tailleur façon Chanel.

Amanda Lear, pour cette quatrième pièce, est sur un boulevard, celui du succès assuré. Deviendra-t-elle la présidente de la République au moment où Fleur Pellerin pleure en faisant ses cartons ? En tout cas le public du théâtre de la Michodière retrouvera le chemin des urnes en pleurant, mais de rire cette fois




mardi 25 avril 2017

AmandaLear ... Web Serial ....." Commandeur News "

Amanda : 
"On fera un Starbuck dans le bureau de Hollande à l'Élysée, Emmanuel adore les Chai Tea Latte"



Suite à la victoire d'Emmanuel Macron, Commandeur News reçoit ce matin l'éventuelle futur Première dame de France, ou presque.


Ce matin, coup de fil au camp Macron !

Julie : On appelle ce matin Brigitte Macron, la peut-être future Première dame, femme du candidat d’En Marche.

Voix de répondeur : "Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur d’Amanda et Brigitte Macron, un instant, nous allons donner suite à votre appel. Hold the line, we are trying to connect you !".

Amanda : Allo ?

Julie : Oui, Brigitte, c’est Julie d’Europe 1 !

Amanda : Non, c’est Amanda, Julie !

Julie : Amanda Lear, mais qu’est-ce que vous faites là ?

Amanda : Vous allez finir par choper le César de la meilleure actrice vous, à jouer comme ça ! Non, on s’est installées une ligne commune avec Brigitte. Depuis hier soir, tous les lèches-bottes, lèches-pommes, suceurs de noix de cajou, suces-boules de pétanques, nous harcèlent pour avoir des postes, des faveurs, des services. Ça arrête pas d’appeler, on dirait le standard du Téléthon ! Ils ont fait sauter le portable à Brijou, obligées d’installer un standard unique !

Amanda : Allez-y, monsieur Goncalvez, cassez tout !

Julie : Mais vous faites des travaux, Amanda ?

Amanda : Vous me cassez ce bureau Empire. À En Marche, on ne fonctionne qu’en Open Space monsieur Goncalvez !

Je suis à l’Élysée Julie, on refait tout. On est arrivé tout à l’heure, y’avait un côté sous-Préfecture de Province sous Pétain, ça sentait le pipi de chat là-dedans. On a trouvé un vieux phonographe avec un disque de Rina Ketty qui tournait dans le vide. Un vieux viager mal entretenu !

Amanda : Ah génial, on a fait tomber le mur du bureau du Président ! On va foutre un Starbucks ici ! Emmanuel adore le Chai Tea latte !

Julie : Mais le second tour n’a pas encore eu lieu Amanda ! Il faut laisser les Français décider !

Amanda : Oh non, mais Julie, laissez-moi rire ! Ah ah ah ! Entre Ryan Gosling et Jean-Marie Le Pen avec un carré plongeant, vous prenez qui vous ? Allons allons ! Bon, je vous laisse, je vais aller faire un peu d’aqua bike dans la fontaine du Parc, ce serait bien que j’aie les fesses un peu fermes pour la passation de pouvoir, j’adorerais choper un huissier sur Tinder !

Par Jérôme COMMANDEUR



lundi 24 avril 2017

AMANDA LEAR BY THE FASHION PLATE MAGAZINE

Exclusive: Peet Dullaert Interviews 60s Model Icon Amanda Lear
Beauty, music, becoming a blonde & remembering friends like Salvador Dali.



Fashion is personal for designer Peet Dullaert. He believes the clothes around you represent an extension of your personal space. His clothes move with you, they are meant to be flexible and most importantly adherently close like a friend externally expressing your views, your desires, your inner-self.

Unsurprisingly, Peet Dullaert finds inspiration in people. In this exclusive interview with 60s icon Amanda Lear, part of a personal project called ‘Muses with Extraordinary Lives’, Peet chats with Lear about the things in life that stick to you. He touches upon what is true (Salvador Dali really was the Art Director on one of her shoots) and what others imaged was true and ultimately how both perspectives shaped her into an icon.

PD: What is ‘Beauty’ to you?

AL: Beauty is compulsive. It helps us to live, to go through this life of pain. I can’t live without beauty and I find it in everything; in nature, in colors, in sounds, in the face of a child, the body of an athlete or a model. I cannot imagine a world without beauty.

PD: Over the years there has been a shroud of mystery surrounding you. Stories in the media played a big part in shaping your image. What comes to mind when you look back now?

AL: The interest of the media in me was a surprise, but also an immense help to boost my career. The more I was talked about, all over the world, the more I was selling records and doing shows. Media and journalists kept asking questions about my life, but also many times scrutinized me over photographs, especially the nude ones in Playboy. It all contributed to the “mystery” that became my trademark and made me into who I am today.

PD: Is there a difference between you and the image that the public has of Amanda Lear?

AL: Yes!!! I am totally the opposite of my public image. I am an introvert, solitary. I love being alone with my cats, I love being serious, I am often moody and pessimistic. My public image is a show.

Amanda Lear photographed for Playboy by ©David Bailey (1971)


PD: What is the most life-changing decision that you’ve made and how did you come to that decision?

AL: Dying my hair blonde changed my image! I was mousy ordinary and probably looking like all the other girls of my generation. One day at Vidal Sassoon I changed to blonde and later in Los Angeles Farah Fawcett’s hairdresser, José Eber, made my hair into the thick mane that became my trademark.

PD: How do you feel the media plays a role in your life now?

AL: The big buzz has calmed down now, but my work on stage, my wit and my quotes are still appreciated. There is still fascination around my looks and the secret to my energy (“at my age”…)!

PD: At the end of 1971 Vogue Paris published an incredible photograph of you, taken by David Bailey and art-directed by your lifelong friend Salvador Dalí. This legendary photograph came to be known as ‘Amanda Lear as St. Lucy, Eyes on a Plate’. What was the true story behind it?

AL: That famous picture by David Bailey was Dali’s idea. The story goes that Saint Lucia had her eyes gouged out. She is the saint patron of blindness. What Dali feared most was to lose his sight. I took a boiled egg and put some of the white on my eyelids, then two parts of an egg on a plate as if I’m offering my eyes.

Lear photographed by David Bailey for the December 1971 Dali-edited issue of French Vogue.


That image is so very distinctive and it’s concept so personal. It’s connected to the representation of saints and martyrs. A favorite subject in Art. Finding beauty in the suffering, agonizing and bleeding in order to create compassion.

PD: What is your most personal song and what makes it so personal?

AL: ‘Sphinx’. I wrote it when I was a bit sad and unhappy about my life.

PD: When we revisit your legendary 1977 debut album ‘I Am A Photograph’, the first in a series of iconic disco pop music, we find other memorable songs – ‘Queen Of China-Town’, ‘Alphabet’ – music with impact and mystery. For many that work is still relevant and inspiring today. Where did your inspiration come from?

AL: I wrote all these songs because I had a need to communicate, an urge to express my thoughts. Being a fashion model was so frustrating to me, always being told to shut up and smile. Inspiration came from everywhere; the people around me, envy, jealousy, betrayal and love.

PD: You’ve lived through the seventies – individuality and freedom of expression are considered synonymous with the fashion in those days. But how liberating was it to live in that time?

AL: Yes, we were totally free in the seventies. There was no AIDS.. no BOMBS.. no fear of terrorism … and less drugs. I had such a good time, I was out dancing every night, I had the most beautiful boyfriends and did not care about being poor. Now, I am bored.

Interview by Peet Dullaert, edited by Melanie Bomans.
Cover Image: Amanda Lear is photographed by Robbert Jacobs and styled by Pascal-Joël Weber in a custom Peet Dullaert Zen-line dress.




mercredi 19 avril 2017

Amanda Lear, La candidate, l'élection présidentielle...



Amanda Lear, La candidate, l'élection présidentielle...
                                               Un cocktail détonant à Chalon !


« Toute ressemblance avec des personnes existantes serait-elle purement fortuite ? » Pas vraiment. Entre la vraie élection présidentielle qui s’approche à vitesse grand V, et son ersatz sous forme de comédie, le lien était ténu, comprenant un nombre incroyable de similitudes ! La candidate, l’ultime pièce de la saison 2016-2017 des Théâtrales est sans conteste tombée à point nommé ce mercredi soir à Chalon-sur-Saône, en une salle Marcel-Sembat très joliment remplie…



Entre deux maux, autant choisir le moindre…


Désireuse de quitter la torpeur ambiante en donnant du peps à son existence, Cécile Bouquigny (Amanda Lear), Ministre de la Jeunesse et des Sports,  décide de but en blanc de se soumettre aux suffrages des électeurs afin d’endosser le cas échéant l’habit de Chef d’Etat.  Pour parvenir au bout d’un chemin semé d’embûches, la postulante doit partir trois mois en campagne et avoir une attitude irréprochable, d’autant plus que dans son parti il y a déjà un candidat ! « En gros, je deviens sobre et abstinente », a-t-elle résumé. Premier hic, l’attribution d’un mari, « car pour l’élection présidentielle il faut être en couple ». Ce sera chose faite avec un ancien ministre de l’Education nationale, qui deviendra éventuellement « première Dame de France » ! 


Dotés d’un programme à géométrie variable, doux euphémisme, Cécile et son époux factice ne sont pas des stakhanovistes de l’effort, se conditionnant à l’occasion dans une chaise longue en sirotant un mojito ! Rien de bien sérieux…et pourtant la mayonnaise va prendre consécutivement à une phrase-clé. « Je veux redonner de l’argent aux Français en annulant les dettes ! ». Ni plus ni moins…Dans ces conditions les intentions de vote ne cessent de grimper. Les derniers sondages la donnent même en tête du premier tour avec 28% des intentions de vote. Et puis, coup de tonnerre ! Le gendre de Cécile a commis « le pêché de chair » en état d’adultère avec la directrice de campagne de l’autre candidat, et de ce rapprochement a fuité l’info disant que l’ex-ministre n’est pas le compagnon attitré de l’aspirante. Alors la presse s’empare de cette affaire, et l’équipe de Cécile accuse le coup. Il y a toutefois une porte de sortie : si la candidate appelle à voter Paoli (son concurrent direct), l’article sera mort-né…


C’eût été aller un peu vite en besogne. Grâce à un micro installé à l’intérieur d’une peluche, on apprendra rapidement de la bouche de la directrice de campagne de Paoli que ce dernier traîne des casseroles, « mais que lui sait s’entourer de gens capables de les cacher ». Renversement total de situation, et le sceptre suprême reviendra à Cécile, une présidente flambant neuve. L’Elysée lui tend les bras…


La sulfureuse blonde Amanda Lear a crevé l’écran


Pour sûr, La candidate a beaucoup déridé les zygomatiques des spectateurs. D’abord en raison d’une fiction qui s’est intimement mêlée à la froide réalité d’une actualité brûlante, tournée en dérision du fait de ses grossières aspérités. Et puis Amanda Lear, très pince-sans-rire en  impayable excentrique, aura cristallisé l’attention sur sa personne. Il faut dire par ailleurs que le texte semblait taillé sur mesure, alors l’on s’est gaussé à tire-larigot de toutes les péripéties. Avant peut-être de rire cette fois jaune dans quelque temps…


                                                                                                                                                                                      Michel Poiriault...
Info Chalon.com

dimanche 9 avril 2017

Qu’on aime ou on aime pas AMANDA LEAR, sur scène la femme est une diablesse comique avec un sens du rythme et du timing sans équivalent. La Reine mérite définitivement son titre.

Et oui, au moment de faire le bilan de la pièce "" La Candidate " un mot .... Triomphe




"La candidate" est la suite de "Panique au Ministère" !
Amanda Lear, reprend du service. Et cette fois, c'est dans la course à l'Élysée qu'elle nous embarque ! " En effet, Cécile Bouquigny (Amanda Lear) a pris du grade depuis le premier opus : elle est actuellement Ministre de la Jeunesse et des Sports ! Sur un coup de tête, (et à trois mois de la fin de ses fonctions !) elle décide de se présenter à l'Élection Présidentielle... En faisant valser un équilibre déjà précaire, elle va une fois encore semer la Panique au Ministère..."




En 2009 le duo prolifique Jean FRANCO et Guillaume MÉLANIE (auteurs et comédiens actuellement à l’affiche dans le très bon UN WEEK-END SUR DEUX… ET LA MOITIE DES VACANCES SCOLAIRES au Théâtre EDGAR), proposaient PANIQUE AU MINISTÈRE, une comédie sur fond de politique portée par Natacha AMAL et Edouard COLLIN, et pour la première fois sur les planches Amanda LEAR dans un rôle déjanté qui allait révéler son talent comique au théâtre. Si à l’époque son rôle était secondaire, dans LA CANDIDATE LEAR est la tête d’affiche et son personnage Cécile Bourquigny… Ministre de la Jeunesse et des Sports en fin de mandat. Une ministre qui décide de se présenter à l’élection présidentielle sur un coup de tête. Déjanté qu’on vous dit

UNE DIABLESSE COMIQUE

On prend les mêmes et on recommence : auteurs, personnages, metteur en scène, comédiens (à une exception près), c’est assez rare pour le souligner LA CANDIDATE est le digne successeur de PANIQUE AU MINISTÈRE et une fois n’est pas coutume une suite qui est une vraie suite. Avec LA CANDIDATE le duo FRANCO-MELANIE nous proposent une pièce entière taillée sur mesure pour la Reine LEAR (comme elle se surnomme elle-même sur Twitter). C’est un vrai festival ! Avec son personnage de ministre par accident, croqueuse d’hommes et adepte de soirées pétard-mojito, Amanda décroche toutes les bonnes répliques, des répliques qu’elle débite à la chaîne, sans temps mort, une succession ininterrompue de punchlines bien envoyées et calibrées au millimètre. Alors certes l’histoire ne sert finalement que de fil rouge et question crédibilité on repassera mais on ne s’ennuie pas une seule seconde !  Qu’on aime ou on aime pas LEAR, sur scène la femme est une diablesse comique avec un sens du rythme et du timing sans équivalent. La Reine mérite définitivement son titre.



LA COUR DE LA REINE

Malheureusement dans ce show 100% Amanda les autres personnages ramassent les miettes et leur partition est réduite à portion congrue. Le personnage interprété à l’origine par Natacha AMAL a été recasté au bénéfice de Marie PAROUTY. A la fin de la pièce on comprend pourquoi AMAL n’a pas souhaité rempilé : ici le personnage est ennuyeux, sans humour et sur la défensive en permanence. PAROUTY fait ce qu’elle peut mais à l’évidence tout le second degré du personnage d’origine a disparu au profit du rôle de faire-valoir. De même le personnage d’Edouard COLLIN n’a pas non plus ni la folie ni la grandeur qu’il avait sur le premier volet. De sympathique homme de ménage on le retrouve ici conseiller politique de la candidate, sérieux (ennuyeux ?), fourbe et limite antipathique. Dommage de ne pas avoir exploité davantage son potentiel comique. A noter que pour la première fois depuis des années COLLIN ne tombe pas la chemise sur scène ; si on a le plaisir des yeux en moins l’homme n’en reste pas moins élégant. Finalement seul Raymond ACQUAVIVA s’en sort bien avec un personnage complètement barré et extravagant, un bel alter-égo à la folie de la Reine LEAR. ACQUAVIVA signe également la mise en scène, qui n’est pas spécialement originale mais qui a le mérite d’être rythmée, ce qui n’est jamais évident quand on évolue dans une même unité de lieu (au passage ce décor unique est plutôt beau et agréable).



Sur le fond LA CANDIDATE est également une satire politique, avec ses imbroglios et ses magouilles politiciennes pour arriver à décrocher le job, peu importe les compétences (éternel thème d’actualité). Comme en politique tout n’est qu’esbroufe, image et communication. Rien de bien original mais évidemment ici il s’agit d’une grosse farce prétexte au festival LEAR. Dommage que les autres comédiens ne soient pas aussi bien lotis. L’ensemble n’en reste pas moins un vrai divertissement. Et finalement c’est tout ce qu’on lui demande.
A voté : contrat rempli !

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