mercredi 16 janvier 2019

Ce cadeau d'Amanda Lear qui devrait faire rire Brigitte Macron ...

Amanda Lear est souvent comparée à Brigitte Macron. Amusée par cette ressemblance qu'elle ne comprend pas tout à fait, la chanteuse fait référence à la première dame dans son ouvrage Délires et a déclaré au journal Le matin, qu'elle lui avait même préparé une petite surprise...



Amanda Lear n'aime pas le politiquement correct et ne risque pas de changer. La muse de Salvador Dalí reste fidèle à elle-même : franche et décalée, une personnalité comme il y en a peu qu'elle dévoile dans son dernier livre Délires (ed. Cherche midi). La chanteuse y fait part de ses réflexions plus savoureuses les unes que les autres, et évoque notamment sa ressemblance avec Brigitte Macron, dont on lui parle souvent : "La presse a fait ses choux gras des faux airs que Brigitte Macron aurait avec moi. “Faux”, oui, c’est le mot! Il faudrait penser à leur acheter des lunettes? Cela dit, quitte à ressembler à une première dame, je préfère Brigitte Macron à tante Yvonne [de Gaulle]"

Reine de la provoc', Amanda Lear a profité de ces commentaires pour faire un petit clin d'oeil à la première dame, on lui envoyant un exemplaire du livre. "Je l'ai envoyé à Brigitte Macron, il y a une petite anecdote. J'espère qu'elle va bien se marrer " a-t-elle confié à nos confrères de Le matin. Brigitte Macron risque bien de sourire à la lecture de l'ouvrage, surtout en survolant certains passages imaginés par celle qui fut l'amante de David Bowie.

Ce petit cadeau devrait remonter un peu le moral de la femme d'Emmanuel Macron. Son président de mari doit en effet faire face à de multiples polémiques depuis quelques mois et sa santé s'en ressent. En parfaite première dame, Brigitte fait tout ce qui est en son pouvoir pour le garder à flot. L'humour d'Amanda Lear ne pourra donc pas lui faire du mal...

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mardi 15 janvier 2019

INTERVIEW AMANDA LEAR : Et elle n'a pas sa langue dans sa poche.

AMANDA LEAR «YANN MOIX EST UN IMBÉCILE TOTAL!»
L'icône parle de sa retraite, de ses amours, de la drogue et des hommes qui lui font encore la cour. Et elle n'a pas sa langue dans sa poche.

Le Matin. CH direct Link ...FABIO DELL'ANNA...Click

C'est une Amanda Lear pétillante et bavarde que l'on retrouve au bout du fil. À Rome pour quelques jours, elle nous raconte que sa «semi-retraite» se passe très bien. «Semi» car, même si elle n'est pas montée sur les planches depuis deux ans, elle ne s'est pas arrêtée pour autant. La preuve avec son livre «Délires» paru en novembre dernier. «Il est sorti en Suisse? Ah mais c’est con, j’aurais dû faire de la promo alors. En France, je n’ai pas arrêté», nous explique-t-elle de sa voix suave et rauque à la fois.

«Je l'ai envoyé à Brigitte Macron, il y a une petite anecdote. J'espère qu'elle va bien se marrer.» Car oui, le premier but de cet ouvrage et de divertir tout en découvrant l'étonnante vie de la muse de Salvador Dalí. «Je ne prends rien au sérieux. J'aime rire, surtout de moi-même. Alors posez-moi les bonnes questions!» Ça ne rigole plus.

Vous avez sorti en fin d'année un livre «Délires» avec vos anecdotes et vos phrases les plus mémorables. Une parenthèse très drôle !

Vous avez bien de la chance de l’avoir. En France on a eu beaucoup de difficultés avec tous ces blocages de camions à cause des Gilets Jaunes. Plusieurs librairies n’ont pas été livrées. Cela a fait du tort aux ventes. Vous n’avez pas ces problèmes en Suisse, et vous ne les aurez jamais. Vous êtes plus intelligents que ça.

Comment avez-vous eu l'idée de ce livre ?

Je n’ai aucune ambition, j’attends que l’on vienne me voir. Je n’ai jamais demandé à écrire un livre, à faire de la chanson ou du théâtre. Comme je crois beaucoup au destin, je laisse faire. En revanche, il n'était absolument pas question d’écrire une biographie. Je trouve ça d’une prétention invraisemblable que des gens du spectacle le fassent. Si vous êtes Mère Teresa ou la reine d’Angleterre, pourquoi pas. Mais pas lorsque vous avez 22 ans et que vous vous appelez Nabilla. Où va-t-on ?

Votre dernier album, «Let Me Entertain You», date de 2016, vous n’avez pas envie de revenir à la chanson ?

Non. C’est un peu décevant ce qui se passe dans la musique maintenant. Autrefois, il y avait des artistes avec de vraies paroles. Aujourd’hui, c’est fini. L’industrie a été massacrée par le showbiz américain en lançant des filles qui se tortillent à moitié à poil en playback. Voir Beyoncé ou Jennifer Lopez le cul à l’air ou en string, ça ne m’intéresse pas du tout. Pour moi, une chanteuse c’est une bonne femme qui se met devant un micro avec une jolie robe et qui interprète, comme Nana Mouskouri, Juliette Greco, Véronique Samson ou encore Sylvie Vartan. La musique ne m’intéresse plus du tout. Si je devais revenir, ce serait uniquement pour un album tout en français avec des chansons à texte, comme celles de Gainsbourg ou Jean-Jacques Goldman.




Vous avez répondu que si vous deviez vous décrire un mot, ce serait «star». Si je vous dis que ce n'est pas assez ?

Je me décris très mal car il y a deux images. Celle que me renvoie le miroir et celle que voit les gens. Si je me décris comme les gens me voient: oui, Amanda c’est glamour, c’est mystérieux, c’est sophistiqué, c’est une icône. Mon miroir me dit plutôt: voilà une dame qui travaille tout simplement et qui a eu une chance inouïe d’avoir fait carrière alors qu’au départ elle ne savait pas quoi faire. Je dirais alors que je suis la personne la plus chanceuse de la Terre.

En 2016, vous annonciez votre retraite. Vous avez du mal à décrocher ?

Je l’ai prise. J’ai dit que vous ne verrez plus sur les planches après le spectacle «La candidate». Et en effet, ça fait deux ans qu’on ne m’a plus revue au théâtre ou dans des téléfilms. Cela m’a permis de rester chez moi plus d’un an, d’écrire ce livre, de préparer des peintures. La seule chose qui m’a fait sortir, c’était pour doubler la voix d’Edna Mode dans «Les Indestructibles 2». C’est extraordinaire de participer à un film qui a marqué l’histoire et qui va direct aux Oscars. Sinon, me retirer à la campagne a été une espèce de semi-retraite. Et maintenant, je suis prête à refaire des choses. Je vais tourner un film en Italie en mai, j’ai des émissions à faire à San Remo, j’ai une exposition de peinture à Paris, qui va d’ailleurs aussi passer par Berne.

Vous aviez davantage besoin d’une pause que d’une retraite.

C’est ça. J’ai enchaîné les tournées, les plateaux TV et finalement les pièces de théâtre. Quand est-ce que ça allait s’arrêter? À 90 ans? Il fallait que je m'arrête. C’est bien de gagner de l’argent, mais c’est encore mieux de profiter de la vie. Et il n’y a rien de plus important que de prendre soin de sa santé, voir ses amis et de peut-être s’organiser quelques petits voyages.

Cette vie formidable, c’est une chose à laquelle vous pensiez depuis toute petite ?

Je ne sais pas ce que je voulais devenir. Mais je savais qu’un destin exceptionnel m’attendait. J’ai toujours pensé que je ne serais pas comme les autres. Je me disais que peut-être je deviendrais une danseuse ou une grande criminelle. C’est venu petit à petit, avec des rencontres fortuites. Et ça continue. Je me dis peut-être que cette après-midi en sortant de mon hôtel je tomberai sur Woody Allen ou Tim Burton. Je n’ai jamais rien planifié dans ma vie.



Quand avez-vous commencé votre vie d'artiste ?

Ma carrière a démarré quand une maison de disques allemande m’a appelée de Munich pour me dire: «Vous nous intéressez. Nous aimerions lancer une Marlene Dietrich disco, votre voix correspond à ce que nous cherchons. Venez!» J’avais un peu tâté de la chanson avec David Bowie, car il m’avait encouragée. Il me disait: «Tu sais, tu as beaucoup de personnalité. Tu devrais chanter.»



David Bowie vous a même payé des cours de chant, non ?

Exactement. Il ne me les donnait pas. Il payait une femme qui s’appelle Florence Norbert. Une personne redoutable. Elle me faisait faire des gammes du matin au soir. Bowie m’a aussi payé quelques cours de danse, mon loyer et les voyages pour l'accompagner à New York. Tout était sous contrôle pendant 2 ans avec son manager. Au bout de ce temps, je me suis fatiguée. Je déteste être sous contrat, avoir des contraintes… Donc je suis partie. J’ai toujours été indépendante et j’aime la liberté.

Vous avez même enregistré un single avec lui: «Star».

Qui n’est jamais sorti, c’est ça. C’était pas mal. Je disais à son management: «Quand est-ce que ça sort?» Et on me répondait: «Attends, on est en train de préparer sa tournée.» J’allais attendre combien d’années? J'en ai eu marre et j'ai pris la porte.

Vous êtes restée en bons termes avec David Bowie ?

Ah non! Plus aucun contact! Lui est resté en Amérique à faire ses tournées et se droguer. Moi, je suis rentrée en Europe pour démarrer ma carrière. Je n'avais plus le temps de revenir à mes premières amours avec Bowie, qui habitait à New York, ou avec Bryan Ferry à Londres. Je les ai tous un peu perdus de vue.

D’ailleurs, vous dites avoir beaucoup de mal avec les personnes qui se droguent.

J'ai une allergie totale des gens qui se droguent. Je trouve que c'est une faiblesse impardonnable. Je peux à la rigueur comprendre les gens qui picolent un peu pour la fête. Mais se droguer en disant «je suis malheureux, donc je me drogue», je déteste ça.

Votre ex-compagnon Salvador Dalí pensait de la même manière, non ?

Il était très antidrogue. D'ailleurs, c'est très curieux car les hippies se disaient: «Cet artiste doit être drogué. Il peint des visions psychédéliques, des choses tellement cauchemardesques. C'est un peu ce que l'on voit quand on prend notre LSD ou notre acide.» Ils étaient tous persuadés qu'il était défoncé, alors que pas du tout. Dalí disait: «Vous vous droguez pour voir des arcs-en-ciel? Vous prenez un verre d'eau minérale et vous pouvez aussi les voir.» Il aimait beaucoup dire que la drogue c'était lui.


Il ne s'énervait jamais contre vous ?

Je ne l'ai presque jamais vu en colère. L'une des rare fois était quand Kirk Douglas tournait un film à Cadaques (E). C'était un long-métrage tiré d'une histoire de Jules Verne. Un navet pas possible. Une fois, il m'a prise à part et m'a dit: «Tu peux me trouver de quoi fumer? J'aime bien un petit joint de temps en temps.» J'ai parlé à des jeunes à cheveux longs qui m'en ont donné un sur la place à côté. Lorsque Dalí a découvert ce que j'ai fait, c'était la fin du monde. «Jamais plus je ne vous verrai, si vous recommencez», a-t-il hurlé.

L'amour aujourd'hui ? Vous en êtes où ?

Vous savez ce qui est amusant? La séduction. Mais, après ce stade, la consommation c'est toujours pareil. C'est qui est fait est fait.


Il y a encore beaucoup d'hommes qui vous courent après ?

(Rires.) Il y a plein de gens qui me font la cour, mais ça m'intéresse que moyennement. C'est flatteur et rassurant quand vous arrivez à un âge où normalement on ne devrait même plus vous regarder. Je me dis que je ne suis pas encore bonne à jeter à la poubelle.

Vous pensez être capable de revivre une relation ?

Avoir une histoire d'amour est très fatigant. Je tombe amoureuse toute la journée. Cela dure cinq minutes, trente secondes et après on ne se revoit jamais plus. C'est cette espèce d'émotion qui est formidable. Mais s'engager dans une histoire c'est insupportable. Il y a la jalousie, la possession, il faut rendre des comptes...

Si vous aviez l'occasion de boire un verre avec quelqu'un maintenant, ce serait qui ?

Une personnalité connue? Oh, je préfère répondre avec ce beau garçon que j'ai croisé ce matin. (Rires.) Il y a beaucoup d'acteurs américains séduisants, mais je ne suis pas une groupie. Je ne fais pas partie de ces personnes qui ont absolument besoin d'avoir un selfie avec Brad Pitt ou George Clooney. Je choisirais des gens intéressants, comme Adrien Brody.

Pourquoi ?

Déjà physiquement il m'intéresse car j'aimerais qu'il joue Salvador Dalí. Un biopic est en préparation. Malheureusement, ils sont en train d'en tourner un autre à Londres avec Ben Kingsley et Ezra Miller, qui joue Dalí jeune. Vous l'avez peut-être déjà vu dans «Les Animaux fantastiques».


Qui verriez-vous pour jouer votre rôle ?

Il faut revenir quarante ou cinquante ans en arrière. Quand j'ai rencontré Dalí j'étais blonde, très maigre, très grande et mannequin chez Paco Rabbane. Il faudrait trouver une jeune actrice ou un top avec ce physique. Pour mon biopic, on me proposait Léa Seydoux. Elle est très jolie, mais elle est pulpeuse, ronde... Ce n'était pas du tout mon physique.

Que pensez-vous de la polémique autour de Yann Moix qui se dit incapable d'aimer le corps d'une femme de plus de 50 ans ?

Yann Moix est un imbécile total! Je n'aime pas ses livres. Il dit n'importe quoi, comme tous ces gens qui ont envie de faire le buzz à deux semaines de la sortie de son bouquin. Qu'il n'aime que les femmes asiatiques, ça le regarde. Mais de là à dire que toutes les autres sont à chier... Non! Cela ne veut pas dire que toutes les autres sont moches. Je suis sûre qu'il n'a pas voulu insulter les femmes de 50 ans, chacun ses goûts. Mais, aujourd'hui, on ne peut plus rien dire. C'est comme si je disais: «Je n'aime pas les mecs qui jouent au golf, ça m'emmerde.» C'est vrai que les hommes après un certain âge aiment ce sport donc je ne me vois pas sortir avec un monsieur âgé. J'aime être avec de jeunes gens qui sont plus dynamiques, enthousiastes, plus naïfs. Mais si je dis ça, on va dire: «Elles aussi pensent que les vieux sont nuls.» Alors que non, chacun ses goûts.






mercredi 9 janvier 2019

IMPROBABLE LA DRÔLE DE PROPOSITION FAITE À AMANDA LEAR ...

La chanteuse s'est souvenue d'une anecdote «amoureuse» plutôt étonnante avec une civière. Une histoire qui a provoqué un fou rire sur le plateau de «Je t'aime etc.».

A l'occasion de la rubrique «sexo» du show de France 2 «Je t'aime etc.», Amanda Lear était questionnée sur la nécessité du confort pendant les relations sexuelles.

En plein débat avec plusieurs invitées, l'ex-compagne de Salvador Dali a agrémenté la discussion d'une anecdote plutôt improbable. «J'aime le confort mais il y a des gens… Moi je me rappelle, un ambulancier m'avait draguée, et un jour il m'envoie un texto il me dit: "J'ai l’ambulance, je suis avec un pote, tu descends, on va te n*** sur la civière."»


Une fantaisie qui ne lui a hélas pas donné envie à Amanda Lear de prendre l'ascenseur pour les rejoindre. «Moi, ça ne me disait rien sur une civière.» Elle les a alors renvoyés d'urgence au travail.

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Amanda Lear : Fini les Grosses têtes !

Alors qu’elle en était l’une des figures emblématiques, la comédienne refuse désormais de faire partie de “la bande à Ruquier”.

Icône emblématique de cette institution radiophonique, à l’époque où Philippe Bouvard y officiait, Amanda Lear ne s’amuse plus aux Grosses têtes. Depuis le départ de son ami, qui appréciait son sens de la repartie et ses décolletés, elle n’y a participé que trois fois en 2014, l’été où Laurent Ruquier a repris le programme de RTL, créé en 1977.



Grivoiseries

« C’est mal payé, mais j’y vais depuis dix ans pour la partie de rigolade, déclarait-elle en 2004, à l’occasion de la 10 000e émission. Les sociétaires hommes ne sont pas misogynes. Ils se moquent des femmes, c’est vrai, mais ils les adorent. Tout cela est bon enfant. » Mais, ces derniers temps, elle ne répond plus aux invitations de Laurent Ruquier, car elle craint qu’un sniper, en particulier Laurent Baffie, ne lui lance des blagues graveleuses au sujet de son identité sexuelle.

Et si Amanda Lear a écouté l’émission du dimanche 18 septembre, cela n’a pas dû l’inciter à changer d’avis. L’animateur de télévision et de radio proposait la citation suivante. « Qui a dit : “J’ai commencé à peindre des paysages, quand j’ai compris que jamais un arbre ne viendra me dire qu’il n’était pas ressemblant.” » Avant de préciser : « C’est quelqu’un qui n’est ni humoriste ni peintre. » La chroniqueuse radio Caroline Diament réagit : « Amanda Lear ! » Bonne réponse. Les invités du plateau en profitent pour lâcher des grivoiseries sur le genre d’Amanda, et interrogent le présentateur à propos de sa disparition de l’émission : « On aimerait bien qu’elle revienne, lancent-ils. On l’adore… » Laurent Ruquier aussi regrette cette absence et ajoute : « Moi, elle m’a dit : “Je viendrais bien, mais je suis sûre qu’on va encore se moquer de moi, et ça me casse les couilles !” » Une remarque qui déclenche l’hilarité générale !


L’ancienne égérie de Salvador Dalí s’est souvent expliquée à propos des rumeurs la qualifiant de transsexuelle, pour les démentir. Cette affirmation lancée en 1978 par le peintre, relayée un an plus tard par le compagnon d’Amanda à l’époque, David Bowie, serait-elle devenue trop lourde à porter ? Amanda Lear avait pourtant affirmé être un homme… dans l’espoir de vendre ses premiers albums.

Ne dit-on pas que les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures ? Qu’elle soit née, selon ses biographies, en 1939, 1941, 1946 ou 1947, à son âge, on peut parfaitement comprendre qu’elle en ait assez que l’on doute de sa féminité !

Nina Collombe
FranceDimanche...Direct Link ...Click !




Amanda Lear : Pourquoi elle ne donne pas son véritable âge ?

Amanda Lear fait partie des personnalités les plus secrètes du star système français. Et pour cause, chaque information au sujet de ses origines, de sa date de naissance ou même de son nom est incertaine. La raison ? Celle qui fut la muse de Salvador Dali sème elle-même la confusion.

Sur Internet, la page Wikipédia d'Amanda Lear indique qu'elle est née en 1939, 1941, 1946 ou encore en 1950. Ce mystère au sujet de son âge, c'est la chanteuse elle-même qui l'a semé. Le 7 janvier 2019, à l'occasion de la sortie d'un recueil de ses meilleures punchlines, "Délires", publié aux Éditions du Cherche midi, Amanda Lear était l'invitée de Daphné Burki sur le plateau de Je t'aime etc... sur France 2. L'interprète de Follow me est revenue sur une de ses perles favorites : "Quand je serai morte, on me datera au carbone 14 pour connaître enfin mon âge."



L'art de la punchline

Évidemment, Daphné Burki a essayé d'en savoir plus et d'élucider ce "mystère" autour de l'âge de celle qui fut la muse de Salvador Dali. Une tentative à laquelle Amanda Lear a répondu : "Je l'ai oublié ! À force de donner des fausses dates de naissance, j'ai complètement oublié la vraie" avant de déclarer "c'est un chiffre on s'en fout".

Dans un entretien accordé à VSD en 2016, cette dernière avait tout de même confié être en paix avec son âge. "Je vois mes copines d'enfance anglaises se laisser aller. Elles commencent toutes leurs phrases par 'À mon âge...' Ça m'horripile ! Justement, à ton âge, ton mari t'a larguée pour une plus jeune, t'as une pension alimentaire, les enfants sont grands, youpi, éclate-toi ! Le troisième âge, c'est formidable !", avait-elle expliqué.


Amanda Lear était l’invitée de Je t’aime etc… présentée par Daphné Bürki ....

Amanda Lear était l’invitée de Je t’aime etc… présentée par Daphné Bürki sur France 2. Elle a enfin levé le voile sur son âge. Ou presque.

Quel âge a Amanda Lear ? Est-elle née femme ou homme ? Jamais une personnalité n'a cultivé autant de mystère autour de son identité... Si aujourd’hui, nous savons bel et bien que l’actrice et chanteuse est une femme, il reste encore un mystère à élucider : son âge. L’ancienne compagne de David Bowie et Salvador Dali n’a jamais souhaité s'épancher sur le sujet, sans jamais expliquer pourquoi. Certains y vont de leur pari et affirment qu'elle aurait plus de 70 ans quand d’autres lui en donnent à peine 65…



Invitée dans l’émission Je t’aime etc… présentée par Daphné Bürki sur France 2, Amanda Lear a rouvert le dossier. Après avoir fait la promotion de son recueil Délires dans lequel elle a réuni ses meilleures punchlines, la muse des années 1970 met les pieds dans le plat : “Quand je serai morte, on me datera au carbone 14 pour connaître enfin mon âge.” Un sarcasme qui a eu le don de faire rire le public. Daphné Bürki, habituée aux fortes têtes, n’en démord pas et tente le tout pour le tout : “C’est par volonté ou par provoc ?” La réponse n’est pas celle espérée.



“Je l’ai oublié ! À force de donner des fausses dates de naissance, j’ai complètement oublié la vraie (...) C’est un chiffre, on s’en fout !”, lance-t-elle en noyant le poisson. L’animatrice aux nombreux tatouages enchaîne et comprend rapidement que ce n’est pas aujourd’hui qu’on en saura plus sur l’âge d’Amanda Lear. D’ailleurs, la chronique se finira sur la question que l’on se pose vraiment : “Amanda Lear est-elle immortelle ?”