vendredi 21 octobre 2016

Théâtre de la Michodière, du 17 au 27 novembre.... Amanda LEAR ...

LA CANDIDATE, c’est Amanda Lear au top, de retour au théâtre de la Michodière, du 17 au 27 novembre !


Amanda Lear, Camille Hugues, Edouard Collin, Raymond Acquiviva, Lydie Muller, Marie Parouty....


La suite de la comédie hilarante : Panique au Ministère, et cette fois on va encore plus loin! La pièce revient au Théâtre de la Michodière pour une trop courte prolongation : du 17 au 27 Novembre.

AFFICHE LA CANDIDATE

En effet, la joyeuse troupe qui a connu un très gros succès il y a 5 ans, reprend du service toujours avec Amanda Lear en tête d’affiche. Et suite à une bourde elle déclare se présenter aux présidentielles.En effet, Cécile  (Amanda Lear) a pris du grade depuis le premier opus : elle est actuellement Ministre de la Jeunesse et des Sports !
En faisant valser un équilibre déjà précaire, elle va une fois encore semer la panique au Ministère… et la troupe va suivre avec sa fille, son gendre, sa petite fille et son mari plutôt âgé. Et les gaffes vont s’enchaîner pour le bonheur du public.

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Il faut bien avouer que la géniale Amanda est fidèle à son équipe, dont les deux auteurs Jean Franco et Guillaume Mélanie, qui écrivent, pour une fois une suite à une de leurs pièces. On sait qu’ils connaissent bien les ficelles pour nous dérider avec des œuvres comme : Un week end sur deux et la moitié des vacances scolaires au théâtre Edgar, Jamais 2 sans 3 au théâtre du Palais Royal, ou encore Pour combien tu m’aimes qui fit les belles soirées du Palais des Glaces. Ils avaient écrit du sur mesure pour Amanda Lear avec Panique au Ministère, et c’est une nouvelle réussite  à leur actif que nous pouvons applaudir au Théâtre de la Michodière, qui décidément enchaîne succès sur succès! Les deux complices connaissent bien les moyens de dérider et faire rire une salle, et les répliques fusent sous les rires de la salle. Certes c’est Amanda qui a le beau rôle et les plus belles répliques, mais cela n’empêche pas les talents autour d’elle de s’affirmer. Et plus particulièrement Edouard Collin, ( que l’on a vu dans Lady Oscar et Panique au ministère avec Amanda Lear, mais aussi dans Revenir un jour, et dans Une souris Verte) ou celui qui a double casquette, en étant à la fois metteur en scène et acteur : Raymond Acquaviva. Il ne faut pas oublier les filles, Marie Parouty, Lydie Muller, Camille Hughes.

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Ce n’est pas tout à fait du boulevard, ce n’est pas tout à fait du café théâtre, c’est tout simplement une bonne comédie où on s’amuse de bout en bout. On vient pour Amanda Lear, et personne ne le regrette. Sa plastique est irréprochable, elle a l’air de s’amuser autant que nous avec de nombreuses tenues, dont une en maillot de bains qui attire visiblement tous les regards.

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Amanda Lear a prévu d’arrêter ensuite sa carrière, après la tournée, alors hâtez-vous de réserver!

Toutes les photos : ®Celine.Nieszawer

La CANDIDATE, c’est du mercredi au samedi à 20h30 et matinées les samedis à 16h30 et dimanche à 15h30
Prix des places : de 15 à 47€
Il est prudent de réserver, je l’ai vu avec une salle comble!
tel: 01 47 42 95 22

mercredi 19 octobre 2016

Amanda Lear "Fatiguée par le showbiz"

"Fatiguée par le showbiz", Amanda

Lear annonce ses adieux

People: Amanda Lear, l'une des égéries de Salvador Dali, annonce ses "adieux définitifs" pour le 1er mai 2017
"Ce métier n'est pas fait pour moi!": à la veille de son 66e anniversaire, Amanda Lear, l'une des égéries de Salvador Dali devenue chanteuse et comédienne, annonce sur le tard des "adieux définitifs", pressée de retrouver une vie normale entourée de ses chats, loin des projecteurs.
"Je n'avais aucune intention d'être dans le showbiz. Je voulais juste être peintre. Se donner en spectacle et faire sans arrêt son intéressante, me fatigue", affirme-t-elle dans un entretien à l'AFP, précisant qu'elle arrêtera sa carrière le 1er mai 2017, après la tournée de sa pièce "La Candidate".
"Je ne supporte plus de me voir à la télé, de me maquiller tous les jours. Je n'ai plus envie d'être dans l'oeil du public", confie Amanda Lear.
"On m'a littéralement poussée dans le monde du spectacle. C'est David Bowie qui m'a convaincue de chanter. J'ai eu une chance inouïe dont rêvent tant d'artistes, mais ce n'est pas pour moi", assure Amanda Lear, née Amanda Tapp en 1950 à Hong Kong, selon ses déclarations.
"Dans le showbiz, on vit tous les jours dans la déception permanente des choses qui ne se réalisent pas. Je fatigue... J'ai de petits problèmes de santé avec des cervicales qui m'handicapent terriblement", dit-elle.
"Mon premier album est sorti en 1977. L'an prochain, j'aurai 67 ans. Quarante ans de carrière, ça va! Il est temps de profiter de la vie. Grâce au public, j'ai pu m'acheter une jolie maison et de jolis sacs à main. Je veux maintenant profiter des années qui me restent avec mes chats", poursuit-elle.
 "Paysanne dans l'âme" - 
Amanda Lear explique qu'elle veut "laisser un souvenir au top", refusant de "devenir pathétique, en s'accrochant à n'importe quoi".
"Je déteste ces artistes qui font de faux adieux et qui sont encore là vingt ans après. Greta Garbo a très bien réussi ses adieux. Elle est partie et on ne l'a plus jamais revue", rappelle-t-elle, assurant "qu'elle est la plus heureuse quand personne ne la reconnaît".
"Je suis très paysanne dans l'âme. Je suis officiellement oléicultrice. Je récolte mes olives et je les porte au moulin. Cette vie normale me plaît", assure Amanda Lear.
Après des études à la Saint Martin's School, de Londres, Amanda Lear a démarré comme mannequin à la fin des années 60, notamment pour Paco Rabane. Salvador Dali devient son Pygmalion et en fait son égérie. Elle partagera sa vie avec Dali et son épouse Gala pendant plusieurs années.
Sur les conseils de David Bowie qui la choisit pour illustrer son album "For Your Pleasure" en 1973, Amanda Lear se lance dans la chanson, accumulant plusieurs succès internationaux, en pleine période disco, tout en animant de nombreuses émissions de TV en Italie.
En 2007, la chanteuse, qui est aussi peintre, a reçu les insignes de chevalier des Arts et Lettres, le ministère de la Culture saluant un "icône intemporelle, la muse et la reine du Disco".
L'année suivante, Amanda Lear est devenue une inattendue star du théâtre de boulevard avec "Panique au ministère", puis "Lady Oscar", adaptation au féminin du film avec De Funès, avant "Divina" et "La Candidate", deux pièces sur mesure.
En juin dernier, la chanteuse a publié un dernier album, "Let Me Entertain You" (Universal), après un hommage à Elvis Presley paru en 2014.
Interrogée la même année sur FranceInfo sur des rumeurs anciennes de transsexualité la concernant, Amanda Lear qui a toujours fermement démenti, a reconnu que "les fausses informations entretiennent le mystère".
"Cela m'a fait de la pub d'enfer. Je ne faisais pas de la très bonne musique. Soyons clair, et j'avais besoin de publicité", a-t-elle ajouté.

AMANDA LEAR ANNONCE SES ADIEUX

AMANDA LEAR ANNONCE SES ADIEUX

A la veille de son 66 éme anniversaire, Amanda Lear, l'une des égéries de Salvador Dali, a annoncé ses adieux définitifs pour le 1 er mai 2017


                  Amanda Lear: «Je veux maintenant profiter des années qui me restent avec mes chats.»

«Je n'avais aucune intention d'être dans le showbiz. Je voulais juste être peintre. Se donner en spectacle, se maquiller, faire sans arrêt son intéressante, me fatigue. Ce n'est pas pour mo i!», affirme la chanteuse et comédienne qui a annoncé ses adieux , après la tournée de sa pièce «La Candidate».
«Je ne supporte plus de me voir à la télé, de me maquiller tous les jours. Je n'ai plus envie d'être dans l'oeil du public», confie-t-elle, ajoutant qu'elle souffre des cervicales.
«Laisser un souvenir au top»
Amanda Lear explique qu'elle veut «laisser un souvenir au top», refusant de «devenir pathétique, en s'accrochant à n'importe quoi».
«Je déteste ces artistes qui font de faux adieux et qui sont encore là vingt ans après. Greta Garbo a très bien réussi ses adieux. Elle est partie et on ne l'a plus jamais revue», souligne-t-elle, assurant «qu'elle est la plus heureuse quand personne ne la reconnaît».
«Mon premier album est sorti en 1977. L'an prochain, j'aurai 67 ans. Quarante ans de carrière, ça va ! C'est un chiffre rond. Il est temps de profiter de la vie. Grâce au public, j'ai pu m'acheter une jolie maison et de jolis sacs à mains. Je veux maintenant profiter des années qui me restent avec mes chats», dit celle qui a été l'une des muses de Salvatore Dali.

Amanda Lear, c’est fini…

Pour le magazine Têtu .....

          Amanda Lear, c'est fini  
                                                                                      Par Jérémie Lacroix 

                                Amanda Lear

Amanda Lear vient d’annoncer qu’elle mettait un terme à sa carrière. Retour en images sur quarante années bien remplies.

La grande Amanda Lear a décidé de mettre un terme à sa carrière. Cette triste nouvelle a eu l’effet d’une bombe à la rédaction de TÊTU. Un journaliste agonise au sol comme si on lui avait annoncé la mort de Britney Spears dans un accident d’avion tandis qu’un autre s’est enfermé en larmes dans les toilettes en tentant de joindre désespérément l’attachée de presse d’Amanda pour lui faire changer d’avis. Dans cette ambiance surréaliste, je tente tant bien que mal de rassembler mes esprits, également abasourdi par la nouvelle, pour écrire ces quelques lignes en hommage à celle qui nous a fait tant rire et danser.
Car Amanda Lear, telle une chatte qui se faufile de toit en toit, a plusieurs vies. Muse, chanteuse, comédienne, animatrice télé, mannequin…, elle a marqué plusieurs générations par son franc parler, sa voix suave, son allure et son humour. Retour en images sur 40 ans de carrière.

Amanda Lear, reine du disco

A la fin des années 1970, la période disco bat son plein avec des artistes tels que ABBA, Village People, Gloria Gaynor. Amanda Lear, poussé par ses producteurs, décide de se lancer dans l’aventure. Paris gagné puisqu’elle vendra plus de 25 millions d’albums à travers le monde et deviendra une véritable star dans plusieurs pays, dont le Japon. Un succès qui lui vaudra d’être surnommé « La Reine du disco ».

Amanda Lear, mannequin

On l’oublie souvent mais Amanda Lear a débuté sa carrière en tant que mannequin. Tout a commencé à la terrasse du café Flore lorsqu’elle est abordée par la responsable d’une agence de mannequins mondialement connue. Mais c’est une fois que Paco Rabanne la repère qu’elle accède véritablement à une renommé internationale. Sa carrière est lancée !

Amanda Lear, l’ambiguë

Des rumeurs tenaces, puisqu’elles datent de la fin des années 50, début des années 60, présentent Amanda Lear comme une femme trans. L’origine de ces rumeurs n’est pas véritablement connue mais il semblerait que l’excentrique Dali présentait son amante comme étant née homme. Bien que ces ragots aient pu servir la carrière d’Amanda Lear, l’enrobant d’une part de mystère, cette dernière est catégorique : elle est une femme – et avoue avoir laissé planer l’ambiguïté pour vendre des disques. Dans cette vidéo d’archive, Amanda Lear répond, non sans humour, à la question posée par Thierry Ardisson.

Amanda Lear, chroniqueuses aux Grosses Têtes


Si beaucoup d’entre vous connaissent Amanda Lear c’est probablement grâce aux Grosses Têtes, émission culte des années 80/90. Sociétaire récurrente de l’émission, elle joue le rôle d’une croqueuse d’hommes, non dépourvue d’esprit et du franc parler qui feront une partie de son succès.

Amanda Lear, indestructible


Amanda Lear a une voix particulière, suave et rauque à la fois. Pas étonnant qu’on l’ait sollicitée pour doubler la voix de personnages de dessins animés, notamment dans Les Indestructibles. Elle y campe le rôle d’Edna Mode, une styliste acariâtre, égocentrique mais brillante.

Amanda Lear : Le plus grand mystère du show Biz ...♥

Article dans Gala par Thomas Durand ....

 Amanda Lear: le plus grand mystère du show-biz...♥
 LA REINE DE TOUS LES COUPS DE BLUFF ...




Elle vient d'annon­cer son désir de raccro­cher les gants. Marre de la célé­brité, envie de tranquillité. La retraite ne semble pour­tant pas faite pour ce drôle d'animal qui a toujours gardé un certain flou sur son âge, a joué avec malice de son ambi­guïté et n'a cessé de se réin­ven­ter en quête de succès tout au long de sa vie. Jugez plutôt…
Elle a eu la vie éche­ve­lée d’une amazone, mais elle est toujours retom­bée sur ses pattes. Jusqu’au bout de ses griffes impec­ca­ble­ment vernies, cette femme a l’al­lure féline. Alors qu’elle fêtera ses 40 ans de carrière en 2017, elle voudrait nous faire croire qu’elle aspire désor­mais à une vie ronron­nante

Prenant tout le monde de court sur le plateau de l’émis­sion de France 2, Actua­lity, ce lundi 17 octobre,Amanda Lear a annoncé sa retraite : « J'en ai marre, ça fait quarante ans que je travaille, je pense qu'il est main­te­nant temps de jouir de la vie, de m'occu­per de ma maison, de mes chats, de mes oliviers, de mon jardin… Et d'arrê­ter de faire le clown sur scène. Vous savez, j'ai commencé ma carrière en Italie en 1977. L'an prochain, ça fera donc quarante ans (…) Là, j'ai signé pour une tour­née ( avec la pièce La Candi­datejouée depuis janvier 2016, au Théâtre de la Micho­dière), donc je vais quand même faire ma tour­née théâ­trale. Et puis après, bon on verra… »


Enième coup de bluff ? Nous l’avions rencon­trée avant qu’elle ne monte sur scène, il y a quelques mois, elle minau­dait en se racon­tant. Sous ses lèvres pulpeuses, la blan­cheur d’une denti­tion redou­table. De quoi justi­fier sa réputation de croqueuse d'hommes. Dans la salle, venus applau­dir son nouveau – et donc, dernier ? – triomphe, nous avions remarqué une brochette de matous fraî­che­ment rasés et bien musclés. Elle crânait alors : « Les hommes adorent être consi­dé­rés comme des objets. Ils n’ont aucun problème à se lais­ser faire par une femme direc­tive. Par le passé, j’ai été mariée, j’ai eu des liai­sons longues et passion­nées. Aujourd’­hui, c’est chacun chez soi. »  C’est-à-dire, en ce qui la concerne, dans l’une de ses nombreuses adresses, Paris, Rome, Londres, le Lubé­ron… Autant de lieux qui lui ont toujours servi de refuge
 
Amanda Lear a beau avoir mis le meilleur de son talent à épater la gale­rie, elle cache, c’est peut-être vrai, un tempé­ra­ment « soli­taire, sauvage, intro­verti ». Dans un dîner mondain, elle est une convive étin­ce­lante. Mais elle ne rend jamais les invi­ta­tions. Chez elle, elle n’a besoin que de ses douze chats et de sa chèvre Fergie pour lui tenir compa­gnie. 
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Dans l’art de la conver­sa­tion, peu riva­lise avec elle. Poly­glotte et plus culti­vée qu’on ne l’ima­gine, elle n’a cure de personne pour lui donner la réplique. Inta­ris­sable. Capable de tenir le crachoir durant des heures de son débit rythmé, arti­culé, jamais pesante ni ennuyeu­se… Elle a telle­ment de choses à dire, d’anec­dotes surpre­nantes à racon­ter.
Sa vie est un roman. Son titre ? Walk on the wild Side, du nom de ce tube plané­taire du Velvet Under­ground, qui semble avoir été composé pour elle. D’abord, parce que la blonde faisait partie de la Factory d’Andy Warhol, en 1972, au moment où son ami Lou Reed l’a enre­gis­tré. Elle avait débarqué à New York après avoir été enga­gée par la styliste Mary Quant qui l’avait char­gée d’al­ler promou­voir la minijupe jusque dans les bleds les plus réacs des Etats-Unis. Enfin, parce qu’à l’égal des person­nages de la célèbre chan­son, elle aussi se traîne une sulfu­reuse ambi­guité de genre.
Amanda Lear serait non pas une femme, mais un homme. Un trans­sexuel. Ce serpent de mer la pour­suit depuis le début de sa carrière et ressort pério­dique­ment la tête hors de l’eau. En témoigne son « amie » Régine, qui n'hésita pas à remettre une couche sur le site Pure Charts, en décembre 2015 : « Moi, je l’ai connu en garçon. Elle chan­tait dans les petits bistrots. Je ne la vois pas en ce moment parce qu’on n’a pas les mêmes vies. Elle est très sympa­thique. Très intel­li­gente. Très culti­vée. » Très agacée aussi. Le coup de griffe d’Amanda fut quasi immé­diat : « On parle de moi depuis quarante ans, on a fait le tour de la situa­tion », dit-elle dans VSD. Avant de préci­ser : « Régine est tombée dans l’ou­bli. Du coup, elle parle pour faire le buzz. Mais je m’en fous complé­te­ment. »
Pas si sûr. S’il y a bien une chose que l’ani­mal déteste, c’est que l’on vienne fouiller dans ses poubelles. Elle entre­tient avec le passé une rela­tion ambi­guë. D’une part, il lui four­nit la matière première à ses récits capti­vants où, de Grace Kelly qui lui proposa d’or­ga­ni­ser un bal des Scor­pions (elles sont toutes deux natives de ce signe) à François Mitterrand, qui la reçut en tête à tête à l’Ely­sée, elle fait défi­ler le Who’s Who de notre époque. Mais d’un autre côté, la vamp craint plus que tout les injures du temps.« Derniè­re­ment, l’un de mes anciens fiancé, un type beau comme un dieu dont j’étais raide dingue, m’a redra­guée sur Face­book. Le pauvre, il est devenu mons­trueux », rica­nait-t-elle devant nous, avec effroi. Amanda « n’aime pas les vieux ». Elle a dit, répété, plus d’une fois.
Sa bête noire s’ap­pelle Wiki­pé­dia, l’en­cy­clo­pé­die virtuelle qu’elle ferait inter­dire si elle en avait le pouvoir.Sur son passé, ses parents, sa date et son lieu de nais­sance, l’ex-muse de Dali a toujours main­tenu le plus grand flou artis­tique. Elle a sa théo­rie :« Personne n’a envie de savoir à quoi ressem­blaient Marlene Dietrich ou Marilyn Monroe avant de deve­nir célè­bres… L’im­por­tant n’est pas qu’elles aient été moches enfants, mais qu’elles soient deve­nues sublimes par la suite. Pour une star, seul compte le résultat final. »
Soit. Encore faut-il suivre le bon cursus. Chapeau bas. A l’école de la célébrité, Amanda Lear a fait preuve d’un flair imparable. Elle s’est payé les meilleurs mentors. Etudiante aux beaux-arts de Londres, elle n’af­fiche que dix-neuf ans lorsqu’elle rencontre le peintre Salva­dor Dali. Elle est mannequin. Elle défile pour Paco Rabanne. Il s’en­thou­siasme à la vue de cette grande fille plate et maigri­chonne. « Vous avez la plus belle tête de mort que j’ai jamais vue », compli­mente le maître. Silence glacial. L’of­fen­sée accepte pour­tant l’in­vi­ta­tion à déjeu­ner le lende­main. Elle se souvient : « Autant il avait été odieux. Autant il s’est montré spiri­tuel, préve­nant, sédui­sant. Mister Hyde et Docteur Jekyll. » Dali est sous le charme. Gala, son épouse, aussi. Etrange ménage à trois, qui durera près d’une quin­zaine d’an­nées et où les prota­go­nistes s’en­tendent à merveille, toute riva­lité ayant été gommée du fait de l’im­puis­sance sexuelle du génial Cata­lan. Amanda Lear est tout à la fois la muse, la complice, et même la jeune fille au pair de Salva­dor Dali lorsque sa femme s’ab­sente pour retrou­ver ses amants : « Il insis­tait alors pour que nous allions nous enca­nailler dans les bordels de Barce­lone. »
Auprès du mage du surréa­lisme et du faux-semblant, l’élève apprend vite. Elle ne travaille pas spécia­le­ment sa peinture : « Dali était un atroce macho espa­gnol. Pour lui, les femmes n’avaient jamais su peindre. »  Mais elle se perfec­tionne dans l’art du masque, apprends l’es­broufe, peau­fine son person­nage de domi­na­trice forte en gueule. Exigeante et rigou­reuse avec elle-même, elle bosse dur pour lui plaire. Mais lorsque Avida Dollars, son anagramme par André Breton, insiste pour la marier à un grand d’Es­pagne, la muse déso­béit. Et s’éloigne peu à peu. La muse a trouvé plus amusant que de termi­ner ses jours dans un palais à Séville. 
Un autre gros minet est entré dans son champ de vision.En la décou­vrant sur la pochette d’un album du groupe de pop Roxy Music, David Bowie est tombé amoureux de son image de vamp, bardée de cuir noir et tenant en laisse une panthère shoo­tée au Valium pour l’oc­ca­sion. Il veut abso­lu­ment la connaître. Marianne Faithfull joue les entre­met­teuses. La rencontre a lieu dans une boite de nuit. Amanda perd ses illu­sions : « Il était malade, avait la fièvre, le cheveux sale, la mine atroce. » En ce presque milieu des années soixante-dix, la voilà tout de même Amanda propul­sée favo­rite de l’icône du glam rock. Elle appa­raît dans ses clips. Ils travaillent ensemble à son premier album. Mais, comme avec Dali qui ne l’a jamais beau­coup aidée à percer, son salut ne vien­dra que d’elle-même. « J’en ai eu assez d’at­tendre. J’ai signé chez les Alle­mands. Je suis parti à Munich enre­gis­trer avec Gior­gio Moro­der. Et c’est comme ça que je suis deve­nue l’une des reines du disco. »
La gloire, enfin. Elec­tri­sant les dance floors de ses tubes, assu­rant l’ou­ver­ture du Palace, la star écoule 25 millions de disques. Mais le disco n'est pas sa tasse de thé. A Cannes, au début des années quatre-vingts, elle fait une nouvelle rencontre qui change sa trajec­toire : « Berlus­coni me voit au festi­val. Je parle cinq langues. A l’époque, il est conve­nable,élégant. Il veut concur­ren­cer la Rai. Je lui propose uneémission où j’in­ter­vie­we­rai mes invités dans un lit. On l’ap­pelle Confi­dences sur l’oreiller. » Le show est un immense succès : près de trente ans plus tard, Amanda est restée une star popu­laire en Italie.

Lassée par le petit écran, elle a voulu écrire son futur au théâtre. Il y a sept ans, à ses débuts sur scène, la novice ne tenait que des seconds rôles. Et puis, on lui a écrit des pièces sur mesure, comme La Candi­date.Le public en rede­mande.

Tirer votre révé­rence, féline Amanda ? 
Allons donc, vous n’avez pas encore épuisé toutes vos vies…
PHOTOS – Amanda Lear: le plus grand mystère du show-busi­ness

Crédit photo Besti­mage
Diapo­rama réalisé par Jean-François Dessaint

Direct Link pour Gala

lundi 17 octobre 2016

Amanda Lear annonce qu'elle arrête sa carrière ......

Invitée d'AcTualiTy ce lundi, Amanda Lear a annoncé en début d'émission qu'elle stoppe sa carrière après 40 ans d'activité. Découvrez les raisons qui l'ont poussé à prendre cette décision.

           

Sa voix et sa présence risquent de laisser un certain vide dans le paysage audiovisuel français : Amanda Lear a annoncé ce lundi qu'elle mettait fin à sa carrière l'an prochain, en 2017, après une dernière tournée théâtrale. C'est sur le plateau d' AcTualiTy , sur France 2, que la comédienne et chanteuse a confirmé la nouvelle qui avait fuité sur les réseaux sociaux italiens. "Cela fait quarante ans que je travaille, je pense qu'il est maintenant temps de jouir de la vie !" a t-elle dit à Thomas Thouroude.

"J'ai envie de m'occuper de mes chats, de mes oliviers, de mon jardin... Je vais arrêter de faire le clown sur scène." a t-elle continué. L'animateur d'AcTualiTy lui demande alors si ce qui vaut en Italie vaut aussi pour la France. Amanda Lear confirme : "J'ai signé pour une tournée jusqu'à l'an prochain mais quand elle se terminera, ce sera la fin de ma carrière." Devant la stupeur du plateau, la comédienne qui fêtera ses 40 ans de carrière en 2017 explique :"Pourquoi pas ? On me verra de temps en temps à la télévision mais plus cette course effrénée, il faut répéter, il faut tourner, une nouvelle pièce..."

          

Amanda Lear est actuellement à l'affiche de la pièce La candidate, au Théâtre de Paris. Cette dernière pièce sera donc en tournée partout en France en 2017.

Programme-tv.net   Direct Link !

dimanche 16 octobre 2016

Amanda Lear annuncia l’addio alle scene: “Questa è forse l’ultima in tv”

Amanda Lear ospite a “Domenica In”, il segmento condotto da Pippo Baudo e Chiara Francini, fa il punto sulla sua carriera e si dice pronta ad abbandonare le scene, almeno in televisione. È un’intervista simpatica, piena di ricordi e anche con un po’ di pepe. Come quello messo proprio dalla Lear commentando tutte le grandi dello spettacolo con cui ha lavorato Pippo Baudo e lanciando una bonaria frecciatina proprio alla Francini

Amanda Lear annuncia l'addio alle scene:


Pippo hai lavorato con le pìù grandi, hai lavorato con Heather Parisi, con le gemelle Kessler…e adesso?

Chiara Francini cerca di prenderla con diplomazia: “E che ci vuoi fare…”. Ma è solo un momento di simpatia, non c’era volontà di offendere da parte di Amanda Lear che poi si “sbottona” e rivela

Ho fatto quarant’anni di televisione e dopo tutto questo tempo arriva il momento in cui ti dici: ‘Basta, ora mi godo la vita’. Ed infatti forse questa è una delle ultime volte che mi vedrete in televisione.
Amanda Lear e l’amore, un rapporto sempre complicato tra tradimenti, incontri sbagliati e altre situazioni che le hanno indotto a preferire “i gatti”. Bellissima la sua frase

Ho dieci gatti, mi vedono struccata, non mi raccontano bugie.
Ma non è stufa degli uomini, anche se i tradimenti proprio non le vanno giù

Dopo l’ultimo tradimento del mio fidanzato mi sono stufata e ho capito che gli uomini non possono essere fedeli. Se sei gelosa, devi stare da sola.

Direct Link Notizier.It 

samedi 8 octobre 2016

Amanda Lear racconta il più grande rimpianto della sua vita ....

Nel corso di un’intervista a Oggi, Amanda Lear ha raccontato il suo grande rimpianto che non le consente di essere soddisfatta sotto il profilo personale

Durante un’intervista concessa al settimanale Oggi, Amanda Lear ha raccontato il suo grande rimpianto di non essere riuscita a mettere su famiglia, nonostante sia pienamente soddisfatta sotto il profilo professionale. La vita l’ha portata a compiere delle scelte che l’hanno messa ora a fare i conti con una realtà non certo deprimente, ma che comunque non la lascia del tutto felice. Vediamo di cosa si tratta esattamente.

Amanda Lear: “Però non posso lamentarmi, è stata una mia scelta”


Intervistata da Oggi, Amanda Lear ha dichiarato di essere soddisfatta da un punto di vista professionale ma non personale. Queste le sue parole: “I miei rimpianti sono tutti nella vita privata. La solitudine, la mancanza di un marito, dei figli. Ma non mi lamento, è stata una mia scelta”.
Oggi, Amanda Lear esprime il suo amore per l’arte attraverso la pittura, dopo essere stata per diversi anni la musa ispiratrice di Salvador Dalì: “Sono onorata che si stia occupando dei miei quadri Vittorio Sgarbi. Lui è proprio come Salvador Dalì: antipatico in pubblico, amabile nel privato. Cosa mi muove verso l’arte? C’è chi va al Grande Fratello, chi dallo psicoanalista, chi fa l’uncinetto. Io per trovare un mio equilibrio, per vincere le paure, dipingo”.
Considerata da sempre una donna molto affascinante, Amanda Lear ha avuto storie con uomini molto importanti: tra cui anche il recentemente scomparsoDavid Bowie. Corteggiatissima da uomini anche molto più giovani di lei, Amanda Lear ha probabilmente lanciato la moda del cosiddetto toy-boy, visto che spesso è stata fotografata con uomini più giovani.
Accanto al rimpianto di non aver avuto figli, c’è però la scelta di non lamentarsene. In fondo si è trattato di una scelta personale. Per l’amore vero, invece, c’è sempre tempo.
Direct Link:


Amanda Lear "Ich bin ein Berliner "

 Première de "The ONE Grand Show" à Berlin Germany for Amanda Lear ...
                                                                                                      October, 6...2016



 Amanda Lear , très discrète sous son imperméable fermé


Elle sait qu'elle nous réserve une surprise, et s'en amuse telle une gamine 


Elle ouvre son pardessus, et apparaît, avec une espèce de mini jupe, dévoilant de superbes jambes comme elle le faisait en 1970 quand elle défilait pour Mary Quant ! On peut apercevoir la chanteuse Nana Mouskouri stupéfaite devant la surprise de Mme Lear 


Les photographes sont sous le charme de cette agréable supercherie ..


Devant une apparence si bien dessinée, beaucoup se demandaient quel était ce régime miracle qui l'a rend si transgressive 




Amanda Lear & Jean Paul Gaultier


Nana Mouskouri, Jean Paul Gaultier & Amanda Lear 


 Amanda Lear & Jean Paul Gaultier 


Conchita, Nina Hagen, Amanda Lear & Jean Paul Gaultier