dimanche 18 février 2024

L'heure est aux confidences pour Amanda Lear ... ♥

 Quelques brides d'entretien par Amanda Lear dans C'est à Vous .... L' Hebdo France 5 !

"Quand j’étais mannequin, les filles, on était traitées comme des objets, on n’avait rien à dire et c’est très humiliant."

"À l’époque j’étais timide et ça, ça a séduit Dali. Il ne m’a pas rendu heureuse, c’est très difficile d’être heureuse quand on fait ce métier, ce qui me rend heureuse c’est le théâtre, c’est tout."

"Dali était un vrai tyran, il était très envahissant. Même des années après, quand je peins, j’entends toujours sa voix."

"Quand on est actrice, on vous dit : "il faut jouer une vieille", vous jouez une vieille. On me dirait : "il faut jouer une plante verte", je jouerais une plante verte !" 


Amanda Lear revient sur sa terrible expérience avec un célèbre producteur américain : « Il m'a ouvert en pyjama… »


Dans C l'hebdo ce 17 février 2024, Amanda Lear est revenue sur sa brillante carrière. Mais aussi sur les mauvaises rencontres. En tant que femme, l'invitée de marque d'Aurélie Casse a également par le passé croisé la route de prédateurs...


L'heure est aux confidences pour Amanda Lear. Etant actuellement à l'affiche de la pièce L'Argent de la Vieille au Théâtre Libre de Paris, l'interprète de Follow Me a été conviée sur le plateau de C l'hebdo ce samedi 17 février 2024. Comme à son habitude, la principale concernée a multiplié les anecdotes la concernant. Ayant pendant plusieurs années été la muse de Salvador Dali, impossible pour elle de ne pas l'évoquer à l'antenne. "Ce sont des souvenirs extraordinaires parce que là maintenant je parle beaucoup, mais à l'époque je ne disais rien. J'étais mannequin, j'étais là pour faire joli et j'ai beaucoup appris avec lui parce que c'est un homme de spectacle", a révélé Amanda Lear après la diffusion d'archives de son ancien mentor.


Toutefois, celle qui a longtemps laisser planer le doute quant à son âge a reconnu qu'il a aussi été tyrannique et envahissant. S'étant illustrée dans d'innombrables domaines, son plus grand bonheur à ce jour est de s'épanouir sur les planches. Indépendante et solitaire, Amanda Lear a appris à se faire confiance au fil du temps. "On est en pleine révolution MeToo, est-ce que vous-même vous avez eu l'impression d'être une proie ?", s'est alors interrogée Aurélie Casse très attentive à son discours. "Plus maintenant (...)", a affirmé son interlocutrice.

"Le Harvey Weinstein de l'époque..."

"Cela veut dire que cela s'est passé avant ?", a renchéri la présentatrice. Ce à quoi Amanda Lear a répondu sans filtre : "Oui, mais c'est normal dans le show bizz (...). Même avant de faire du cinéma ou du théâtre, quand j'étais mannequin, les filles, on était traitées comme des objets". A son grand dam dès qu'elle "ouvrait la bouche", le milieu lui faisait bien comprendre qu'il fallait se taire. "On n'avait rien à dire, on était simplement des filles à photographier. Et c'est très humiliant (...)", a regretté la star. "Parfois même un photographe vous met la main aux fesses, bah maintenant je sais ce qu'il faut faire (...) ! On s'en va".


Dans la foulée, Amanda Lear est revenue sur une "expérience assez désagréable à New York" avec un "gros producteur de cinéma américain". "Le Harvey Weinstein de l'époque (...)", a précisé la comédienne. "Il m'a convoquée pour faire un bout d'essai". Pour pouvoir le faire, ce dernier l'a convoquée sans ciller dans sa "suite" dans un hôtel Plaza. "Moi à trois heures de l'après-midi j'ai été sonner à sa porte (...). Et il m'a ouvert en pyjama... Et là, il me dirige vers la chambre", a révélé l'ex-animatrice télé. Ni une ni deux, Amanda Lear a plié bagage sans demander son reste : "Peut-être que si j'avais voulu faire carrière à Hollywood, j'aurais dû rester hein ! (...) Mais il y a beaucoup de filles qui seraient certainement tombées dans le piège". Des rares confidences qui ont glacé l'ensemble du plateau...

Direct Link from VOICI par Noëlle Binet Crédits photos : C'L'hebdo (France 5)

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