vendredi 5 août 2011

Moi, ah, ah .... Polyvalente .....Amanda Lear .... Elle dit !

Au sein d'un projet Oasis, de l'Université de l' Est de Naples, Amanda Lear vient donner son vécu sur l'importance des médias dans la communication. Elle a bien sur déclanchée la controverse, et son mécontentement.

L'information est trop catastrophique, la télévision est envahi de mauvais gout. Je me suis tournée avec bonheur vers le théâtre, et je me consacre à la peinture pour me détendre et transporter mes délires sur mes toiles"





Confessions Choc de la Lear, invitée comme conférencière. Pour discuter de l'importance de la fonction des médias dans la communication.
Au Palais de la Culture à Terra Murata, Procida.


Sobre et rigoureuse, belle et élégante, inspirée par sa verve provocatrice et irrévérencieuse. Amanda a commencé sa conférence en lançant des accusations contre les médias, qui diffusent des informations qui peuvent conduire à du catastrophisme excessif.


Il serait préférable de revenir sur les événements qui se passent dans la vie de tout les jours, au lieu de dépenser des centaines de pages à la vie sexuelle de Silvio Berlusconi dont la plupart des gens se fouttent royalement.
Amanda s ' expose sans filtre, ni censure: «J'ai été une victime du star-système, grâce à qui j'ai reçu une célébrité. Ils ont donné une image de moi qui n'est pas la mienne, mais que le public voulait recevoir.
Je représente une femme ironique, provocatrice et mauvaise. J'avoue que j'ai aimée jouer ce rôle. Aujourd'hui, on donne à la femme de la télévision que le rôle de potiche ! Elle est la pour meubler à coté du présentateur. Il y a encore une égalité pour certaines femmes qui ont réussi à établir les règles elles -même en tenant le devant de la scène. Par exemple Alba Parietti et Simona Ventura. Je me considère comme une personne forte, parce que j'ai aimé cassé les règles des rôles pré-établis. Un de ses grand regret pour la télévision, c'est que la Lear aurait aimé présenter un programme culturel, d'histoire, d'art mais le telespectateur n'est pas demandeur de ce genre de programme.
Amanda confesse qu'elle a arrété la télévision depuis trois ans car les programmes qu'on lui proposait ne lui convenait plus. Le dernier en date que j'ai accepté " Dancing with the Stars "Juste pour payer quelques factures qui s' amoncellaient sur le buffet de la cuisine .
Laissez-moi mes pinceaux et mes couleurs, et je pars vivre tranquillement de mon art. Si j'arrive à vendre mes toiles gentillement " Sur la gloire et le showbiz Amanda Lear nous donne son ressenti:
«Aujourd'hui, tout le monde veut être célèbre et sans talent. C'est seulement une question d'argent !
Ils pensent que tout est merveilleux, mais c'est faux. Être une star n'est pas un travail. Le monde du spectacle est faux et superficiel. J'ai très peu d'amis dans ce domaine, vous devez à vivre avec les pieds sur terre et ne pas vivre dans un monde irréel. "
Amanda se souvient aussi avec nostalgie de sa vie passée avec Salvador Dali, qui à première vue, elle  semblait ne pas l' aimer, un macho avec un air bizarre, comme un clown. Il n'était rien de cela, il avait une double image: Odieux et provocateur en public, adorable, doux et cultivé, mais discret avec un énorme ego en privé. Un roman qui a changé ma vie durant seize ans ! Amanda Lear n'aime pas si on l'appelle «la veuve de Salvador Dali." Amanda termine son entretien en revenant  sur la programmation actuelle: "La télévision de ces dernières années ne produit rien d'intéressant. Elle avoue même ne plus la regarder.  La télé-réalité est sur tout les fronts. C'est la faute de la culture américaine, qui a fourni ses programmes bas de gamme. Voir des misérables filles et garçons sur une île, c'est aujourd'hui le spectacle !
Le vrai spectacle,  est fait de musique, de danse, de paillettes. Il y a le sens et la valeur de la diversité comme on pouvait le voir encore  il ya quelques années. Maintenant nous sommes à un point zéro, et une fois le fond atteint, je sais pas si on pourra remonter. "
Un rapport qui exaltait les médias de la masse, est devenu un «J'accuse» face aux médias eux-mêmes, Cela a soulèvé des critiques, des controverses et des désaccords entre les élèves des collèges de l'Est, les enseignants et les curieux dans la salle de conférence.
Elle devrait dans quelques mois, présenter un programme fascinant sur les crimes et les mystères de la musique.
Il fallait s'y attendre, après tout, la diva a fait de la  provocation et l'irrévérence ses armes gagnantes


Texte Original en Italien



Amanda Lear Lady Oscar Théâtre de la Renaissance

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