La conclusion de grands journalistes .... J'adore !
Amande est la seule chanteuse disco qui encore aujourd'hui fasse les choux gras de toutes les presses quelles qu'elles soient !
Tout ces hommes qui encore aujourd'hui, pour les plus jeunes et des plus agés aussi doivent s'auto satisfaire devant ces photos de nues merveilleuses faites par la Lear .....
Au travers du net, j'ai trouvé ça ..... Cela m'a fait rire .... Et vous ?
Traduit de l'Italien en français ....
Amanda Lear est un homme, rien que Renato Zero et sa salopette. Aujourd'hui, on s'accorde, mais si il y a encore quelque chose qui pourrait troubler notre sens de la décence, il serait pour les pensionnaires. Mais à cette époque, se fut un choc. Si j'aurais pu, j 'aurais embauché Marlowe pour découvrir l'identité sexuelle de cette androgyne troublante. Le rapport des détectives de Chandler, comme d'habitude, auraient étés très verbeux et confus. Pas moins fascinant.
La femme / homme. L'oxymore définitive. Marrazzo était un garçon comme beaucoup d'autres et dans le pays la confusion était totale et aussi la curiosité. Pour rendre les choses encore plus fascinantes, elle a été la présentée, comme une muse, de la pop et du peintre Dali. Brillante ! Et avec des amitiés en haut lieu. Qu'est-ce qu'un homme/femme peu avoir comme rapports avec un Maître du surréalisme ou la bisexualité d' une icône comme Bowie ? Mais que faisait-elle avec Bryan Ferry? Qu'est-ce qui pouvait lié les Dandy Roxy Music, avec la plus glamour ambigu de Playboy ? Pourtant, sur l'une des pochettes de disques du plus célèbre groupe britannique c'était-elle, Amanda. Sérrée dans une robe noire avec une panthère, la même couleur, sur une laisse.
Bien sûr, mon adolescence sexuelle manichéisme m'a empêché de comprendre qu'il ne pouvait sagir d' une femme / homme ou que vous pourriez photographier un modèle sans nécessairement l'emmener au lit et peut-être avoir des surprise.
En dépit de sa voix,
limite, parce que ses parties inférieures, Amanda chante (pour être plus précis, elle parle) et conquis la moitié de l'Europe avec la chanson
Follow Me . Le premier album contient des titres glorieux trash-pop des chansons telles que
Queen of Chinatown et Tomorrow .
La reine de duplicité troublante, avec le temps, a mis de côté sa carrière musicale et d'entreprendre une autre d' actrice, peintre et présentatrice de télévision (parti des meilleurs emissions de télévision des années 80) à fournir au public avec une intelligence rare et d'ironie. Il suffit de demander une opinion aujourd'hui sur Amanda Lear.
- 90% pour cent ont répondus «une femme intelligente,"
- 7% "Ah oui, la putain"
- 3% seulement ", mais c'était un homme ou une femme?",
Représentant une part de marché de plus de 70 ans. Abstention 0%, car, avec ses qualités abstraites Amanda a réussi à être vraiment connu de tous.
En ce sens, je trouve ce personnage de Lear plus punk, peut-être la seule des scènes italiennes de ces années. Comme les Sex Pistols, elle a réussi à mettre en place une arnaque énorme. Une grosse arnaque, fondée sur l' ambiguïté, la perplexité, ce qui lui a permis, entre autres, de vendre des millions d'enregistrements sans savoir chanter. Tout comme les "Sex Pistols" notoirement inconfortable avec les instruments. Amanda a créé et vendu son personnage avec la même approche stratégique de Malcolm McLaren (1), mais contrairement au producteur de la créature génie musical, se dépouillant de l'impulsion d'auto-destructeur qui caractérise l'excellence du groupe punk. Amanda, au contraire, avec clarté et détermination, a persévéré jusqu'à l'émancipation de son "escroquerie", vers plus de classe. Le "canular" système culturel et qu'elle a continuée à exploiter avec brios, la ou les autres se cassent la figure.
Les Punk et même les intellectuels CCCP ont enregistré avec elle une version inattendue de Tomorrow
, un de ses succès de bataille. Et je ne pense pas que c'est un cas où une exposition de peinture est appelé
Never mind the bollock: Here’ Amanda Lear!, , paraphrasant le titre d'un album des Sex Pistols.
Amanda a traversé ces trente dernières années de notre imagination avec intelligence et transversalité. Elle a inventé le punk "transgenre" Pop, et a toujours voyagé dans le compartiment le plus élégant de l'Express Trans Europe. Devant ce talent, On dit:
Chapeau !
Attention, mais cela ne signifie pas le chapeau chapelle.
Texte original:
Amanda Lear è un uomo, altro che Renato Zero e le sue tutine. Oggi, ammesso e concesso che ci sia ancora qualcosa che possa turbare il nostro senso del pudore, sarebbe una notizia da educande. Ma in quell’epoca fu uno shock. Se avessi potuto, avrei ingaggiato Marlowe per scoprire l’identità sessuale di questa conturbante androgina. Il resoconto del detective di Chandler, come d’abitudine, sarebbe stato molto verboso e confuso. Non per questo meno affascinante.
La donna/uomo. L’ossimoro definitivo. Marrazzo era un ragazzo come tanti e la nazione era in preda allo sconcerto ed alla curiosità. A rendere la soubrette ancor più affascinante, fu la frequentazione, in qualità di Musa, del geniale pittore Dali’ e le amicizie pop altolocate. Che una donna/uomo avesse rapporti con un Maestro del surrealismo o con una icona della bisessualità come Bowie ci stava (come dicono i “giovani”). Ma, che ci faceva con Bryan Ferry ? Cosa legava il Dandy dei Roxy Music, il Playboy più glamour, a questo ambiguo essere? Eppure, su una delle copertine dei dischi più famosi della band inglese c’era proprio lei, Amanda. Compressa in un abito nero, con una pantera, dello stesso colore, al guinzaglio.
Ovviamente il mio adolescente manicheismo sessuale mi impediva di comprendere che si potesse frequentare una donna/uomo o che si potesse fotografare una modella senza necessariamente portarsela a letto e magari fare brutte scoperte.
A dispetto della sua voce,
borderline, quanto le sue parti basse, Amanda canta (per essere più precisi, parla) e conquista mezza Europa con la canzone
Follow me. L’album di esordio contiene altri gloriosi inni trash-pop quali
Queen of Chinatown e
Tomorrow. La conturbante regina della doppiezza, con il tempo, mette da parte la carriera musicale ed intraprende quella di attrice, pittrice e presentatrice televisiva (cavalcando il Boom televisivo degli ’80) imponendo al pubblico una intelligenza ed ironia non comune. Provate a chiedere oggi una opinione sulla Lear. Il 90% cento degli intervistati risponderà “Una donna intelligente”, il 7% “Ah si, quella col cazzo” e solo un 3% “ma è uomo o donna?”, in rappresentanza di una quota over 70. Gli astenuti allo 0%, in quanto, Amanda con le sue astratte qualità è riuscita a farsi conoscere davvero da tutti.
In questo senso, trovo che la Lear sia il personaggio più Punk, forse l’unico, del panorama italiano di quegli anni. Come i Sex Pistols, anche lei è riuscita a mettere in piedi una enorme truffa. Un grande raggiro, basato sull’ambiguità sessuale, sullo sconcerto, che le ha permesso, tra le tante cose, di vendere milioni di dischi senza saper cantare. Proprio come le “pistole sexy” notoriamente a disagio con gli strumenti. Amanda ha creato e venduto il proprio personaggio con lo stesso approccio strategico di Malcolm McLaren (1), ma contrariamente alla creatura musicale del geniale produttore, spogliandosi di quella spinta autodistruttiva che caratterizzò il gruppo Punk per eccellenza. Amanda, al contrario, con lucidità e caparbietà, ha perseverato, sino alla emancipazione dalla “truffa”, verso lidi più borghesi. Lidi dove la “truffa” culturale è sistema e non exploit.
Di quanto fosse Punk se ne accorsero anche gli intellettuali CCCP che registrarono con lei una inaspettata cover di
Tomorrow, uno dei suoi cavalli di battaglia. E non credo sia un caso se una mostra di opere pittoriche della Lear si chiami
Never mind the bollock: Here’ Amanda Lear!, parafrasando il titolo di un album dei Sex Pistols.
Amanda ha attraversato gli ultimi trent’anni del nostro immaginario con intelligenza e trasversalità. Ha inventato il “Transgenderismo” Pop Punk ed ha viaggiato sempre nel vagone più elegante del Trans Europe express. In questi casi, si dice:
Chapéu!
Attenzione, non significa cappella ma cappello.
Site web de la New's