dimanche 8 décembre 2019

All Amanda Lear Quotes and Sayings


I don't care when I was born, if I'm 50, 60 or 70. It's important that I am alive.



I knew nothing when I first met him. He taught me to see things through his eyes. Dalí was my teacher. He let me use his brushes, his paint and his canvas, so that I could play around while he was painting for hours and hours in the same studio. Surrealism was a good school for me. Listening to Dalí talk was better than going to any art school.



I hate to spread rumours: But what else can one do with them ?


The Germans told me 'We're going to conquer the world!' and I don't regret working with a German record company at all, because for my career it was great, but they wanted to control me, direct me and restrict me. They wanted absolute discipline and that's not the life for me, so after a few years of that I wanted out.


Amanda Lear à Marseille ...


Amanda Lear , était à Marseille, invitée par le Maire de la ville Jean-Claude Gaudin.
Son ami Louis Naitena allait  recevoir la Médaille de la Ville de Marseille en présence de Michèle Torr et de nombreuses personnalités du Show bizz et du monde politique.


La jolie Michèle Torr qui sort un nouvel album ce mois ci faisait partie des invités, tout comme Amanda Lear, célèbre chanteuse, mannequin, peintre et animatrice qui fut l’égérie de Salvador Dali et
eut une liaison avec David Bowie.


On pouvait aussi noter la présence de nombreux élus comme Bruno Gilles, candidat à la mairie de Marseille ou d’amis de toujours comme Danièle Di Scala qui le considère comme son petit frère. Touché, ému , à fleur de peau, Jean-Louis Naïtana confia en aparté à quelques intimes : «Sans les artifices de Zize, sa faconde et son maquillage, je me sens timide, vulnérable. Je suis loin d’avoir son exubérance…



Cette distinction me touche profondément car c’est bien sûr une reconnaissance personnelle qui me valorise, mais au delà de ma personne, c’est aussi une reconnaissance de tous les transformistes.


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samedi 7 décembre 2019

Amanda Lear ...Une Vie ....One Life ....I am a Photograph

Sorti en 1977, le premier album d’Amanda Lear s’intitule I Am a Photograph. Présent sur la face B du 33 tours, le titre éponyme dit déjà tout : 


I am glossy photograph
Of course I am a bit retouched
And my color has been processed
But cameras always erase
Fear lurking behind a face
I am a lie and I am gold
But I shall never grow old


Ainsi, dès le départ, sa carrière artistique joue de cette relation entre image et réel et cultive le mystère. Avec désinvolture, Amanda Lear n’a cessé de réinventer son histoire, faisant du flou et des éclats de rire ses meilleures armes. Si l’on cherche avec tant d’insistance à retracer le fil de sa vie, c’est sans doute parce qu’elle a côtoyé les plus grands esprits créatifs, de David Bowie — qui produira son premier titre, le bien nommé Star — à Salvador Dali, alors que, jeune mannequin, elle faisait ses premiers pas dans le Paris des années 60. Sa personnalité fantasque et son franc-parler en font une invitée rêvée pour les médias qui se délectent de ses histoires. 


L’image Amanda Lear se multiplie : chanteuse, animatrice, comédienne, peintre, elle enchaîne les expériences et navigue entre plusieurs pays, multipliant les chapitres de sa propre mythologie. Elle se raconte à travers plusieurs autobiographies parmi lesquelles : L’Immortelle (1987), Je ne suis pas celle que vous croyez (2009) ou Délires (2018). Équivoques, ces titres renforcent le décalage entre le personnage public et la femme privée. Il y a une magie autour d’Amanda Lear, et c’est précisément ce mystère, savamment entretenu, qui constitue sa légende.  La vérité réside très certainement dans le cultissime Alphabet, morceau également présent sur son premier disque. Dans cet abécédaire, langoureusement déclamé, elle choisit deux mots pour la lettre « S » : « S is for sexy and sad. » Les deux adjectifs ne s’opposent pas : ils ont donné naissance à une grande séductrice.



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