Amanda Lear est de retour en Italie pour une interview exclusive avec Verissimo. Elle a quitté Milan pour aller à Paris, où elle travaille au théâtre. L'actrice raconte ses amours passées et présentes, avec ou sans prétendants, et admet que la télévision italienne ne lui manque pas du tout !
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N'étant plus dans les programmes des émissions italiennes depuis quelques temps, Amanda Lear était invitée dans le divertissement "Verissimo " samedi après-midi, interviéwé par Silvia Toffanin. La présentatrice française a quitté l'Italie pour retourner dans son pays natal, la France, et retrouver la passion pour le théâtre, qui ne l'avait jamais abandonné. La mode a toujours été son hobby, et l'année dernière, nous l'avons vu défiler pour Jean Paul Gautier , mais aujourd'hui pour Amanda Lear mode ne signifie pas nécessairement avec faire des achats:
La dépression dure aussi longtemps que vous le désirez. Vous voyez qu'elle se termine lorsque vous ne faites plus de shopping, cela veut dire que vous allez bien.
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La télévision italienne ne lui manque pas du tout , profitant de l'occasion pour éliminer certains cailloux qui se trouvaient dans sa chaussure pour un refus qu' elle a récemment reçu, elle explique:
Le théâtre me donne une grande satisfaction, le public vous dit tout son amour. Je ne manque pas à la télévision italienne. Pour revenir à la télévision dans une fiction. Un programme de la Rai me voulait mais j'étais trop vieille ! Mais cela n'est vrai que pour les femmes. Personne ne demande l'âge à Pippo Baudo, ou Mike Bongiorno, qui est presque mort à la télévision. Il n'est pas possible pour une femme de ne pas avoir de rides et devoir cacher toujours son age.
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Amanda Lear parle de ses amours, elle aime toujours séduire les jeunes hommes et dit d'eux :
Les Américains ont inventé ce mot stupide, "Cougar" c'est humiliant. C'est une histoire de proie et de chasse, pas une histoire d'amour. Cela a toujours existé, la première passion érotique d'un jeune homme est toujours une femme plus mûre, et nous les femmes, nous savons jouer de la baguette ...Je ne cherche pas un mari, j'ai 10 chats qui m'aiment sans maquillage. Après le théâtre souvent il y a un prétendant qui attend à la sortie, c'est mignon. Je ne souffre pas la solitude, elle n'existe pas. Il y a les amis, le cinéma, et puis je fais ce que je veux !. Personne ne me demande, "Je t'ai appelé, tu étais ou ?
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Un caractère ironique alors qu'elle jouait avec son ambiguïté , de passer entre les sexes, et quand on lui demande si elle est favorable au mariage homosexuel, elle répond:
Il n'y a plus de division entre l'homme et la femme, entre hétérosexuels et homosexuels. Nous nous dirigeons vers une société polysexuelle et je suis en faveur de cette ouverture. Je suis contre le mariage, homosexuel, hétérosexuel ou autrement. Nous n'avons pas besoin de signer un pacte ? Mieux vaut rester ensemble sans les signatures et sans anneaux.
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Enfin Amanda parle de ses amours du passé, Salvador Dali aurait vu Amanda, tel un ange dans un château, et David Bowie qui lui a proposé un contrat pour conquérir l' Amérique:
Avec Dali, je ne m'ennuyais jamais, il avait 30 ans de plus que moi, mais il était drôle, me faisait rire. Nous nous sommes rencontrés pour l'amour de la peinture, je connaissais le Dali intime, pas le peintre, sa peinture que je n'aimais pas, j'ai adoré Picasso. Il était un mégalomane, mais j'ai appris à l'apprécier. Avec Bowie nous nous sommes aimés deux ans, mais il voulait que je sois une chanteuse, même si je n'avais pas de voix d'une grande chanteuse. Puis j'ai réalisé que ce n'était pas ma voie et je suis retourné en Europe où j'ai rencontré d'autres producteurs, et eux ont sus me faire chanter.