All videos and photos are here for PROMOTIONAL USE AND SOUVENIR ONLY about Amanda Lear.
No copyright infringement is intended. If you notice I encroach on your copyrights, contact me and I'll remove your videos or your photos. Thank you
Amanda Lear's 'I Don't Like Disco'......... Date de sortie: 09/01/2012
Iconic singer and performance artist Amanda Lear is releasing her new album "I Don't Like Disco" in January, and both singles La Bete et la Belle & I Don't Like Disco gave you a good taste !
Amanda is still ageless after all these years in that lace number.
After the jump, let Amanda's fantastical : my video reminds you why Amanda Lear is a living legend.
Et pour fêter les Cinq Ans de la Chaine Amanda Lear LMprode
Alors la .... N'hésitez pas un instant, c'est la pièce à voir ..... Clara Barnier, la Papesse de la Mode, l'Impératrice du Style, le Phare de la Tendance ......
Pour commencer, et faire taire tout les ragots, non la pièce marche très bien, et le soir de ma présence c'était complet .... Donc pour les oiseaux de mauvaise augure, voyez vous le public est là, bien là et ri de bon coeur, tant les blagues, jeux de mots, mimiques tombent les unes dérrière les autres, telles les feuilles qui quittent l'arbre en automne ....
La lumière s'éteind, le rideau s'ouvre, la pièce commence ......
Camille l'assistante de Clara Barnier, reçoit son comptable Nathan qui lui demande d'appeler sa patronne ......
Et là, le chronomètre se met en place pour 2 heures de bonnes humeurs ...
Amanda Lear toute de rose vétue dans son déshabillé de soie, ses petits chaussons, ses bigoudis sur la tête, un éclairage qui la rend vraiment pas à son avantage, en plein jet lag, n'a pas beaucoup dormi, vraiment il faut qu'elle aime ce rôle pour s'enlaidir ainsi à la première scène ..... J'airais préférée qu'elle arrive avec une grosse charlotte sur la tête, ainsi les lumières seraient dessous son visage et d'un coup l'ôter pour faire sortir la chevelure de Clara Barnier la Papesse, Impératrice, tendance .....
Une fois le fil conducteur de la pièce posé, Clara Barnier déballe sa vraie nature ...Elle se veut belle, riche, célèbre et elle l'est .... Nathan le comptable est sur le jeu de Clara Barnier, tel un electrocardiogramme plat, le timbre de sa voix ne change pas, il arrive à obtenir de sa patronne tout ce qu'il désire ......
Il est le complement de la pièce... Peut-être même surpassera t-il Clara Barnier .....
Et ainsi les comediens vont donner le meilleur. Le mari de Clara prend la situation, sa fille Laura toute menue, toute sclérosée, est top 50.....
Son assistante Camille qui la dépossède tant sa personnalité ramène la belle Clara a une carpette....... Sa fille cachée Valentine qui passera du temps dans son dressing à admirer ses "" Louboutins "" sans les toucher .... Et le masseur Philippe qui lui aussi va se réveiller pour rendre le public hilare après avoir tourné le phare de la tendance dans tout les sens ....
Vous en avez l'eau à la bouche, n'attendez plus, allez voir cette pièce, vous passerez un très bon moment ......
La Papesse, le Style, le Phare etc, etc ..... Mr Givenchy ....
Et bien sur le 18 Novembre 2011, Anniversaire d' Amanda Lear ....
Et nous lui souhaitons les meilleurs succès .......
Pour ma part, encore un déplacement heureux ... Mais bon comme on dit :
Seul le plaisir des yeux compte.....
Et je ne me priverai pas de retourner les voir tant c'est divertissant ...
L'hôtel Le Mathurin * * * *, le luxe d'être chez soi a reçu Amanda Lear pour son exposition parisiènne "" Songes et Mensonges ""......
Le Mathurin * * * * Un hôtel de luxe qui se joue Galerie d' Art ?
Non ... Une invitation avec le titre si bien choisi Songes et Mensonges
Cela donne une toute autre dimension aux tableaux ....Ma première etait de voir leurs vrais grandeurs aux murs.... La tête fleurie au dessus du canapé, la profondeur de ce regard, et la chaleur de ces fleurs, donnent aux visiteurs la possibilité d'imaginer cette tête venant de n'importe quel pays, et quoi de plus naturel dans un lieu qui reçoit le monde entier .......
Ce qui est grisant, c'est de se rendre au petit salon à coté du bureau du Directeur, et la on laisse aller notre songe ......
Nice et ses Mimosas .... Sidney et sa Montagne Bleu, la porte du Directeur et à sa droite le portrait de cette femme célèbre et anonyme que l'on peut croiser en descendant prendre son petit déjeuner....
Et là le tréfle à quatre feuilles, irisé comme le dos d'un scarabée...
J'ai eu un choc .... Toutes ses couleurs éclatantes pour commencer sa journée, doivent se dire les convives en se posant à leurs tables respectives ....Tout en appréciant leurs collations..
Une merveilleuse idée que d'exposer dans un hôtel ...
Amanda Lear encore une fois, se trouve la ou il faut être .....
Si Amanda Lear cartonne actuellement sur les
planches dans le rôle titre de Lady Oscar au Théâtre
de la Renaissance, c’est en musique qu’elle revient ce mois-ci avec la parution
d’un 17ème album,
I Don’t Like Disco !
Un titre plutôt ironique pour celle qui a débuté
sa carrière musicale en 1975 avec des tubes… disco !
C’est donc un son un peu plus rock que l’on
retrouvera sur cet album emprunt tout de même d'une bonne part de pop et
d’électro. Amanda s’est entourée d’auteurs de talent : Joe Moskow (du groupe
anglais Reverend and the Makers), Louise Prey (du groupe Ping Pong Bitches),
Peter Wilson et Chris Richards (déjà présents sur le précédent opus Brand
New Love Affair) pour un résultat étonnant.
Porté par le single Chinese
Walk, Amanda a depuis dévoilé deux autres titres (interprétés chez Michel Drucker
dans le Vivement dimanche qui lui était consacré), La Bête et la
belle et I Don’t Like Disco dont le remix par Almighty a atteint
la première place des charts eurodance.
Un album à découvrir très prochainement dans les bacs.
Après le succès de "Panique au ministère" marquant ses débuts sur les planches en 2009, Amanda Lear attire à nouveau les foules avec "Lady Oscar", adaptation au féminin du film avec De Funès, et "regrette de ne pas avoir fait du théâtre plus tôt", a-t-elle confié.
"La salle est pleine tous les soirs. On est en tête des recettes à Paris et on prolonge jusqu'en juin, avant la tournée ! Les gens ont plus que jamais envie de rire. On avait un peu trop enterré le théâtre de boulevard!", observe l'ex-muse de Salvador Dali.
"Ce qui m'arrive est incroyable. J'avais déjà eu des propositions au théâtre mais je repoussais sans cesse par peur de l'inconnu, et puis Berlusconi me chouchoutait pour faire de la télé en Italie. Je me suis laissée griser. Je regrette vraiment de ne pas avoir fait du théâtre plus tôt...", ajoute Amanda Lear, 61 ans le 18 novembre, propulsée nouvelle star du vaudeville en deux pièces à l'affiche du théâtre de la Renaissance, à Paris.
"Cette aventure prend forme à l'automne de ma vie. Vaut mieux tard que jamais! Je me sens dans mon élément. Je ne connaissais pas la rigueur qu'impose le théâtre. C'est nouveau pour moi et ça me fait du bien! Je me suis toujours dit que rien n'est acquis. Je suis une rebelle et je n'aime pas la vie qui ronronne. Le théâtre m'offre chaque soir une mise en danger", reconnaît Amanda Lear.
Dans "Lady Oscar", la comédienne excentrique incarne une icône parisienne de la mode, directrice exubérante et hystérique d'un magazine, aux prises avec un comptable qui, un beau matin, la réveille pour lui demander la main de sa fille, et une augmentation au passage.
Enchaînant les quiproquo, la pièce est une adaptation sur mesure pour Amanda Lear de "Oscar", mythique vaudeville joué au théâtre et au cinéma par Louis de Funès.
Avec un sens inné du comique, Amanda Lear parvient sans difficulté à s'approprier le rôle, faisant même oublier la version avec Louis de Funès, tellement une "Lady Oscar", version marâtre hystérique dans l'esprit de la série TV britannique "Absolutely Fabulous", est crédible en jonglant avec les mêmes valises de diamants.
Amanda Lear n'oublie pas la chanson avec un nouvel album inédit le 21 novembre "I dont like the disco" (label Little Boom & Universal), mais elle pense déjà à une troisième comédie de boulevard, programmée en 2013 au Palais Royal.
On adore Amanda, parcequ'avec Amanda, on ne se prend pas la tête ....