samedi 12 avril 2025

Amanda Lear se lâche sur le succès de sa pièce

 Une vieille comtesse milliardaire au tempérament explosif organise à chaque étape de ses voyages une partie de cartes en promettant sa fortune à qui la battra. A Paris, ses victimes sont Jean-Luc et Pierrette, un couple au désespoir se préparant chaque année à récupérer "l'argent de la vieille". Avec l'aide de leur fille espiègle et volontaire, ils vont tout faire pour duper la milliardaire et son majordome trop dévoué pour être honnête.

“Très jouissif de jouer les méchantes” : Amanda Lear se lâche sur le succès de sa pièce L’Argent de la Vieille...

L'argent de la vieille, c'est le titre de la pièce de théâtre avec Amanda Lear diffusée en direct sur Paris Première le samedi 12 avril 2025 à 21h. L'actrice y joue une comtesse abominable qui adore jouer aux cartes et balancer des vacheries. Rencontre exclusive pour Télé-Loisirs avec une diva qui ne manie vraiment pas la langue de bois !

Est-ce parce qu'Amanda Lear ne rechigne jamais à évoquer sans filtre sa relation à l'argent ou parce qu'elle garde le secret sur son âge ? On se dit en tout cas que la pièce L'argent de la vieille, diffusée en direct sur Paris Première le samedi 12 avril 2025 à 21h, va comme un gant à celle qui a entretenu une relation complexe avec Salvador Dali et qui a eu David Bowie comme amant ! Effectivement, la diva fait des étincelles dans le rôle d'une extravagante comtesse passionnée par les jeux de carte. Cela a donné à Télé-Loisirs l'envie de lui parler pour une interview exclusive sans langue de bois et très drôle.


Amanda Lear : "Au départ, je me disais que le public allait me siffler, me huer"



Télé-Loisirs : Êtes-vous à l’origine de cette version de la pièce ?


Amanda Lear : Oui. Ça fait des années que j'avais cette pièce en tête, même si elle n'était pas écrite. Je connaissais par cœur Lo scopone scientifico, un film culte italien de Luigi Comencini avec Bette Davis et Silvana Mangano, et je me disais que ça serait sûrement bien au théâtre. J'en avais déjà parlé à des tas de metteurs en scène et on avait fait une première version qui n'était pas réussie. On avait même fait une lecture avec Bruno Solo qui voulait jouer dedans. Finalement, Jean Franco et Guillaume Mélanie ont entièrement réécrit la pièce avec des nouvelles vannes. L'action qui se passait à Rome a été transposée à Paris. C'était du sur mesure finalement ! C'est pour ça que j'ai enfin réussi à jouer ce rôle sur scène.


Les petites vacheries que balancent votre personnage pourraient très bien être les vôtres, non ?

Oui parce que les deux auteurs me connaissent parfaitement ! Ils m'ont déjà écrit trois pièces. Ils n'ont même pas besoin de me consulter, ils savent exactement ce que je peux dire sur scène. Ils me font dire des choses très drôles, parfois très vaches, très cruelles. C'est un plaisir de travailler avec des gens qui vous connaissent bien. Ils savent jusqu'où je peux aller pour faire rire sans tomber dans la vulgarité, sans être trop lourde, et c'est ça qui est important.

Le personnage est vraiment odieux...

C'est une peau de vache ! J'adore ce rôle parce que c'est très jouissif de jouer les méchantes. Elle est abominable. C'est la première fois que je joue un personnage vraiment antipathique et j'adore ça. Au départ, je me disais que le public allait me siffler, me huer, mais pas du tout ! Plus elle est méchante, plus elle dit des horreurs, plus le public rigole et applaudit, donc les méchants, ce sont les spectateurs, ce n'est pas moi (Elle rit) ! Elle est diabolique, machiavélique, elle ment, elle manipule. Ce qui est terrible dans cette pièce, c'est que la méchante, c'est la vieille et les autres sont soi-disant des braves gens qu'elle plume. Mais au fur et à mesure que la pièce avance, on s'aperçoit que les gens contre qui elle joue, c'est-à-dire les pauvres, ils sont pires qu'elle ! Ils ne pensent qu'à l'argent, ils se disputent entre eux. Ce sont des gens sans foi, ni loi. C'est ça qui est extraordinaire dans cette pièce, c'est qu'aussi bien la riche que les pauvres, tous sont obsédés par l'argent, la réussite et ils sont affreux !

Le thème principal de cette pièce, c’est bien sûr l’argent. Vous avez un rapport très décomplexé avec l’argent. Vous êtes l’une des rares personnalités publiques à en parler de manière très libre...

Parce que j'ai un rapport très libre avec l'argent. Je claque tout ! Quand on me demande : "Ah bon, vous ne mettez pas d'argent de côté pour quand vous serez vieille ?", je réponds que je ne serai jamais vieille ! L'argent, c'est fait pour être dépensé. Tous ces gens qui thésaurisent, qui mettent de l'argent sous leur matelas, ça ne sert à rien. L'argent, faut que ça bouge, faut que ça remue. Quand y'en a plus, faut qu'on travaille et quand on en a, on invite les copains. Je suis généreuse et ça m'est totalement égal d'inviter tout le monde à dîner. On va me dire : "Si un garçon sort avec toi, c'est lui qui doit payer !" Mais non, pourquoi ? Moi j'ai de l'argent, lui n'en a pas, ça ne me fait rien du tout de payer pour lui, alors ça vraiment pas ! Finalement, j'ai un rapport très américain avec l'argent. En Amérique, on n'a pas honte ! Le rêve américain, c'est la réussite mais en France, dès qu'on gagne trois sous, on les cache. Les gens qui gagnent au Loto, faut surtout le dire à personne. En plus ça m'énerve parce qu'ils ne savent jamais dépenser leur argent. Ils gagnent 200 millions et ils achètent une nouvelle télé, ils changent peut-être la voiture et mettent de côté pour les enfants. Mais pas du tout ! Tu pars à Miami avec un gigolo (elle éclate de rire) !

Amanda Lear : "Il y a des moments où on a des petits coups de blues"



On a un peu de mal à utiliser le mot "vieille" pour parler de vous...


Jean-Paul Gaultier m'a dit : " Tu fais pas assez vieille !" Je lui ai répondu : "Je fais de mon mieux !" On m'a fait une perruque toute blanche, une perruque de vieille, mais je suis toujours très maquillée, comme ces vieilles à Miami avec du bleu aux yeux et plein de bijoux ! Je trouve que je ne fais toujours pas très très vieille mais bon (elle rit)...


Ça fait plus d’un an que cette pièce se joue, à Paris et en tournée. Comment expliquez-vous ce succès incroyable ?

Je pense que, d'abord, les gens ont envie de rigoler, beaucoup ! Et puis peut-être que je suis bankable. Qu'Amanda Lear remplit les théâtres quoi que je joue parce que les gens se disent : "Je vais la voir parce qu'elle me fait rire! " Vous savez, une fois que le public est conquis, en France, il est très fidèle. J'aime beaucoup mon public parce qu'il me suit. Même si vous vieillissez, même si vous ratez un album, c'est pas grave, ils achètent le suivant ! Et c'est important d'avoir un public comme ça.


En 2022, pour la pièce de Michel Fau, vous avez eu un problème de santé et vous avez dû subir une opération du coeur...


Je ne sais pas si c'est la faute de Michel Fau - il m'a fait tellement monter et descendre les escaliers, courir dans tous les sens, tomber par terre - à la fin j'étais essoufflée et mon médecin m'a dit : "Vous avez le coeur qui ne tient plus et il faut opérer". J'ai fait cette opération qui s'est très bien passée et ça m'a donné envie de continuer.

Vous pensiez alors arrêter le théâtre. Qu’est-ce qui vous a fait changer d’avis pour L’argent de la vieille ?


Je dis ça tous les ans, vous savez ! Tous les artistes font leurs adieux tous les ans. Ils disent : "C'est ma dernière tournée, vous ne me verrez jamais plus !" et ils reviennent. Alors oui, il y a des moments comme ça, où on a des petits coups de blues, on se dit : "Ce métier n'est pas fait pour moi, j'aurais dû être fleuriste ! C'est trop chiant, c'est trop fatigant, c'est trop mal payé. Je prends ma retraite et je vais vivre avec mes chats !" Et puis après on me sollicite, on me dit : "Mais non, t'as encore plein de choses à faire ! Tu ne te rends pas compte, le public te demande. Et cette pièce, elle est pour toi !" Ils sont tous là à vous harceler et on se dit que l'Ehpad, ce sera peut-être pour l'an prochain (elle éclate de rire).

Amanda Lear dévoile sa routine pour garder la forme : "Il n'y a pas de secret, on sait qu'il ne faut pas boire, pas fumer, manger de l'huile d'olive et de l'ail, eh bien je le fais !"


Comment tenez-vous ce rythme très soutenu ?


C'est vrai que le public paie pour un bon spectacle, on ne peut pas dire : "Ce soir, je suis fatiguée, désolée" donc il faut assurer tous les soirs. C'est un moment où, pendant deux heures, il faut qu'on soit au top, qu'on sache notre texte, qu'on entende ma voix au troisième balcon où ils n'ont payé que douze euros mais il faut qu'ils m'entendent quand même... Donc on ne peut pas se permettre de l'amateurisme, d'arriver en retard. C'est pas possible ! Moi, je suis très exigeante. Je suis toujours à l'heure, j'arrive même trois heures avant pour me maquiller, pour m'imprégner, j'apprends mon texte par cœur. Dans ce milieu, il y a tellement d'artistes qui se bourrent la gueule, qui fument, je ne sais pas comment ils jouent. Franchement, je ne pourrais pas jouer si j'étais complètement pétée. Moi, je ne bois que de l'eau, je ne fume pas, je me couche archi-tôt quand je ne joue pas au théâtre. J'ai une routine de soldat prussien, comme Marlene Dietrich ! Y'a pas de secret. On sait qu'il ne faut pas boire, pas fumer, manger de l'huile d'olive et de l'ail, eh bien je le fais ! Je ne suis pas particulièrement sportive - marcher avec des Louboutin, c'est le seul sport que je fais - mais être sur scène tous les soirs, c'est comme faire du sport !

Vous avez été mannequin, chanteuse, animatrice télé, actrice. Qu’est-ce que vous préférez ?


Eh oui, j'en ai fait des trucs... à part la cuisine ! (Elle rit) Vous savez, ce que je préfère, c'est la peinture. C'est un art très solitaire. Pour toutes les autres disciplines artistiques, il y a un travail d'équipe. Quand je fais un album, il y a des musiciens, le producteur, les arrangeurs... Sur scène pareil, il y a les techniciens, la lumière, le son... Et le cinéma, n'en parlons pas ! Dans tous les cas, il faut être plusieurs pour que le résultat soit bien. Tandis que la peinture, je suis toute seule devant ma toile blanche, personne ne me dit ce que je dois faire. Je n'ai pas besoin de maquillage, de lumière. C'est une création qui vient directement de l'âme, c'est très personnel. J'adore ça, c'est ce qui me représente le mieux. Quand on me dit : "Qu'est-ce qu'il est bien ton album !", oui mais parce que j'ai eu des bons musiciens, des bons compositeurs. Tandis que quand on me dit que mon tableau est réussi, qu'il est émouvant, ça me fait quelque chose parce que c'est moi qui l'ai fait toute seule.




Quels sont vos projets après cette pièce ?


Je pensais avoir fait le tour de la question musique... Et puis la publicité Chanel est repartie jusqu'en 2027 parce qu'ils ont renouvelé le contrat. Une de mes chansons illustre une pub pour l'Apple Watch. En Angleterre, ils ont pris une de mes chansons pour des croquettes pour chiens. En Pologne, ils ont pris une de mes chansons pour Kinder Bueno... Donc brusquement, Universal, ma maison de disques, s'est dit : "Tiens, Amanda Lear, ça marche un petit peu partout. On va peut-être la dépoussiérer et la sortir du placard !" Donc ils m'ont dit : "Amanda, il faut retourner en studio faire un album !" J'ai répondu : "J'ai fait 22 albums, ça va !" Et eux : "Oui mais vous comprenez, il y a de la demande". Donc je suis actuellement en studio et j'enregistre ce nouvel album, pour la première fois en français. C'est une nouveauté, parce que j'ai toujours chanté en anglais à cause de la musique disco. Là, j'ai trouvé ce merveilleux auteur canadien, Pierre Lapointe qui m'écrit des chansons. Il y a Patxi Garat, il y a Sacha Rudy, plein de jeunes auteurs. Ça me fait plaisir et ça me fait beaucoup de bien. Et à côté de ça, Jean Franco et Guillaume Mélanie m'ont écrit une nouvelle pièce qu'on jouera en 2026.


Est-ce que vous vous êtes fixé une date pour la retraite ?


Dans ce métier, les acteurs ne prennent jamais leur retraite finalement. C'est probablement le seul métier où on ne prend pas sa retraite. Même les docteurs, les chirurgiens, les hommes politiques prennent leur retraite. Les acteurs non, ils meurent sur scène. Mon ami Robert Hirsch a joué jusqu'à la fin. Judith Magre, elle a 98 ans et elle est encore au théâtre tous les soirs. Le mot "retraite" n'existe pas pour nous. Donc on peut prendre des pauses peut-être, mais retraite non !

Direct lien de l'article écrit par Cédric CHOUKROUN


mardi 8 avril 2025

"Ils ont pris une de mes chansons pour une pub de croquettes pour chiens" : Amanda Lear fière de sa popularité dans le monde entier . . .

 Actrice dans L'Argent de la vieille, pièce de théâtre diffusée en direct sur Paris Première le samedi 12 avril 2025 à 21h, Amanda Lear est aussi chanteuse. Une activité qui lui vaut une notoriété internationale comme elle l'a fièrement confié à Télé-Loisirs dans le cadre d'une interview exclusive.

Click sur le lien pour lire l'article par Cédric CHOUKROUN


En France, on adore Amanda Lear ! L'ex-égérie disco a su traverser les décennies avec classe, grâce à son talent bien sûr, mais aussi grâce à un sens aiguisé de la repartie. Sans filtre, l'artiste ne se fait jamais prier pour rappeler que Coco Chanel était "d'une méchanceté inouïe" ou raconter dans le détail et sans aucun tabou sa relation complexe avec Salvador Dali. Une franchise aussi rafraîchissante qu'étonnante quand on sait que, par ailleurs, la diva laisse malicieusement planer le mystère sur son sexe de naissance, sur ses origines et sur sa famille.


Amanda Lear apprécie la fidélité du public français

Mais si Amanda Lear est aussi populaire en France, c'est aussi parce qu'elle a eu l'intelligence de faire les bons choix et la pièce L'Argent de la vieille, diffusée en direct le samedi 12 avril 2025 à 21h sur Paris Première, en est une démonstration supplémentaire. En effet, la comédienne et ses partenaires de jeu jouent cette pièce depuis plus d'un an, à Paris comme en Province, et le succès ne se dément pas. "Je pense que, d'abord, les gens ont envie de rigoler, beaucoup", analyse Amanda Lear, interviewée en exclusivité par Télé-Loisirs. "Et puis peut-être que je suis bankable. Qu'Amanda Lear remplit les théâtres quoi que je joue parce que les gens se disent : 'Je vais la voir parce qu'elle me fait rire!' " L'artiste mesure la chance qu'elle a de pouvoir compter sur les gens qui la soutiennent fidèlement quoi qu'elle fasse. "Vous savez, une fois que le public est conquis, en France, il est très fidèle. J'aime beaucoup mon public parce qu'il me suit. Même si vous vieillissez, même si vous ratez un album, ce n'est pas grave, ils achètent le suivant ! Et c'est important d'avoir un public comme ça", se réjouit-elle.

Le regain de popularité d'Amanda Lear grâce à la pub

Mais la notoriété d'Amanda Lear dépasse largement les frontières de l'Hexagone. Polyglotte, la diva a présenté des émissions de télévision en Italie et, grâce à ses chansons en anglais, elle a conquis le monde entier. Elle connaît même un retour de hype depuis que Chanel utilise sa chanson Follow me pour l'une de ses publicités diffusée dans le monde entier. Et même si cette campagne publicitaire à l'international ne fera pas d'elle une milliardaire, elle lui rapporte tout de même un peu d'argent. "Ça payera mon Ehpad", lance-t-elle avec son sens de l'humour légendaire. Il n'empêche que si elle ne fera pas fortune grâce à cela, Amanda Lear reconnaît bien volontiers, et avec une certaine fierté, que cette mise en lumière de l'une de ses chansons lui a apporté un sacré regain de popularité dans le monde entier. "Je pensais avoir fait le tour de la question musique et puis comme la publicité Chanel est repartie jusqu'en 2027, parce qu'ils ont renouvelé le contrat pour quatre années supplémentaires. Qu'une de mes chansons illustre une pub pour l'Apple Watch, qu'en Angleterre,  ils ont pris une de mes chansons pour des croquettes pour chiens, et qu'en Pologne, ils ont pris une de mes chansons pour Kinder Bueno, donc brusquement Universal, ma maison de disques, s'est dit : 'Tiens, Amanda Lear, ça marche un petit peu partout. On va peut-être la dépoussiérer et la sortir du placard !' Donc ils m'ont dit : 'Amanda, il faut retourner en studio faire un album !' J'ai répondu : 'J'ai fait 22 albums, ça va !' Ils m'ont répondu : 'Oui mais vous comprenez, il y a de la demande.' ", explique-t-elle.


Cet ex-candidat de la Star Academy qui écrit pour le nouvel album d'Amanda Lear

Finalement, Amanda Lear a accepté la proposition de sa maison de disques. Elle est d'ailleurs actuellement en studio pour l'enregistrement d'un nouvel album "pour la première fois en français." "Ça, c'est la nouveauté, parce que j'ai toujours chanté en anglais à cause de la musique disco", explique-t-elle. Pour ce nouveau disque, Amanda Lear a fait appel à l'auteur-compositeur-interprète canadien Pierre Lapointe, mais également à Patxi Garat, candidat emblématique de la 3e saison de la Star Academy. Un projet qui la ravit. "C'est nouveau, ça me fait plaisir et ça me fait beaucoup de bien !", conclut-elle avec le sourire.

mercredi 26 mars 2025

La chanteuse française Amanda Lear fait depuis le début de sa carrière...

  


"Elle n’avouera jamais", "c'est un mâle" : Quand Amanda Lear faisait face à des rumeurs transphobes (qui sont toujours d'actualité)

La chanteuse française Amanda Lear fait depuis le début de sa carrière face à des rumeurs au sujet d'une soi-disant transition de genre.

Elle le racontait déjà dans cette archive INA de 1987."Les gens disent : peut-être qu'Amanda Lear est un travesti, un transexuel", disait-elle dans l'émission Le Divan d'Henry Chapier.

"J'ai eu un mal fou à écarter cette rumeur, qui ne sera jamais complètement effacée parce que les rumeurs ont la vie dure dans notre pays."

Au début de sa carrière, la chanteuse a utilisé ces rumeurs comme tremplin pour gagner en notoriété, dit-elle : "L'idée ma servie, ça m'a confirmé dans l'idée que les gens ont besoin de merveilleux, d'extraordinaire, et que pour vendre Amanda Lear, on pouvait cultiver cette légende. Je l'ai cultivée avec succès pendant plusieurs années, jusqu'à ce que je me brûle moi-même." 

Elle ne croyait hélas pas si bien dire. En 2025, des internautes s'acharnent toujours à dire que la chanteuse est un homme. Mais Amanda Lear s'en accommode .....Cela m'a payé le loyer de ces histoires 

From terrafemina.com... Click !


Amanda Lear met la honte à son "bel Italien" et se fait virer : "lls m'ont dit de ne plus revenir"

Alors qu'elle reprend les représentations de "L'argent de la vieille", Amanda Lear a fait un passage par la "Boite à questions" de Canal +. L'occasion pour la star de livrer une anecdote à son image : hilarante.

Amanda Lear est de retour sur les planches, à partir du 3 avril prochain, dans la pièce de théâtre L'argent de la vieille. Sur la scène du Théâtre Libre de Paris, l'artiste interprétera une vieille milliardaire un brin méchante...


"C'était vraiment très chiant" : Amanda Lear pas fan de cette sortie avec son ex

Un rôle qu'elle adore jouer comme elle l'a d'ailleurs avoué à La Boîte à Questions de Canal + ce 24 mars : "Elle est odieuse, abominable, machiavélique (…) Et j'adore jouer ça !" Amanda Lear a ensuite été invitée à commenter d'autres aspects de sa vie et sa carrière. C'est ainsi qu'on lui a demandé de réagir à une anecdote assez méconnue impliquant son ex-compagnon...


"Il paraît que tu es interdite de parcours de golf ?", lui a demandé un anonyme dans La Boîte à Questions. Après un fou rire non dissimulé, Amanda Lear a tout simplement reconnu les faits. Et à elle d'ajouter le sourire aux lèvres : "Mon ex, mon bel Italien [avec qui elle a été en couple dix ans et qui l'a quittée pour une Miss Météo, ndlr], a voulu jouer au golf. Donc je l'ai accompagné sur le terrain de golf, et là, dans un silence total, il était là avec sa babale… Et vraiment c'était très chiant". 

Allez hop, dehors !

Et celle qui a longtemps été la muse de Salvador Dali ne s'est pas arrêtée en si bon chemin. "Moi, ce qui me plaisait c'était la petite voiturette. Je mettais la musique à fond la caisse, et je faisais beaucoup de bruit c'est vrai… Donc ils se sont plaints !", a-t-elle confié. Avant de terminer son histoire : "Les joueurs ont dit : 'On ne peut pas se concentrer, elle nous distrait. Donc ils m'ont dit de ne plus revenir… Voilà !"

Une anecdote qu'Amanda Lear n'avait encore jamais vraiment raconté et qui a enchanté les internautes. Qui devraient d'ailleurs être tout aussi ravis de l'annonce faite par la chanteuse et actrice au cours de ce même entretien : l'interprète de Follow Me prépare actuellement un nouvel album. "Ma maison de disque s'est dit : 'Tiens, c'est peut-être le moment de dépoussiérer Amanda Lear et de lui faire faire un nouvel album'", a-t-elle déclaré non sans humour. Avant d'ajouter : "Et en ce moment, j'enregistre des chansons qui vont surprendre. Et ça sortira, je pense, à la fin de l'année. Et ça parlera d'amour".

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samedi 22 mars 2025

« J’aime beaucoup la solitude » : Amanda Lear fait de rares confidences sur sa vie sentimentale . . .

 Amanda Lear, icône de la féminité, s’est confiée comme rarement sur son quotidien et sa vie sentimentale. 

Des révélations étonnantes. Ce jeudi 20 mars, Amanda Lear était invitée sur les ondes de RTL aux côtés de Thomas Sotto et Amandine Bégot. À cette occasion, elle s’est confiée sur sa vie sentimentale et sa joie de vivre seule. 

« J’aime beaucoup la solitude » : Amanda Lear fait de rares confidences sur sa vie sentimentale - © Ivanka Voisin / Starface


Lors de cet entretien, alors qu’elle est en pleine promotion pour la pièce de théâtre « L’argent de la vieille » dans laquelle elle joue en avril prochain, Amanda Lear a fait quelques confidences étonnantes sur sa vie de célibataire. Elle exprime :« J’aime beaucoup la solitude. Dans mon métier, je suis tout le temps entourée de gens : le public, les secrétaires, les metteurs en scène, se retrouver seule, pour moi ce n’est pas un problème. C’est même le contraire. On s’habille comme on veut, on mange ce qu’on veut, on dort quand on veut. »

L’ancienne muse de Salvador Dali poursuit ses confidences sur les ondes de RTL en affirmant :« Je n’aime pas rendre des comptes. » Alors que Thomas Sotto lui demande si elle est en couple en ce moment, l’icône de féminité, rétorque avec humour et franchise : « Déjà, ça ne vous regarde pas trop, mais j’ai fermé la boutique.Le prochain mec qui me voit à poil, c’est le médecin légiste. » Une phrase étonnante qui a largement fait réagir les chroniqueurs. 

Une carrière riche 

Amanda Lear a connu une carrière surprenante. Égérie de Paco Rabanne, muse et maîtresse de Salvador Dali, chanteuse reconnue en Allemagne et en Italie mais aussi animatrice du petit écran et chroniqueuse à la radio, l’icône Amanda Lear n’a jamais cessé de surprendre tout au long de sa vie d’artiste. Si sa vie privée et sentimentale a toujours intriguée le grand public, l’ex-compagne de David Bowie a récemment confié auprès de « Maire France » :« J’ai renoncé au couple, pas aux sentiments. S’intéresser aux autres, c’est une façon de tomber amoureuse tous les jours !»

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Amanda Lear : couple à trois, attirance pour les jeunes hommes... Ses confidences croustillantes . . .

 Publié par Rédaction Planet , le 19/06/2023 Mis à jour par Laura Afonso Almeida, le 21/03/2025 

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Ce 20 mars 2025, la chanteuse Amanda Lear était l'invitée de Thomas Sotto et Amandine Bégot sur RTL. La star a alors fait quelques confidences sur sa vie intime qui ont fait rire les journalistes.



Une vedette qui n’a pas sa langue dans sa poche. Ce dimanche 18 juin, Amanda Lear était l’invitée de l’émission Sept à huit qui lui a consacré son "portrait de la semaine" sur TF1. Interrogée par la journaliste Audrey Crespo-Mara, la célèbre artiste a livré de rares confidences sur les secrets de sa vie.

Fille unique d’un père officier dans la Marine britannique et d’une mère asiatique, Amanda Lear a été marquée par la rupture de ses parents. "C’est pour ça que je ne crois pas beaucoup au couple", lâche-t-elle avant d’évoquer ses complexes, mimant ses pommettes comparées à "des poignées de porte" qu’elle n’appréciait guère. "Quand j’ai commencé à être mannequin, je me suis rendu compte qu’en fait, ce que les gens recherchaient, c'était ça", faisant allusion à son physique unique.

Amanda Lear : ses confidences sur son allure androgyne

Célèbre pour sa voix singulière et sa silhouette, Amanda Lear savait comment mettre son charme en avant sur les couvertures des magazines. L’interprète de Follow Me n’hésitait pas à cultiver son ambigüité entre le genre féminin et masculin. "J’en joue et je m’en amuse beaucoup. Évidemment, je ne m’en rendais pas compte que tout ça était un peu délirant".


Pourtant, l’actrice et sociétaire des Grosses Têtes reconnaît que son physique lui a permis d’attirer l’attention du public et de vendre de millions de disques. "Ils n’achètent pas seulement un disque parce que la musique est bonne, mais ils sont fascinés par la personnalité du chanteur ou de la chanteuse". Parmi ses admirateurs et hommes de sa vie, l’un d’eux a joué un grand rôle dans la carrière d’Amanda Lear.

Amanda Lear : son "couple à trois" avec Salvador Dali et sa femme

Mannequin à ses débuts, Amanda Lear est une jeune étudiante aux Beaux-Arts lorsqu’elle a fait la rencontre du peintre espagnol Salvador Dali dans les années 1960. La jeune femme devient alors la muse du célèbre artiste et apparaît régulièrement en public à ses côtés. "Le fait d’être tout le temps avec lui pendant 15-16 ans, ça a créé une légende", a-t-elle évoqué en faisant allusion à son ménage à trois avec le sculpteur, en couple à cette époque avec sa femme Gala.

"Ce couple à trois fait jaser les gens. ‘Qui fait quoi ? Est-ce qu’elle est lesbienne ? Est-ce que c’est des partouzes à trois ?’", a-t-elle enchaîné sans filtre. L’occasion aussi de rétablir la vérité sur leur prétendue vie à trois. "La vérité était toute simple : c’est que Dali était impuissant, donc il n’y avait pas de sexe du tout et ce qui l’intéressait, c’était d’avoir une jeune muse. Il a besoin de cette présence". L’actrice et chanteuse a également fait parler pour sa proximité avec des hommes plus jeunes. Mais, l'icône du disco est-elle toujours un cœur à prendre ?

Les jeunes hommes attirés par Amanda Lear : ses confidences

Celle qui se définit comme la "Greta Garbo du Lubéron" aime plaisanter sur sa vie amoureuse. "Pour le moment, je m’éclate. J’ai des amis très jeunes tout autour de moi, qui se marrent avec moi et c’est très important", blague-t-elle face caméra dans l’émission de TF1.

Usant de l’humour comme "une arme de séduction", Amanda Lear révèle pourtant être heureuse dans sa vie de célibataire. "Je suis très solitaire, c’est merveilleux la solitude. C’est la liberté. Être seule c’est être libre", raconte l’oléicultrice qui vit seule en Provence "avec mes chats, mes oliviers, ma peinture". C'est donc loin de la capitale que la star du disco compte vivre ses derniers jours dans le sud.

"Le prochain mec qui me voit à poil" : Amanda Lear a-t-elle retrouvé l'amour ?

Le jeudi 20 mars 2025, la chanteuse Amanda Lear était l'invitée de RTL. Interrogée par Thomas Sotto et Amandine Bégot sur sa vie sentimentale, la star a fait d'étonnantes confidences. "J’aime beaucoup la solitude. Dans mon métier, je suis tout le temps entourée de gens : le public, les secrétaires, les metteurs en scène, se retrouver seule, pour moi ce n’est pas un problème", a-t-elle commencé par expliquer.

La star affirme qu'elle "n'aime pas rendre des comptes" à ses relations. En ce qui concerne sa vie sentimentale actuelle, Amanda Lear a répondu, non sans humour : "Déjà, ça ne vous regarde pas trop, mais j’ai fermé la boutique", et de poursuivre : "Le prochain mec qui me voit à poil, c’est le médecin légiste". 


jeudi 20 mars 2025

Amanda Lear et son insoupçonné surnom (très drôle) qui en dit long sur elle . . .

 Amanda Lear a hérité d'un drôle de surnom de la part de certains de ses amis ! Et ce sobriquet original, qui en dit long sur sa personnalité, renforce encore un peu plus son statut d'icône...


La célèbre chanteuse Amanda Lear a pu révéler quel était son surnom dans une émission de C à Vous, il y a quelques années. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce sobriquet, à la fois original et amusant, reflète un aspect singulier de sa personnalité.

Amanda Lear, une star qui "adore l'argent" : une amie balance

Tout a commencé lorsque l'ancienne présentatrice de C à Vous, Anne-Sophie Lapix, a lancé un magnéto pour la légendaire Amanda Lear, dans son émission. C'est alors qu'une amie proche de l'artiste a fait son apparition, Galia Salimo, ancienne danseuse et reine des nuits parisiennes. A la question "quelle est la drogue d'Amanda ?", son amie a répondu cash : "L'argent. Elle adore l'argent. C'est curieux hein ?". Puis, avec un sourire, elle a ajouté : "Pas besoin de dépenser hein... Non elle aime l'argent." Une réponse franche qui a immédiatement déclenché un éclat de rire de la part d'Amanda Lear.

Amanda Lear , Galia Salimo


Mais la surprise ne s'est pas arrêtée là. Galia Salimo en a profité pour dévoiler un surnom qu'elle a donné à Amanda Lear au fil des années : "Très souvent, je l'ai appelée 'Madame How much'." Un surnom qui, en français, se traduit par "Madame Combien". Mais alors, pourquoi avoir choisi ce surnom pour la célèbre chanteuse du tube Disco Follow Me ?

Amanda Lear, cash sur l'argent : "je ne fais pas du bénévolat"

Celle qui fut la sublime muse du peintre Dali a alors réagi à la vidéo de son amie : "C'est vrai que très souvent, quand on me propose quelque chose, comme une pièce ou un gala, je dis : 'How much ?'". Puis elle explique avec son franc-parler légendaire : "Je dis combien me payez-vous, parce que c'est un métier que je fais et je ne fais pas du bénévolat". D'ailleurs, la star assume pleinement son rapport à l'argent ! Selon elle, ce sujet provoque souvent l'indignation : "Les gens sont outrés quand on dit 'combien vous payez ?'"

Parfois accusée de ne "penser qu'à l'argent', Amanda Lear a fait fait remarquer que cette phrase ne pouvait pas être utilisée dans d'autres contextes de paiement : "Bah quand je dis ça à mon propriétaire et à mon épicier, je peux pas lui donner un autographe". Une remarque qui a immédiatement fait mouche en déclenchant les rires autour de la table de dîner de C à Vous. 

Article par Quentin Guédrat ....

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jeudi 2 janvier 2025

Amanda Lear Legendary pop diva . . .♥

 Amanda Lear.. Legendary pop diva continues to play her role in all things fabulous…

From Fantastic Man n° 2
Text by GERT JONKERS
Photography by ANDREAS LARSSEN
Styling by KIM JONES

She was romantically involved with Bryan Ferry and Salvador Dali. She was the London supergroupie and party girl who became a role model for Patsy Stone in over-the-top British sitcom Absolutely Fabulous. She was Thierry Mugler’s muse and modelled for Mary Quant and Ossie Clark. A professional painter, Amanda Lear suddenly found herself hailed in the 70s as the new bombshell disco sensation. Her hits included Enigma (Give a Bit of MMH to Me) and Fashion Pack (an instant dance-floor filler namedropping Warhol, Scavullo…). She sang – parlando style – in such a low voice that rumours of her transsexuality, despite being flatly denied by herself, persisted and have never really faded away. These days Amanda lives in Paris, she’s a TV presenter in Italy, she acts, and she’s still fabulous.


AMANDA – So, darling, I actually hope you can understand what I say because I just lost my voice. I’ve been shouting and screaming too much… Plus, I was in a face star hotel in Rome where they chilled the rooms to around five degrees.


GERT – What were you doing in Rome?


We’ve just started this new TV show called Celebrity Dancing on Rai Uno, Saturdays, prime time. I’ll be stuck in Rome until January. Well, I prefer Rome to Paris anyhow – I don’t even know why I still live in Paris because I hate Paris. Meanwhile, I’m shooting this American movie with Vincent Gallo. It’s super exciting to work on a proper American film project, instead of the usual European low-budget blah-blah-blah. I’m playing Vincent Gallo’s sister. I look very, very different for that role, with a pitch black, curly wig. It’s very Sophia Loren. It’s fun, and I get to show that I can actually act and not just be ‘Fabulous Amanda Lear’. I really love acting; I’d like to do more in the future. It’s very good for my mind – I’m somebody with severe mental problems, you know… depression, schizophrenia. I’m seeing a psychiatrist, of course, but acting is also a good way to release things that I normally keep inside, like my jealously, my emotions. My energy needs to be channelled into something creative. Acting is good, song-writing is good, painting is good. It’s a shame that I didn’t paint for years and years just because Salvador Dali discouraged me. He used to say, ‘The talent is in the balls, and women don’t have balls.’ But I need to do things. When I sit around doing nothing but shopping, that’s bad. Bad for my credit card, but bad for me too.




You’re still singing, right?


But of course! And I’m constantly fighting with my record companies, because they’re always behaving so badly. I always say that I want to work with the best producers, like Kraftwerk or the Pet Shop Boys, but it never happens and I always end up with crap recordings. I have a new album out in Italy called Paris By Night, which is basically just one song, Paris By Night, remixed by 14 different DJs. I’m not crazy about it because I’m not into techno. It’s just not for me, and listen, I can’t spend the rest of my life making disco music and going to clubs at 3am to promote the stuff. I can’t stay awake that long, you know? What I want to do for my next record is Amanda Lear singing evergreens. That’s what I really what I want to do. New York, New York, My Way, La Vie en Rose… Songs that everybody knows, but sung with my voice. Like when I sand Lili Marleen in 1978, people loved it. But there is a new compilation album of mine out in France that I really do like. Follow Me, the Queen of Chinatown, Love Boat, all the hits. It’s called Forever Glam, because, you know, the record company that I was glamorous…



And what do you think? Are you glamorous?


It’s not really what I’m into. Glamour for me is Hollywood, sequin dresses, Marlene Dietrich. But hey, in the end I guess glamour is a way of life; it’s an attitude, like elegance. You can be elegant in jeans and a pair of basketball trainers, you know? When I walk into a TV studio people shout and scream, ‘Oh, wow, isn’t Amanda wonderfully glamourous!’ But I don’t do anything special. Maybe it’s because I was a model for many years – it’s the way I walk, or the fact that I keep my head up.


Do you enjoy wearing menswear sometimes?


Well, my personally style is very, let me say…over the top and feminine. Lots of sequins, lots of colour, a little too much of everything. That’s why I love Italian fashion. But I think cross-dressing is a very sexy thing. There’s nothing sexier than a girl wearing men’s clothes. I remember a lovely picture of Sharon Stone wearing some really awful men’s undies and they looked fantastic on her. Conversely… I think it’s good if men wear more feminine clothes. I love to see a man wearing lots of beads and diamonds. I mean, look at history… Louis XV war wearing wigs and make-up all the time. It’s just natural for men to show off.



I know I shouldn’t ask a lady her age, but how old are you?


I was born on the 18th of November, 1950, so you tell me… I sometimes lie and say I’m 52 or something like that. People are complimentary and say I look much younger, but when I look in the mirror I know exactly what’s wrong with me – the wrinkles and everything. But what can I do? I’ll have to accept it, although I’ve told myself never to surrender. I don’t want to look like Marianne Faithfull, so I take care of myself. I need to stay in shape. I use a great new Dutch invention, the Power Plate. It’s the best invention ever, I’m telling you. They called me up to do some promotion for it so I said, well, send me one, because they’re super expensive. It’s a miracle machine – it’s like the best sex you ever had.



Isn’t it a big shame that you never broke the American market?


Not at all, thank you. At some point I had the opportunity to work there – my records were released there, I toured, I sang in New York, in LA, I was in Interview magazine. But I quickly realized it was not my country. I couldn’t give a damn about Hollywood or singing in Las Vegas, so I concentrated on Europe and I’m the happier for it. I’ve got a beautiful career; I’m famous in Germany, Italy, France, Spain… I don’t have the ambition to be queen of the world, or to be Madonna. That’s not me. My ambition is to pay the rent and to paint and sing and act. And to sometimes be able to walk into the Prada store and buy myself a nice new handbag.

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CONTRIBUTIONS

Amanda was photographed at the George V Hotel in Paris. Hair by Duffy at Premiere. Printing by Berra. Styling assistant Matt Dainty. Photography assistant Julia Beurq. Thanks to Jimi Dams, Steven Philip, Deep Kailey and Bertrand Bizet at KCD Paris.

mercredi 1 janvier 2025

Amanda Lear, Iconic Salvador Dalí Muse, Looks Back at Her Life in Parties ....

 The model, artist, actor, pop star, and queer idol has seen and done it all.


Written by Kyle Munzenrieder for wmagazine. Click !

Amanda Lear modeled for Yves Saint Laurent, Karl Lagerfeld, and Paco Rabanne; dated David Bowie and a Rolling Stone; and forged a successful music career of her own—but she never planned any of it. “I think my whole destiny was probably written somewhere in the stars. I never tried anything. I never went to school to learn acting. Everything happened by chance.” While Lear has been content to let the details of her earliest days remain something of a mystery, she found herself in 1960s Paris, studying art, and was persuaded to model part-time. “I said why not, if I make good money? I actually had no idea how to put on makeup or how to walk.” She got her start with a young Lagerfeld when he was at Jean Patou, and was mentored by Catherine Harlé, an agency head who had a knack for turning her models into the It girls of the day.




Amanda Lear values discipline but still believes in the power of chance encounters. After all, it was during a night out with Rabanne that she met Salvador Dalí, the artist who adopted her as a muse. Roxy Music’s Bryan Ferry led her to Bowie, who in turn encouraged her musical ambitions. She’s recorded 22 albums, starred in productions on the stage and screen, exhibited her paintings around the world, written numerous books, and still has no intention of slowing down. Chanel’s recent use of her song “Follow Me” in an ad for their Coco Mademoiselle fragrance has led to new searches for her music, and this year she’s touring Europe with a part in the play The Scopone Game. While Lear appreciates the interest in her trajectory, she says what keeps her going is the future: “I’m not into nostalgia. I do not look back saying, ‘Oh my god, it was a good time!’ I don’t give a shit. What’s interesting to me is, what’s going to happen tomorrow? What am I going to do next year? What keeps me going is this curiosity.”



Alongside friends like Anita Pallenberg, Lear often found herself in Swinging London, surrounded by artists and rock stars. “All those parties were about drinking and boozing and smoking dope. I’ve never been into that,” she says. “Well, a little bit in the late ’60s.” Here, Lear is captured by the photographer Peter Schlesinger, a fixture of that era.


Aside from a good DJ, Lear has one mandate for a successful soirée. “It’s very important to have people who are well-dressed,” she says. “Whenever we used to go to Studio 54, we had to dress up. Otherwise, they wouldn’t let you in. You have to bring out the paillettes and the glitter and the feathers. You don’t just walk into the party in jeans like it’s your office.” As long as you’re making an effort, however, Lear doesn’t care about your background. “A good party has a mixture of rich and poor people—models and truck drivers together. That’s important.”


“Nowadays, most model girls dream of going out with a football player. But in my day, as soon as the boy had long hair and was holding a guitar, we were in love with him,” says Lear. She was linked for a while to Brian Jones of the Rolling Stones and was close friends with Pattie Boyd, the model who married George Harrison from the Beatles. “Everybody says, ‘Oh my god, you knew the Beatles?’ When people say that to me, I feel like a dinosaur in Jurassic Park. I mean, lots of other girls met them as well. It’s nothing special.”



In the ’70s, Lear was offered opportunities to expand her modeling career but chose nightlife instead. “Diana Vreeland told me, ‘I like you, but if you want to work in New York, you have to be ready every morning with your hair washed and your nails done, and looking really fresh and well made up to see all the photographers.’ Obviously, I couldn’t do that because I was out dancing.”


Amanda Lear was a star member of Dalí’s posse. She appeared by his side at press conferences, galas, and parties and stayed with him at the St. Regis hotel in New York, where the artist made his presence known in grand fashion. “He was always surrounded by all kinds of photographers and parasites and models,” she says. “He enjoyed every day at five o’clock what he called tea time—having all these people around him at the hotel. Most of them were hangers-on. They were just there to have a free drink.”


The artist did not make a good first impression. “He said, ‘You have the most beautiful skull I’ve ever seen.’ I wasn’t very pleased being called a skull,” recalls Lear. “He said, ‘What do you do?’ In those days, being a model was not something very glorious. So I said, ‘I’m a painter, like you.’ He was very cold and said, ‘Oh, forget it. You cannot be a painter because women cannot paint.’ So I thought, This man is an asshole, and I’ll never see him again.”



Dalí, however, quickly recovered from his fumble. “The next day, he called me, and this time we got along very well. I stayed with him as his model and friend for 16 or 17 years.” Lear spent her summers with Dalí and his wife, Gala, in Catalonia, Spain, and traveled with him across the globe, but always by boat (“He was terrified of flying,” says Lear). She served as a model for several of his artworks and wrote the 1984 autobiography My Life With Dalí. At one point, Lear even persuaded the artist to take the part of the emperor in director Alejandro Jodorowsky’s never-produced adaptation of Dune. Lear was to be Princess Irulan, the character played in the current franchise by Florence Pugh.


It was through her trips to New York with Dalí that Lear started to mix with Andy Warhol. “They liked each other, but there was a competition between Warhol and Dalí,” she says. “Both had crazy entourages.” While Lear was decidedly in Dalí’s camp, she socialized freely with Warhol (left) and his superstars. Here, she’s at the 1974 wedding reception for rock star Sly Stone and model Kathy Silva, at the Waldorf Astoria.


In the early ’70s, Roxy Music frontman Bryan Ferry (above) spotted Lear modeling and was instantly transfixed. “He took me to his flat, where he had a framed photograph of Kim Novak. He said, ‘Kim Novak is my ideal woman.’ I said, ‘Me too. The only reason why I made my hair blonde was because of Kim Novak.’ ”



Ferry had envisioned a Novak-like woman for the cover of his band’s next album, For Your Pleasure (right), and decided Lear was perfect. “I was terrified of the black panther. I didn’t like the way she looked at me,” Lear recalls of the shoot. A tranquilizer and some retouching fixed the issue. The album was a commercial success and remains a glam rock staple. It also brought Lear wider attention. “David Bowie fell in love with that photograph. He didn’t fall in love with me—he fell in love with a photograph.”


“One night, I got a call from my friend Marianne Faithfull: ‘I’m here with David Bowie. He wants to meet you.’ I said, ‘Oh, yeah, sure he does. It’s one o’clock in the morning. I’m in bed.’ She put Bowie (above) on the phone, and he said, ‘You look fantastic in that photograph.’ ” The pair had what Lear calls “a sort of two-year affair,” but Bowie also sensed Lear’s potential star power. “He was the very first person who said, ‘Amanda, you should sing.’ I said, ‘But I’m not a singer. I’m a model.’ And he said no. He paid for my singing lessons. He put me under contract with his manager. That’s how it started. In fact, it all started from that photograph.” Her debut album was aptly titled I Am a Photograph.


Amanda Lear signed to the Munich-based record label Ariola, which specialized in European disco, and took her show on the road. “If you have a great voice like Donna Summer or Grace Jones, you just have to sing. But in my case, because I wasn’t sure my voice was good enough, I decided to surround myself with beautiful half-naked boys.” Nightclub impresario Fabrice Emaer invited her to play at his hot spot Le Palace, the French equivalent of Studio 54. “There were 5,000 people outside, blocking the street. Overnight I was hailed as the disco star of Paris.”


Amanda Lear was often on television, and one performance caught the eye of Silvio Berlusconi, the future prime minister of Italy, who was at that time a mere media tycoon. “He said, ‘I would like you to host my big Saturday night show,’ ” says Lear. “He needed someone who could speak French, English, Spanish, and Italian, and I speak five languages. We had lots of fabulous guests, like James Brown and Tina Turner.” Lear hosted several successful shows in Italy for nearly two decades. One program, Ars Amanda, saw her interviewing politicians, intellectuals, and celebrities in bed.


“Grace Jones is a bit like me because she was a model before too. She has kept an image all these years, and she’s one of the few left,” says Lear, who feels she and Jones have influenced some of today’s pop stars. “When I see the girls today, they are a bit like our daughters. They’re doing the same thing we were doing: being shocking, provocative, making gay people dance in the discotheque. But Grace and I were doing it 50 years ago.”


Amanda Lear never gave up her original love of painting. “That saved my life,” she says. “All my friends go mad. They go to the psychiatrist because they’ve got problems. I don’t need a shrink because painting, to me, is therapy.” Lear has displayed her work across the globe, including at a show during Art Basel in Switzerland earlier this year. “I sold 12 paintings in Art Basel. If I could pay my rent just by painting, I would probably stop show business altogether and just sit there at home and paint.”


Amanda Lear doesn’t miss her modeling days. “They say, ‘Stand straight, close your mouth, be beautiful, shut up,’ ” she says. “And I love talking.” But she’s been persuaded over the years to pose for pictures and get back on the runway, including for Thierry Mugler’s fall 1990 show in Paris (above). “The designers still like me. They say, ‘You’re a fashion icon.’ I hate that word. I am not an icon; I’m a survivor. I’m probably one of the few still alive.” These days she’s a frequent front-row fixture at Diesel, Rabanne, Gaultier, and Kim Jones’s shows for Dior Homme. She also recently worked with Jacquemus.


Amanda Lear talks to Jean Paul Gaultier on the phone all the time, but it took a bit of persuasion to get her back on the catwalk for the designer’s retirement show, in 2020 (above). “He said, ‘Amanda, you have the best legs I’ve ever seen. You must show your legs!’ ” After the presentation, dressers backstage removed her gown, and Lear had to take an elevator to change back into her regular clothes. “I walked into that lift and I’m completely naked, and the door closed and I’m all alone with Anna Wintour. It was so embarrassing. I said, ‘I’m terribly sorry. I didn’t know you were here.’ She was very nice, actually. She said, ‘No, it’s all right. I enjoyed the show.’ ”


In 2023, Lear took a part in Amazon Prime’s French hit Escort Boys (above), a dramedy about male sex workers. Alongside the likes of Rossy de Palma and Gossip Girl’s Kelly Rutherford, Lear played a client. Her character, she notes, wasn’t satisfied and wanted her money back. “It was very funny to film because that boy was absolutely stark naked. I mean, I didn’t know where to look,” she says. “Aren’t you embarrassed to be totally naked?” she asked. “He said, ‘No, I don’t care.’ I realized that today the boys are really exhibitionists. In fact, they love to be exactly what we girls had been doing for all those centuries, being treated just as a sex object, but they enjoy it.” Lear also had a part in the recent fashion drama La Maison, on Apple TV+, and continues to tour Europe starring in several plays. “The theater is really unbelievable. It’s such a thrill every night.”


Amanda Lear admits she’s just pretending to paint in the 1984 publicity photo above. Taken at her home in the south of France, it showcases another of her great interests: men. “That was the good old days. I cannot complain. I had the most beautiful boys in the world—it’s true. Marvelous boyfriends, models, actors, whatever. Even now there are a lot of boys calling me; perhaps they’re into gerontophilia,” she says. “But I’m better alone. Most of my friends my age say, ‘We are so lonely, it’s terrible!’ This is all rubbish. Being alone is wonderful: I do what I want, I dress how I want, I eat what I want, I watch what I want on TV. And I love it.”