mardi 18 août 2020

Chez Amanda Lear à Saint-Rémy-de-Provence

Article from Sylvain Merle for Le Parisien ....Click !

« Chaque fois que je faisais un gala ou un film, je m’achetais un arbre », raconte Amanda Lear, qui boise depuis quatre décennies ce qui est devenu son éden. LP/Olivier Corsan

« Pourquoi voulez-vous me voir? Je n'ai rien à vendre… » nous disait-elle au téléphone. Il a fallu insister pour que la Reine Lear nous accueille dans son refuge provençal qu'elle ne voulait pas montrer. Rendez-vous avait été pris au café. Masque noir sur le visage, lunettes noires, ensemble tout aussi noir, Amanda Lear arrive à pied. Chat échaudé craint l'eau froide. 

 Nous sommes dans le parc régional des Alpilles, près de Saint-Rémy-de-Provence, où vécut Van Gogh. Une région d'adoption depuis quarante ans pour la chanteuse et comédienne, et un pur hasard. « A l'époque, on ne jurait que par Saint-Tropez, raconte-t-elle. J'ai failli y acheter la maison de Brigitte Bardot qui s'était ravisée au dernier moment. » A la suite de cette déconvenue, elle visite le coin dont elle tombe raide. Après une première maison à Saint-Rémy, qu'elle n'a gardée que « deux ou trois ans », elle s'est ancrée au cœur de ce village.

 

Le soleil tape, le mistral bastonne et les cigales tintamarrent alors qu'on la suit dans une petite rue longeant un mur vert de vigne vierge. Une porte de bois en ogive s'ouvre sur son écrin de verdure. « Vous avez votre maillot ? » lance-t-elle en riant. A droite, une piscine, des parasols bleu et rose. « C'est pour les copains, la piscine, précise-t-elle. Je ne suis pas en vacances moi, je vis ici à l'année. » On progresse dans un jardin très arboré. Des orangers, des tilleuls et surtout des oliviers, âgés.


« Chaque fois que je faisais un gala ou un film, je m'achetais un arbre, poursuit-elle. Le grand luxe, c'est d'appeler un pépiniériste pour demander un olivier de 200 ans, rigole-t-elle. Il vient, fait un trou et pan, le soir vous prenez l'apéro sous un olivier bicentenaire. » Près de quatre décennies, donc, qu'elle boise cet éden dont elle récolte les fruits, des olives, principalement. « Je les porte au moulin, à Maussane, où Aznavour allait. Je suis oléicultrice », insiste-t-elle. Quelques bouteilles d'huile par an, « c'est délicieux de savoir qu'elle provient de mon jardin. »
 
Entre deux haies de buis, une allée mène à la terrasse, devant la maison. Haute d'un étage, elle est garnie de volets et portes d'un bleu lavé, en harmonie avec le jaune terre du torchis de la façade. A droite, un caprin en plastique semble surgir d'un fourré. « Un hommage à Fergie, ma chèvre », souffle-t-elle. Colliers de perles au cou, la bête de résine semble garder un petit escalier extérieur qui monte à la chambre de notre hôtesse, la pièce qu'elle préfère.
 
« Il y a un petit côté Roméo et Juliette qui m'a plu, glousse-t-elle. Je peux recevoir un amant sans que la maisonnée n'en sache rien. » On y jette un œil, avec sa bénédiction. Un lit à baldaquin sur lequel s'enroule un lierre factice, une tête de lit en forme de coquille Saint-Jacques. « Dans mon lit, je suis une perle », sourit-elle.
 
« Quand j'ai acheté, c'était le parking du village ici, presque en ruine, j'ai mis un point d'honneur à en faire un petit paradis. » C'était au début des années 1980. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts. D'Avignon, tout proche. De la Sorgue, aussi, et ceux de L'Isle, paradis des brocanteurs. Elle y a chiné tous ses meubles. « J'aime que les objets aient des histoires… Vous me voyez chez Ikea ? »




Des murs colorés, des faïences bleu et jaune, un antique chandelier d'église, des lanternes de fer forgé, des paniers au plafond de la cuisine, toute carrelée, des tableaux au mur — on y reviendra — des meubles anciens voire défraîchis, il règne ici une ambiance de bohème provençale. On s'installe sous une tonnelle végétalisée pour une discussion à bâtons rompus, balayant des années de fêtes, de rencontres incroyables, de moments privilégiés avec Dali, dont elle fut la muse, de Bowie, dont elle fut l'amoureuse, d'anecdotes dont elle paraît intarissable.
 
«Je n'ai jamais voulu ce qui m'est arrivé, moi je voulais peindre»
« Quand je dis que j'ai croisé Jimi Hendrix, on me regarde comme si j'étais Jurassic Park. » Elle raconte l'avoir mis à la porte de chez elle, à Londres, parce que sa poule du jour lui avait piqué son peignoir, à elle. Faut pas pousser la tigresse Amanda dans les orties. C'est drôle, foisonnant, piquant. Sur ses meubles trônent des photos d'elle avec les Stones, Elton John, Andy Warhol…

« On dit que je suis une légende, ça veut dire quoi ? fait-elle mine de s'agacer. Que je suis toujours vivante ? Oui. C'est que je suis une survivante, j'ai connu les années 1960, 1970, 1980 et je suis toujours là […] J'ai connu des gens extraordinaires, mais je n'ai jamais voulu ce qui m'est arrivé, moi je voulais peindre. » Aujourd'hui, qui aimerait-elle rencontrer ? « Le pape, je l'aime beaucoup, je lui demanderais de me confesser. » Il y aurait beaucoup à dire ? « Je suppose… Dans ce métier on ne pense qu'à notre nombril, on est des monstres, les gens du showbiz… »
 
On parle aussi de son avenir, dans le showbiz, justement, qu'elle ne planifie pas vraiment. Elle a des projets qui couvent. Avant la crise du Covid, un projet de théâtre était sur les rails, « avec Michel Fau », précise Amanda Lear. Repoussé. Quand la revoit-on sur scène, alors ? « Jamais. Il va falloir me supplier à genoux. » Ce qui la rebute, c'est l'engagement long. Elle partirait bien sur une captation pour la télé, plus confortable. Côté cinéma, elle apparaît dans « Miss », de Ruben Alves, qui sortira à la rentrée. Et puis elle s'attelle à un nouvel album « posthume », s'amuse-t-elle à dire.
 
« Pour la première fois j'ai eu envie de reprendre des classiques français ». Du Charles Trenet, notamment. « On a déjà tourné deux clips et enregistré trois titres, il faut que je fasse attention, j'ai tendance à choisir des chansons un peu tristounettes, sur la nostalgie ». Pas vraiment la retraite annoncée il y a trois ans. « Je suis retraitée active, sourit-elle. Disons que je me fais beaucoup prier, plus vous dites non et plus on vous veut. » Récemment, Marc Almond, du groupe Soft Cell, lui a proposé un duo. « Sympa comme proposition, mais j'ai été regardé sa photo, il a 100 ans le type ! » Elle rit de sa pique.

La peinture est centrale pour Amanda Lear, qui entasse ses toiles chez elle, dont cette femme aux cheveux en fleurs : « Pendant le confinement j’ai peint comme une folle. »/LP/Olivier Corsan 
Son petit miroir à portée de main, elle met régulièrement de l'ordre dans des cheveux que le vent bouscule aussitôt. « Je ne planifie rien, je laisse venir… Peut-être que demain je vais recevoir un appel de Woody Allen, on ne sait pas… Je crois au destin. Ou demain je peux chopper le Covid et mourir. » On la croit, un peu, elle qui entoure constamment son être et sa vie d'un flou, forcément artistique. A commencer par sa date de naissance, jamais la même. Ce qui a pu lui jouer des tours. « Je l'avais mise en code de l'alarme, mais comme j'en change tout le temps, je ne me souvenais plus laquelle j'avais mise, ça sonnait constamment », rit-elle.
 

«J'ai des fleurs plein la tête et pas de regrets»
Répartie, humeur et humour, Amanda Lear est une amuseuse. Mais pas uniquement : « Les gens ne me connaissent pas. Ils m'imaginent toujours sur les red carpets (NDLR : les tapis rouges). J'ai une image publique, alors je donne ce qu'ils demandent, je mets mes paillettes, montre mes guiboles… C'est mon fonds de commerce, mais, je préfère de beaucoup l'Amanda Lear qui est ici, tranquille, qui fait sa cuisine, qui met de l'ail partout, qui peint. »

La peinture, un art central pour elle. Elle était aux Beaux-Arts avant de rencontrer Dali, dont elle n'aimait pas le style, lui préférant Picasso ou les impressionnistes… Van Gogh, aussi, dont elle a encadré des lettres à son frère, Théo, dégotées chez un brocanteur. Son atelier, elle l'a installé à même le salon. D'un côté la télé, de l'autre le chevalet, les tubes de couleur et des toiles, par dizaines, accotées aux murs. « Pendant le confinement j'ai peint comme une folle, c'est ma thérapie », confie-t-elle.
 
« Au début, j'étais plutôt dans les ocres, du vert brûlé, maintenant je peins des couleurs vives, directement du tube, du jaune citron, du bleu électrique. J'aime les couleurs », glisse-t-elle. Parmi les tableaux, des femmes aux cheveux en fleurs. « J'ai des fleurs plein la tête et pas de regrets, surtout pas de regrets. » Des toiles qu'on peut aussi admirer aux murs. Il y a Chaussette, sa chatte borgne représentée sur fond doré avec une collerette en dentelle.
 
«Si on n'est pas optimiste, on ne vit pas vieux»
Un autoportrait, là, datant de 1981. On la voit en reine pourtant une fraise Renaissance, un micro dans la main gauche, une mappemonde sous la droite et ses 33-tours devant elle. Des natures mortes, sur bleu profond. Doudou, le chat siamois disparu. Elle a eu jusqu'à treize chats, beaucoup ne sont plus là. Elle soupçonne un empoisonnement de voisinage… « Si je pouvais vivre de ma peinture, on ne me verrait plus. » Cachée, et heureuse, après avoir été tant exposée… Elle s'est « régalée » pendant le confinement. « J'étais seule, je faisais la lessive, la vaisselle, je suis passée de superstar à femme de ménage, et j'ai adoré. »



Elle se dit « de moins en moins sociale », mais prône le rire comme régime de santé. Seule ? « Je regarde la télé, mes chats me font rire… Je vous avoue que je me force un peu à voir le verre à moitié plein, je suis d'un tempérament plutôt pessimiste et parfois, je m'oblige à me dire : Ça va aller. Si on n'est pas optimiste, on ne vit pas vieux ».
 
La crise l'a amenée à réfléchir « à la vacuité, à l'inutilité de courir après le succès, l'argent ». Reste « qu'une vieille baraque coûte cher ». « Tout mon pognon y passe, mes amis me disent que c'est trop grand, que je devrais vendre. Mais je veux mourir ici, affirme-t-elle. Au pire, je la mettrai en viager. » Veut-elle s'y faire enterrer ? « Non, brûlée, direct ». Et les cendres ? « On les mettra avec celles de la chèvre et de mes trois labradors au fond du jardin. »


Amanda Lear en difficulté financière ? Elle dévoile où passe tout son "pognon"

Muse, chanteuse, comédienne, peintre... Depuis des années, Amanda Lear multiplie les casquettes. Mais la star ne croule pas sous l'argent pour autant. Interrogée par "Le Parisien", depuis sa maison de Provence, elle a fait des confidences. Cash, comme à son habitude.

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Véritable touche-à-tout populaire du show business, Amanda Lear pourrait vivre une retraite dorée après avoir mené une carrière bien remplie. Mais, malheureusement, la star ne peut pas vraiment se permettre d'arrêter de travailler car elle a besoin d'argent. Il faut dire que sa belle demeure lui coûte les yeux de la tête.

Cet été, le journal Le Parisien est allé à la rencontre de personnalités qui acceptent d'ouvrir les portes d'un lieu qu'ils aiment par dessus tout. D'abord réticente car elle n'est pas en promotion et que sa maison a déjà été cambriolée, Amanda Lear a finalement donné son accord pour accueillir le quotidien dans sa demeure près de Saint-Rémy-de-Provence. Un refuge au milieu des fleurs, des arbres et des oliviers - parfois bicentenaires, elle aime s'en offrir régulièrement malgré le coût élevé et produit un peu d'huile d'olive - , ombragé et avec une piscine, idéale pour se rafraîchir par temps de canicule. "C'est pour les copains, la piscine. Je ne suis pas en vacances moi, je vis ici à l'année", précise-t-elle au journal. Elle y a passé un confinement formidable, révélant avoir peint "comme une folle" pendant cette période.

Amanda Lear, qui vit seule avec ses chats depuis qu'elle dit avoir tiré un trait sur l'amour et fermé la boutique de sa vie sexuelle, avait juré prendre sa retraite mais, finalement, elle a encore des projets sous le bras. Une pièce de théâtre avec Michel Fau a été mise de côté par le Covid-19, mais elle prépare un disque de reprises de classiques français et est attendue au cinéma dans le film Miss. Amanda Lear se décrit volontiers comme "une retraitée active" mais pas uniquement pour l'amour du show business... Folle amoureuse de sa maison, où se situait avant "le parking du village", la star a besoin de faire rentrer de l'argent car "une vieille baraque coûte cher". Elle ajoute : "Tout mon pognon y passe, mes amis me disent que c'est trop grand, que je devrais vendre. Mais je veux mourir ici. Au pire, je la mettrai en viager." Si des acheteurs sont intéressés...


Amanda Lear évoque la chambre où elle reçoit ses amants ....

 Installée dans le sud depuis près de quarante ans, Amanda Lear a reçu Le Parisien dans sa maison à Saint-Rémy-de-Provence. L’occasion d’évoquer (avec malice) la chambre où elle reçoit ses amants, la pièce qu’elle préfère.

Article from Sebadelha Julie for Voici




Dans les années 1980, Amanda Lear a acheté une maison dans le sud de la France. À Saint-Rémy-de-Provence, dans les Bouches-du-Rhône exactement. Son coin de paradis. Son élixir de jouvence aussi. « Le soleil, de bons légumes et de l’huile d’olive : c’est mon secret de jouvence », révélait-elle dans une interview accordée au Journal du dimanche (avouant tout de même avoir également cédé aux « petites piquouzes » et aux « nouvelles crèmes de beauté »). Autant d’ingrédients qu’elle peut se procurer facilement en Provence - elle fait même son huile elle-même, avec les olives de son jardin qu’elle récolte et qu’elle porte au moulin. « Je ne pensais jamais vivre en province », confiait-elle également. « Cela m’a permis de devenir une femme mûre, c’est-à-dire comme les fruits du même nom : bonne à consommer ! » Et Amanda Lear n’hésite pas à se faire croquer…


Sa chambre, « la pièce qu’elle préfère »

Amanda Lear a reçu Le Parisien dans sa maison à Saint-Rémy-de-Provence. L’occasion pour elle d’évoquer sa chambre à coucher. Une chambre avec « un lit en baldaquin sur lequel s’enroule un lierre factice, une tête de lit en forme de coquille Saint-Jacques », peut-on lire dans le journal. « Dans mon lit, je suis une perle », plaisante la blonde dont on ne connait pas l’âge exact, malicieuse. Des meubles qu’elle a chinés, évidemment. « J’aime que les objets aient une histoire… vous me voyez chez Ikéa ? », interroge-t-elle. Pour accéder à sa chambre, elle a un escalier extérieur, accessible depuis son jardin. « Il y a un petit côté Roméo et Juliette qui m’a plu », explique-t-elle, avant d’ajouter sans détour : « Je peux recevoir un amant sans que la maisonnée n’en sache rien. » Sa chambre, c’est « la pièce qu’elle préfère », indique le journaliste du Parisien. On ne se demande pas pourquoi…

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dimanche 21 juin 2020

Amanda Lear, artista, cantante, pittrice tra le più note in Italia ...

“IN PASSATO DICEVO 'HO CHIUSO LA 'BOUTIQUE', MA SCHERZAVO. NON È COSÌ” - AMANDA LEAR A ‘UN GIORNO DA PECORA’: “FLIRT? NELLA MIA CASA IN PROVENZA HO 5 STANZE, NON MI SENTO MAI SOLA…” – DALI’? UN MACHO MA SI TRUCCAVA I BAFFI, CON LA MATITA NERA. TANTO CHE QUANDO MI DAVA IL BACIO DELLA BUONANOTTE…" - BORIS JOHNSON? UN CRETINO PATENTATO, TRUMP PREPOTENTE – E SULLA SUA ETA’ RIVELA CHE… 





Amanda Lear, artista, cantante, pittrice tra le più note in Italia ed in Europa, oggi si è raccontata ad Un Giorno da Pecora, la trasmissione di Rai Radio1, che l'ha raggiunta telefonicamente nella sua abitazione in Provenza. “Sono nella mia casa nel sud della Francia, con i miei gatti.

 

Ne ho avuti fino a 13, ho avuto anche qualche capretta, perché amo gli animali”, ha esordito la Lear. 
E' vero che giovedì ha festeggiato il suo compleanno ? 
“No, il mio compleanno è il 18 novembre, compirò 74 anni”. Secondo alcuni lei farebbe gli anni il 18 giugno... “No, assolutamente no”, ha precisato l'artista a Un Giorno da Pecora. 

Come passa la maggior parte del suo tempo a casa ? 
“Io adoro dipingere. In passato dipingevo molti nudi, sia femminili che maschili”.




A proposito di uomini, ultimamente ne sta frequentando qualcuno ? 
“Scherzando in passato dicevo 'ho chiuso la 'boutique', ma non è così. Vi assicuro che anche passati i 60 o i 70 ci sono comunque tanti ragazzi che ti fanno i filo. Una donna ha sempre fascino, anche con l'ironia, la sicurezza e la voglia di vivere si può sedurre, al di là dell'età”.

 
Quand'è stata l'ultima volta che ha avuto un flirt con un uomo ? 
“Diciamo che in questa bella casa che ho in Provenza ho cinque stanze, dunque c'è sempre posto per aver qualche amico che passa a farmi compagnia, non mi sento mai sola”. 

Lei ha avuto una carriera straordinaria: si è mai fatta il conto delle cifre che ha guadagnato ? 
“Ho guadagnato tantissimo. Ma ho anche speso tantissimo: sono una spendacciona. Spendo per tutto, per la casa, per gli animali, per i viaggi, che spesso ho regalato”.

 Qual è il viaggio più costoso che ha regalato ? 
“Una viaggio lunghissimo, in prima classe, dove andammo anche in India.

 Queste cose costano...”

 Lei conobbe molto bene Salvator Dalì. Che tipo era ? 
“Molto passionale, molto spagnolo, ogni domenica andava alla corrida ed era un macho spagnolo tipico, un maschilista. Ma ha avuto una grandissima influenza nella mia vita, siamo stati insieme 16 anni e da lui ho imparato tantissimo, ho imparato come pubblicizzarmi, far parlare di me. Tantissime cose".

Le piacevano i suoi iconici baffi ? 
“Lui si metteva una specie di cera per farli tenere su dritti. E ogni mattina si truccava i baffi, con la matita nera. Tanto che quando mi dava il bacio della buonanotte mi rimaneva il segno sulla fronte”. 

Politicamente lei si sente più di destra o di sinistra ? 
Non faccio politica, ho un passaporto britannico, adoro la regina anche se Boris Johnson è un cretino totale. La regina Elisabetta è meravigliosa, politicamente sono royalista, penso che il meglio per un paese sia aver un re meraviglioso che stia lì fino alla morte, così non c'è bisogno di cambiarlo ogni cinque o sei anni”.

 Donald Trump le piace ? 
“Mi fa un po' paura, cambia idea ogni cinque secondi, non è il mio genere di uomo, prepotente...”



jeudi 18 juin 2020

Amanda Lear: « Salvador Dalì ? Mi mandò da Fellini »

Amanda Lear: «Persi tutto, mio marito e la mia casa. Ma ho saputo ricominciare. 
Salvador Dalì? Mi mandò da Fellini»

Un cameo nella commedia « Si muore solo da vivi » di Alberto Rizzi, dal 18 giugno sulle piattaforme. « Fellini mi faceva abbuffare, con Antonioni si rideva. Ora amo dipingere »

di Stefania Ulivi


 «Capisco bene la voglia di non arrendersi raccontata nel film di Alberto Rizzi. Il protagonista ha perso tutto nel terremoto in Emilia ma non si arrende all’idea che tutto debba finire così. Anche io ho avuto una tragedia terribile nella vita. Ho perso tutto nell’incendio della mia casa, mio marito (Alain-Philippe Malagnac, ndr), i ricordi, i quadri, tutto. Ma devi farti forza e ricominciare, lo so». Amanda Lear è nel cast della commedia Si muore solo da vivi, prodotto da Nicola Fedrigoni e Valentina Zanella, per KPlusFilm distribuito da Fandango, on demand da domani sulle principali piattaforme, con Alessandro Roia e Alessandra Mastronardi.



È un’opera prima, come l’hanno convinta?
«Amo lavorare con i giovani, hanno luce e quando sentono il mio nome non si fermano ai cliché. Accetto volentieri, come ho fatto con «Metti una notte» di Cosimo Messeri. Non si sa mai, forse sono gli Scorsese e Coppola di domani, il talento va incoraggiato».

Lei appare in un cameo, che personaggio è?
«Sono Giusi Ganaglia, una specie di impresaria musicale che se la tira un po’ a cui si rivolge il protagonista, ex leader di una band. Girare in Emilia, a Correggio, è stato bello. Mi hanno raccontato questa storia della saponificatrice, su cui Bolognini girò Gran bollito, non l’avevo mai sentita. La sera in hotel guardavo la saponetta con una certa inquietudine… Scherzo, sono stata benissimo, quando potevo andavo a Bologna a trovare i miei amici. Amo l’Italia. Sarei voluta tornare ora ma con il virus non si può».



Dove ha passato il lockdown?

«In Provenza a casa mia, sono scappata da Parigi all’inizio di marzo. Stranamente dopo tutto questo tempo in campagna quasi quasi non ci torno più. Il lavoro non c’è. E poi, a cosa serve correre come dei matti: sfilate, fashion week, serate? Mi manca il teatro, quello sì e non vedo come potrà veramente ripartire».

Nella sua vita ha vissuto esperienze straordinarie.
«Ho fatto di tutto di più. Se ci ripenso la cosa più sorprendente è il successo con la musica, pezzi come Tomorrow, ho venduto 28 milioni di dischi. Non mi considero grande cantante, lo sono Mina e Ornella Vanoni. Adoro la musica, ho sempre cercato di migliorare. Ora lavoro a un nuovo album, ho registrato tre pezzi, anche uno bellissimo del maestro Riz Ortolani. La mia voce è ancora lì, fare teatro mi aiuta, è un muscolo. Come andare in palestra».



Vita straordinaria e incontri straordinari.

«Fantastici e imprevisti. Chi si aspettava mai di trovare in un locale Salvador Dalì, o che un’amica mi presentasse David Bowie? Creativi, geniali, ho imparato tante cose, liberato la creatività. E ogni incontro ne ha portati altri».

Per esempio?
«Appena conosciuto Dalì, ero una ragazzina, mi disse: “Se vuoi ti mando da Fellini ti farà lavorare”. Salgo su un aereo direzione Roma. Era a Cinecittà, girava forse Satyricon. Mi guarda e dice: “Sei bellissima, a me serve una gigante con tre teste, una nana, non una modella alta, magra e bionda. Torna a trovarmi quando sarai brutta”. Adesso potrei andare ma non c’è più lui. Mi ha portato al ristorante con Giulietta Masina e mi hanno fatto abbuffare di pasta. E poi mi ricordo Bolognini, con cui ho fatto gli spot del Nano ghiacciato e Antonioni che una sera a cena, a dispetto dei suoi film seriosi, mi faceva ridere con le barzellette. Ora mi piacerebbe lavorare con gente come Sorrentino, posso fare la parte di una nonna un po’ pazzesca, una cattiva».



Come passa le giornate?

«Una volta vivevo di notte e la mattina dormivo. Ora mi alzo prestissimo, mi godo il sole, il giardino, cucino, faccio cruciverba, sento gli amici, non posso annoiarmi. E dipingo. È la mia terapia. Quadri con colori accesi, non sarò mai una tipa in bianco e nero, sono sempre la ragazza dei fiori».

Programmi?
«Mi dicono: devi pensare a mettere via soldi per la vecchiaia. Non sarò mai vecchia, perché devo mettere i soldi da parte? Li spendo e si vedrà».

samedi 9 mai 2020

Pays d'Arles : 2 500 masques offerts par Amanda Lear



La plus célèbre habitante de Saint-Etienne du Grès est aussi l'une des plus discrètes. Mais elle a à coeur le bien-être et la sécurité de ses concitoyens. A l'heure du dé confinement, Amanda Lear a financé l'achat de 2 500 masques chirurgicaux pour équiper les habitants de son village ! Une générosité qui se rajoute aux réalisations des doigts de fée des couturières grésouillaises, représentés par Marie-Claude Teyssier et Corinne Lucchesi, qui ont déjà cousu plusieurs centaines de masques alternatifs. L'artiste égérie de Salvador Dali a remis son don en mairie, jeudi 7 mai, en présence du maire Jean Mangion, de Claude Sanchez, Céline Castells, Inès Prieur de la Comble, Elisabeth Rabouin et Edgard Maréchal. Avec beaucoup de précautions.


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mercredi 29 avril 2020

Alain-Philippe Malagnac, Manuel Casella, Marco Piraccini... Les hommes de la vie d’Amanda Lear

Depuis le décès de son époux en 2000, la chanteuse Amanda Lear a eu de nombreuses conquêtes à son actif. Manuel Casella, Marco Piraccini… Découvrez les hommes qui ont fait battre son cœur

Alain-Philippe Malagnac : son second époux décède tragiquement dans un incendie

Avant de faire la connaissance d’un certain Alain-Philippe Malagnac, la chanteuse Amanda Lear a été en couple avec un homme du nom de Morgan Paul Lear. Le couple se marie en 1965 avant de se séparer quelque temps plus tard. Par la suite, la star aurait entretenu une idylle amoureuse avec le célèbre peintre Salvador Dali avant de le quitter pour se consacrer à sa carrière. 
En 1978, la chanteuse fait la connaissance de l’homme d’affaires et collectionneur d’art Alain-Philippe Malagnac. L’interprète de Follow Me l’épouse en secondes noces le 13 mars 1979 à Las Vegas aux Etats-Unis. Ce dernier aurait été l’ancien secrétaire et amant de l’écrivain français Roger Peyrefitte. À partir de 1981, le couple emménage de le village Saint-Étienne-du-Grès près d’Avignon. Malheureusement, Amanda Lear et son époux sont victimes d’un véritable drame en 2000. 

Dans la nuit du 15 au 16 décembre 2000, le mas provençal de la demeure du couple est victime d’un terrible incendie. En Italie au moment des faits, Amanda Lear apprendra le décès tragique de son époux à l’âge de 49 ans. Les pompiers ont retrouvé le corps inanimé d’Alain-Philippe Malagnac près de la cuisine. Dans la chambre d’amis du couple, un autre homme est retrouvé sans vie, il s’agit d’un éleveur de chats du nom de Didier Dieufis. 

Interrogée par le Parisien, la star était revenue sur les circonstances du drame : “J'ai sous les yeux les deux expertises. Les conclusions sont claires : l'acte de malveillance est écarté et l'imprudence ou la fausse manoeuvre sont privilégiées. Mon mari et Didier ont péri des suites de l'inhalation de gaz toxiques. C'est un accident malheureux. L'essentiel, c'est qu'ils n'ont pas souffert”, avait-elle confié en 2001.




Manuel Casella : son fiancé, de 32 ans son cadet

Après la disparition tragique de son second époux, Amanda Lear a retrouvé l’amour dans les bras d’un mannequin italien du nom de Manuel Casella, de 32 ans son cadet. “Peu discrète sur sa vie privée, la chanteuse n’avait jamais caché ses aventures avec des hommes plus jeunes qu’elle. “Ils ont de la bedaine et jouent au golf. A part Dali, je ne suis sortie qu'avec des jeunes”, avait rapporté Plurielles. 

Après une idylle amoureuse et une demande en fiançailles, Amanda Lear a décidé de rompre avec son compagnon en 2008. “J'ai largué mon fiancé italien et je me suis dit : 'Bon je vais rester à Paris, comme ça je ne le verrai plus, puisque lui habite à Milan’”, rapporte Purepeople en 2016.



Marco Piraccini : le toyboy d’Amanda Lear

En 2014, la chanteuse Amanda Lear a été photographiée à de nombreuses reprises au bras un jeune photographe italien du nom de Marco Piraccini. Les deux amants se seraient rencontrés lors d’un vernissage d’une exposition d’Amanda Lear. Après une brève idylle amoureuse le couple s’est séparé. 

Celle qui assume sa réputation de croqueuses d’hommes serait aujourd’hui célibataire. “Je vis dans un petit village, je suis toute seule, je vis seule depuis des années. Ça ne me gêne pas du tout cette histoire de confinement, car j'adore être seule. Je peins toute la journée, je vis avec des chats, je fais un peu de cuisine (...) e m'occupe, c'est fini, y a plus de fiancé, c'est fini tout ça, y a plus rien du tout. Voilà, je suis très heureuse d'être toute seule”, a-t-elle confié ce 27 avril au micro de RTL.

La storia della discomusic: Amanda Lear




“L’età non mi interessa. Ancora adesso i ragazzi mi dicono ‘Quanto sei bella’. E poi l’importante è che sono viva“! Lo  ha detto Amanda Lear in una recente intervista al giornalista Maurizio Costanzo.

Amanda Lear, pseudonimo di Amanda Tapp è nata ad Hong Kong il 18 novembre 1939. O almeno questa è l’informazione che riporta Wikipedia, perchè la cantante, attrice, ex modella, scrittrice, pittrice, doppiatrice e presentatrice televisiva (ha fatto davvero tutto nella sua vita) ha sempre e deliberatamente fornito informazioni contraddittorie sulla sua nascita, sulla sua giovinezza, la scuola e la formazione.

Eclettica, eccentrica e trasgressiva sin dalla sua prima comparsa sulla scena, Amanda Lear inizia la sua carriera come modella e suscita subito molto interesse grazie al suo fisico androgino. Ma per Amanda arriva la svolta quando il suo nome viene legato a quello di un grande artista del Novecento, Salvador Dalì, padre del Surrealismo, folgorato dalla sua stravaganza e per il quale posa per molti anni diventandone la musa ispiratrice. Anche se a lei il termine non piace: “Non mi piace il termine “musa”. E mi piace ancor meno quando mi definiscono “icona”: l’icona sta al cimitero!”.

Attira l’attenzione del pubblico e nel 1973, dopo aver posato sulla copertina dell’album “For Your Pleasure” dei Roxy Music, conosce David Bowie e inizia una storia d’amore con lui. E’ stato proprio Bowie a suggerirle di giocare sull’ambiguità per attirare l’attenzione e di dedicarsi al canto.

Negli anni Settanta e Ottanta la sua celebrità è legata soprattutto alla discomusic e il brano “Tomorrow” è un successo planetario. Grazie alla sua voce bassa e sensuale raggiunge presto l’affermazione in tutta Europa, oltre che in Sud America e Giappone e ha all’attivo 18 album, più di 50 singoli e 30 milioni di singoli venduti nel mondo!

Poliglotta e spigliata, alla carriera musicale ha affiancato anche una fortunata serie di partecipazioni a programmi televisivi  come Strix, Mostra Internazionale Di Musica Leggera, Premiatissima, W Le donne e Cocktail D’Amore.

Altro amore della Lear è la pittura: la sua prima passione. Ha esposto le sue opere, apprezzate dai critici di tutto il mondo a Roma, Rotterdam, Parigi, New York, Berlino, Milano, Ginevra ,Bruxelles e in altre capitali.

Anche della vita sentimentale di Amanda Learsi è detto tutto e il contrario di tutto. L’unico vero e grande amore di Amanda è l’aristocratico francese e produttore musicale Alain-Philippe Malagnac d’Argens de Villèle che ha sposato a Las Vegas nel 1979: da allora non si sono più lasciati e ha dolorosamente dovuto dirgli addio nel 2000, quando è morto nell’incendio della loro casa in Provenza. Da allora solo “ragazzi” molto più più giovani di lei. Ma mai l’amore: “Io penso che nella vita abbiamo un solo grande amore. E per me è stato mio marito”, dice la Lear.

Tra le canzoni che ci hanno fatto ballare, oltre Tomorrow, ci piace ricordare Queen Of Chinatown, Blood and Honey e Enigma.

Amanda Lear si e’ cimentata a cantare anche nella nostra lingua con brani come Ho Fatto L’Amore Con Me e Incredibilmente Donna.

Il modo migliore per congedarci dalla vostra lettura sono proprio le parole di Amanda Lear, che afferma:“Ho una nuova carriera davanti, un’altra incredibile alle spalle, e continua avanti quando tutti si sono già fermati, morti e seppelliti”!

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samedi 21 mars 2020

Amanda Lear senza freni: “ho 80 anni e faccio sesso due ore al giorno”

Amanda Lear durante una intervista al settimanale Oggi, ha fatto rivelazioni davvero piaccanti. "Fare sesso due ore al giorno è il massimo anche a 80 anni"

La showgirl e cantante più camaleontica del nostro tempo, Amanda Lear, ha dichiarato senza freni, come è solita fare, che nonostante i suoi 80 anni, fa due ore di sesso al giorno e che chi ha ancora dubbi sul fatto che lei sia un uomo è un vero idiota.

L’intrigante e misterioso alone che ha da sempre orbitato attorno all’eclettica Amanda Lear potrebbe essere una volta per tutte eliminato. La sardonica showgirl ha rivelato con molta disinvoltura che fare sesso due volte al giorno è fantastico anche ad 80 anni come lei. L’attrice ha poi aggiunto di aver fatto testamento e di aver espresso la sua volontà di lasciare il suo intero patrimonio ai suoi 10 gatti.

Bizzarra scelta quella di Amanda Lear ma nemmeno troppo fuori dagli schemi considerando il personaggio. La showgirl ha poi continuato l’intervista criticando il cinema italiano.



La data di nascita di Amanda Lear non è mai stata in realtà dichiarata, lei stessa ha sempre dato tre età diverse ma pare che finalmente abbia rivelato di aver compiuto 80 anni. L’età per l’istrionica attrice nonchè musa del pittore surrealista Salvador Dalì, non è mai stata un problema, anzi. Ha sempre vissuto e continua a vivere la sua sessualità e la sua vita al massimo.

Ma non è solo il sesso che ha trattato nell’intervista, bensì anche la sua eredità che lascerà in toto ai suoi amati gatti: “I miei gatti mi hanno salvato, sono stati i migliori medici per me”. Dopo l’amore per i suoi felini domestici, Amanda Lear ha spaziato sul cinema italiano muovendo delle critiche “Sfortunatamente gli italiani non hanno una cultura cinematografica meravigliosa come quella dei francesi”.


È stata sicuramente un’intervista interessante e piena di misteri svelati quella rilasciata da Amanda Lear che ha scelto come sempre di raccontarsi senza filtri, come solo lei sa fare.

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Amanda Lear: “ I do two hours of sex a day ”

Amanda Lear: “In 80 years I do two hours of sex a day, who says they are a man is an idiot ”


Amanda Lear has released an interview with the weekly Today. The actress and showgirl was told with the usual spontaneity, ranging from sex to 80 years to the love of his cats, through a critique of the Italian cinema. She said in Italy you girerebbero only antics. Here is what she said.

The love and the sexuality at the age of 80

The birth date of Amanda Lear has always been a mystery. The actress has confirmed three different, ranging from 1939 to 1950. According to the weekly Today that he interviewed, he would have been eighty years of age. Therefore, the exact date should be 1939. For Amanda Lear, age has never been an important detail. Continue to fully enjoy his life and his sexuality: “Now, when I have a young lover, I like to share my life in general, not just the bed. Two hours of sex a day is the maximum“. Then he disproved an urban legend on his account that years circulating with insistence, and that she herself fed: “he Who has seen my photos on the Playboy and continued to say that man is definitely an idiot“.

Will leave the legacy to the cats

Amanda Lear, then, she trusted to have already decided who will leave his heritage. Enjoying his money will be her ten cats. In the testament, in fact, has left everything to an association which will have the task of taking care of them: “my cats I have saved, were the best doctors for me“. However, the actress has not hidden a hey, big spender and, therefore, does not exclude that at the time of his departure, is left with very little of his earnings: “Will be able to sell my home, my pictures”.





The criticism of the Italian cinema

Amanda Lear not certain with hands. Said, in fact, be a turning of the Italian comedies. However, it has not had flattering words for the cinema made in Italy: “Unfortunately the italians do not have a film culture as wonderful as the French. In Italy do not turn a serious film, only antics. But they know that I enjoy them, and then people are very confused, and unsure of what happens and wants to laugh”. Here the interview Today.en.

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samedi 15 février 2020

Amanda Lear a ruota libera


          Amanda Lear a ruota libera: i segreti a letto di Donald Trump e la mazzata a Morgan


Amanda Lear assedia la prima puntata de “L’Assedio”, il programma di Daria Bignardi su Canale Nove ripartito da ottimi ascolti: 366.000 spettatori per l’1,6% di share, +18% rispetto a un anno fa: “Ai tempi di Dalì ero depressa, mi drogavo, ma non quanto Morgan. La sua pittura non mi piaceva. La telefonata tra lui e Picasso? Parlarono di prostata! David Bowie non si struccava mai e mi sporcava le lenzuola. Donald Trump si eccitava con la mia musica. Sono finita nuda in ascensore con Anna Wintour. Ero ricca, ma i ragazzi giovani costano! Ho negato un selfie: la signora era abituata a essere brutta, io no!”



La vita di Amanda Lear è fantasmagorica e ipnotica come un quadro del suo mentore Salvator Dalì. A "L'Assedio", indossa una maglia trasparente con i ricami sul seno nudo e regala allegria fin dall’ingresso in studio: “Questa è una canzone di Baustelle, mi volevano in un loro video, ma ho chiesto troppo e quindi niente! Se ho guadagnato molti soldi? Sì e li ho spesi TUT-TI. Mi dicono ‘non metti soldi da parte per quando sarai vecchia? Ma non sarò mai vecchia!!! Dove li metto? In shopping, pensi che se compri una borsa ti passa la depressione e invece no. Hai solo una borsa in più”. Daria Bignardi, come tutti noi, è affascinata dall’artista e stupita: “Ma come depressa?” e Amanda Lear: “Ah con Dalì ero molto depressa, mi drogavo pure… non come Morgan.. però… Cosa trovavo deprimente? Ero a Londra, giovani, volevamo cambiare il mondo e ci credevo, la depressione era dovuta alla constatazione che non ci riuscivamo”.



Sull’ultima sfilata di Jean Paul Gautier rivela :”Mi voleva a tutti i costi perché avevo le gambe più belle del mondo. Gli dissi che doveva farmi un vestito che copriva la pancia, non ho più l’età per sfilare e lui mi fece una specie di sacco tutto paillettato e mi fece uscire in braccio a due boys, ma la gente pensò ‘uh poverina, non può più camminare! Ma il vestito era talmente corto che si vedevano le mutande! Subito dopo nel backstage, mi spoglio e resto in mutande e tette nude, mi infilo di corsa nell’ascensore per andare in camerino, mi volto e vedo Anna Wintour, la direttrice di Vogue famosa per voler prendere l’ascensore da sola”. La Lear dà vita a uno sketch esilarante per raccontare il momento imbarazzante, si porta le mani sul seno e dice: “Ecco io ero così e in mutande, le chiesi scusa e lei mi disse di non preoccuparmi e che le ero piaciuta. Terribile”. Amanda è un meme vivente: “La musica disco? Mi obbligavano le case discografiche. Tomorrow la odio, era un tormentone, gne-gne, ma ha pagato l’affitto per tanti anni! Sono grata a David Bowie perché mi ha spinto a cantare però non era il mio tipo di uomo. Magrolino, inglese, senza sopracciglia, truccato più di me, di notte non si struccava e mi sporcava tutto il letto”.



Inevitabile parlare di Salvator Dalì: “So che in Spagna stanno facendo un film, sullo schermo c’è una con una parrucca bionda che fa me, ma non sono ancora morta!!! La telefonata tra Dalì e Picasso? Eravamo insieme a Cannes, era febbraio, ci annoiavamo e disse ‘chiamiamo Picasso’, io fui felice perché mi piaceva la pittura di Picasso e non quella di Dalì” e la Bignardi: “Non ti piaceva Dalì?”, “No, no mai! Allora lo chiama, Picasso gli chiede se è con la moglie Gala e lui risponde ‘no, sono con Amanda, questa ragazza mi fa compagnia. Sono ancora sposato con Gala, ma c’è anche Amanda, poi ti spiego. E Picasso comincia ‘ah, uhm, ma ti tira ancora?!’” e io pensai: “Sto ascoltando due geni della pittura e invece di parlare di Andy Warhol, parlavano dei loro problemi di prostata, due vecchietti rincoglioniti…”. Di aneddoto in aneddoto, Daria Bignardi tocca l’argomento Donald Trump e la Lear non delude: “Sì, incontrai l’ex moglie Ivana e mi disse che la mia voce lo eccitava, ascoltava la mia musica mentre faceva sesso. E’ incredibile che possa essere rieletto con tutto quello che ha combinato”.



Amanda Lear preferisce vivere in Francia perché si è affermata come attrice di teatro e nel tempo libero fa i cruciverba, dipinge, raccoglie olive e fa l’olio: “Una vita completamente diversa da quella mondana di anni fa. Sono felicissima. Ho avuto una vita straordinaria, ho girato tutto il mondo, ho venduto 28 milioni di dischi” e la Bignardi: “Sei ricchissima allora”, “Ero! Mi sono innamorata di tanti ragazzi che costano… eeeh se costano… quando sono innamorata sono molto generosa. Io non ho mai cercato i ragazzi, sono loro che vengono da me, c’è il fenomeno della gerontofilia… evidentemente non sono da buttare, mi fa piacere. E’ importante per una donna sentirsi seducente, ma a che serve essere bella dentro, se poi non entra dentro nessuno?”. La Bignardi le chiede l’età: “Si è convenuto che tu ne abbia 80, ma mi sembra impossibile”, “E’ impossibile infatti. Io vedo il mio corpo, i giornalisti possono scrivere quello che vogliono, ca**i loro, non mi interessa. Il mio genere sessuale? Quarant’anni fa faceva notizia, oggi no. E’ trasgressivo chi si sposa in chiesa” dice semiseria la Lear. Chiusura boom: “In Italia tutti cercano di diventare personaggio, io invece ho una vita molto tranquilla, vado al supermercato, faccio la spesa, l’altro giorno una signora si avvicina e mi chiede un selfie, io le dico no perché non ero truccata ed ero brutta e lei mi fa ‘fa niente, anch’io sono brutta’ e io ‘va beh.. tu sei abituata! Mi salva l’ironia: mai prendersi sul serio”. “Sei proprio Amanda da amare” chiude estasiata Daria Bignardi.

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Le dîner idéal d'Amanda Lear

Point de Vue vous invite à la table d'une personnalité.
Cette semaine, la muse et artiste éclectique Amanda Lear, nous livre les secrets de son dîner parfait !


                         Quel est le nombre d'invités idéal ?

Pas plus de cinq invités et surtout pas de couples, trop ennuyeux!

                           Le style: plutôt informel ou chic ?

Totalement informel! Comme je ne cuisine pas beaucoup, j'aime l'idée de réunir quelques amis dans un bistrot sympa ou même un chinois.

                            De la musique en fond sonore ?

Surtout pas, cela risquerait de couvrir les voix.

Amanda Lear et Salvador Dalí chez Maxim's, lieu emblématique de l'Art nouveau et rendez-vous incontournable de nombreuses célébrités internationales. © Collection particulière Amanda Lear

Un exemple de menu ?

Pour commencer, je ne me lasse jamais d'une entrée fraîcheur à base de salade, saumon et crudités. En plat de résistance, j'aime tout ce qui est copieux et généreux, si possible traditionnel. Pas de fromage, mais un dessert délicieux et gourmand. Des vins variés à volonté, du champagne pour fêter un anniversaire, et un limoncello pour la digestion. À ces préoccupations, vient s'ajouter ma vie d'oléicultrice...! J'ai en effet une trentaine d'oliviers chez moi, dans la vallée des Baux de Provence, dont je récolte les olives début novembre, avant de les porter au Moulin de Maussane où je croisais souvent mon voisin Charles Aznavour. La coopérative me donne ensuite quelques bouteilles d'huile d'olive pour ma consommation personnelle... un vrai plaisir!

Muse, top model, chanteuse et comédienne… Amanda Lear a rencontré tout ce que le XXe et XXIe siècle naissant auront compté d'artistes charismatiques et influents. La voici à New York avec Andy Warhol au restaurant Le Cirque. © Collection particulière Amanda Lear​

Éclairage électrique ou à la bougie ?

Des bougies toujours, ou bien des petites lampes Maxim's à abat-jours rosés. Jamais d'éclairage plafond, c'est horrible! Les lumières doivent être tamisées et flatteuses pour les dames...

Un thème ou une couleur pour la décoration de table ?

Des fleurs au centre de la table, si possible aux couleurs joyeuses et aucune œuvre d'art. Selon moi, on doit pourvoir se concentrer à l'essentiel: le dîner et la conversation.

Une idée pour un cadeau d’assiette ?

Sous chaque serviette un CD comme petit cadeau, un des miens ou d'une autre artiste, mais plutôt un des miens... ;)

Déjeuner à Cadaqués avec Kirk Douglas à l'été 1971. © Collection particulière Amanda Lear

Le dîner le plus mémorable auquel vous ayez assisté ?

Salvador Dalí m'emmenait souvent à des dîners mondains étonnants, parfois trop ennuyeux à mon goût. J'ai assisté à beaucoup de dîners mémorables avec Alexis de Rédé, Marie-Laure de Noailles, Louise Vilmorin et André Malraux... Il me revient une soirée particulièrement fascinante donnée par les Rothschild à Ferrieres: le Bal Surréaliste. Il y avait des vedettes, des stars, des têtes couronnées, c'était absolument exceptionnel et extravagant. Je me souviens aussi d'un soir avec Rainier III et la princesse Grace à Nice. Dalí embarquait le lendemain pour New York, et il y avait eu cette rencontre décontractée, totalement privée de protocole dans un salon du Negresco. Rainier riait énormément aux élucubrations de Dalí, tandis que nous conversions avec Grace, une occasion pour elle de se confier sur le Hollywood qu'elle avait connu. Connaissant le goût du prince pour les animaux, les fauves en particulier, Dalí avait emmené ses deux ocelots, Babou et Bouba pour les lui montrer. Une soirée merveilleuse, rien que le prince Rainier, Grace, Dalí et moi...

Les sujets de conversation à éviter ?

Bien sûr, il faut éviter la religion. On évite d'ailleurs tous sujets qui risqueraient de gâcher l'esprit convivial du dîner.

Le pire voisin de table que vous n’ayez jamais eu ?

Une fois, Dalí m'a emmenée dîner chez Coco Chanel. Elle n'a pas arrêté de parler à toute vitesse, si bien qu'on ne pouvait pas placer un mot. À cela, elle n'a cessé de tout critiquer, la mode, la mini-jupe... c'était très désagréable.

Avec qui rêveriez-vous de dîner ?

J'aimerai dîner avec un invité cultivé, fascinant, qui sache me raconter de savoureuses anecdotes. Ou alors partager un bon repas avec un grand artiste comme Léonard de Vinci, Mozart, Orson Welles ou Hitchcock...

Amanda avec Yul Brynner au Train Bleu. Dalí adorait le décor baroque de ce restaurant emblématique de la gare de Lyon et y donnait souvent des dîners. © Collection particulière Amanda Lear


La règle numéro un d'un bon hôte ?

C'est un savant mélange. Pour moi, un bon hôte doit savoir mettre ses invités à l'aise, avoir l'art et la manière d'effacer le côté guindé lorsque les invités ne se connaissent pas. Il ne doit pas manquer de surveiller les conversations afin qu'aucune des discussions ne dérive vers des sujets trop délicats ou embarrassants... Enfin, avoir l'intelligence de mettre en valeur chacun de ses invités, leur donner de l'importance en vantant leurs qualités ou leur travail. Et relancer la conversation dès qu'un "ange passe", un silence bien souvent gênant...


mercredi 29 janvier 2020

Anniversaire Jean-Paul Gaultier pour le Magazine Italien "" CHI "" Amanda Lear


“MI SONO RITROVATA NUDA IN ASCENSORE CON ANNA WINTOUR” - AMANDA LEAR RACCONTA A “CHI” LA PAZZA SFILATA EVENTO PER L’ADDIO DI GAULTIER: “NON VOLEVO SFILARE, MA JEAN-PAUL HA INSISTITO DICENDO CHE LE MIE GAMBE SONO ANCORA LE PIÙ BELLE AL MONDO. MI AVEVA PROMESSO CHE AVREMMO MOSTRATO SOLO QUELLE, E INVECE…” - “IL MIO SEGRETO? MI SIEDO VICINO A DONNE PIÙ BRUTTE, NON BEVO E NON FUMO. A COSA SERVE ESSERE BELLE DENTRO, SE POI NON CI ENTRA NESSUNO?”

Alessio Poeta per “Chi”

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Non chiamatela mito, diva, icona o leggenda. E non chiedetele selfie: li detesta. Che, poi, la settimana scorsa Amanda Lear abbia avuto tutti gli occhi, i flash e i riflettori addosso, per essere stata la top fra le top model della sfilata evento Jean Paul Gaultier Haute Couture PE 2020, beh, questa è un’altra storia. «Non volevo accettare, poi Jean Paul ha insistito, visto che era il gran finale dei suoi 50 anni di carriera. Ed è successo di tutto. Le dico solo che mi sono ritrovata nuda, in ascensore, con Anna Wintour».



Alessio Poeta. Con la signora più temuta d’America?

Amanda Lear. «Esattamente. A fine sfilata, nel backstage, mi hanno completamente spogliata e, mentre si stavano per chiudere le porte dell’ascensore che mi avrebbe portata al piano del mio camerino, ecco entrare la direttrice di Vogue America. Notoriamente iena, con me è stata carinissima. Sembrava divertita nel vedermi come mamma mi ha fatta. Io, dalla mia, nascondevo quello che potevo: ma non sa che imbarazzo!».

Alessio Poeta. Succedono tutte a lei!

Amanda Lear. «Incredibile. E pensare che non volevo nemmeno sfilare».



Alessio Poeta. Come ha fatto a convincerla, Gaultier?

Amanda Lear. «Ha insistito dicendomi che le mie gambe sono, ancora oggi, le più belle al mondo. Mi aveva promesso che avremmo mostrato solo quelle…».


Alessio Poeta. Invece è rimasta in intimo.

Amanda Lear. «Qualcuno ha pensato fosse la solita provocazione, invece è stato
un incidente da passerella. Ho alzato le braccia e il top, decisamente troppo corto, ha smesso di fare il suo dovere…».


Alessio Poeta. Le sue foto stanno facendo il giro del mondo.

Amanda Lear. «Leggo commenti estasiati, manco fosse la prima volta che mi mostro! Forse, visto che ero arrivata con due modelli, pensavano che non fossi più in grado di camminare?» (ride, ndr).


Alessio Poeta. Qual è il suo segreto di bellezza, Amanda ?

Amanda Lear. «Oltre a sedermi sempre vicino a donne più brutte, non bevo, non fumo e mangio poco. Del resto, a cosa serve essere belle dentro, se poi non ci entra nessuno?».


 Alessio Poeta. Amanda !

Amanda Lear. «Vede: è proprio l’umorismo ad accomunarmi a Gaultier».


Alessio Poeta. Solo quello?

Amanda Lear. «No, anche la libertà e il coraggio di osare. Negli anni il couturier francese ha rivoluzionato il costume portando sulle passerelle donne bianche, nere, grasse, transessuali».


Alessio Poeta. Lei è la sua musa per eccellenza…

Amanda Lear. «Lui, come tutti quelli nati sotto il segno del Toro, è un fedele per natura. Con Madonna ha gettato la spugna, con me no».

Alessio Poeta. Ha visto che Madonna sta annullando molti dei suoi concerti?

Amanda Lear. «Mi dispiace vederla ridotta così. Dovrebbe smetterla di inseguire la perfezione e di emulare – con scarsi risultati – il lato B di Kim Kardashian».


Alessio Poeta. Lei, invece, perché ha smesso di fare concerti?

Amanda Lear. «Perché non mi divertivo più. Ora usciranno due film (Metti una notte e Si muore solo da vivi, ndr) e spero che con queste pellicole il pubblico italiano possa finalmente archiviare il mio passato».

Alessio Poeta. Lo rinnega ?

Amanda Lear. «No, ma trovo assurdo che si parli ancora di Tomorrow. È vero: ho venduto 28 milioni di dischi, ma ho fatto anche tanto altro. La mia fortuna è che lavoro molto all’estero, altrimenti mi ritroverei costretta a fare l’opinionista o ad alzare la paletta in chissà quale talent show».


Alessio Poeta. Perché dice forse?

Amanda Lear. «Perché non c’è mai una lira! Mi chiamano, io chiedo una cifra, e la Rai mi parla di precedenti. Anche la carne costava meno vent’anni fa. Il mercato cambia».




Alessio Poeta. Che valore hanno i soldi per lei?

Amanda Lear. «I soldi sono importantissimi e io amo spenderli viaggiando. Le mie amiche mi dicono sempre: “Mettiti i soldi da parte per quando sarai vecchia”. Poverine, non sanno che io non invecchierò mai».


Alessio Poeta. È vero che Amadeus l’ha cercata per il 70° Festival di Sanremo?

Amanda Lear. «Sono anni che mi cercano per Sanremo, ma ogni volta succede qualcosa. Forse andrò dalla mia amica Mara Venier a commentare la kermesse nella sua Domenica In».

Alessio Poeta. Sul web le danno 80 anni.

Amanda Lear. «Scrivessero pure quel che vogliono, tanto lo spirito e il corpo parlano da soli».

Alessio Poeta. Le scoccia parlarne?

Amanda Lear. «No, è che detesto il ticchettio dell’orologio; e non per le rughe, come alcuni erroneamente credono, ma per gli amici, gli affetti e i ricordi che con loro se ne vanno. Anche nella mia vita ci sono stati momenti difficili. Uno, tra tutti, l’incendio che mi portò via tutto, marito incluso».



Alessio Poeta. Le manca?

Amanda Lear. «Moltissimo».

Alessio Poeta. Oggi il suo cuore batte per qualcuno?

Amanda Lear. «Per i miei gatti, ma non le nascondo che sono molto corteggiata».


Alessio Poeta. Più dai giovani o dai suoi coetanei?

Amanda Lear. «Dai giovani. E le dirò: è confortante. I ragazzi mi dicono che le ventenni, culo a parte, non hanno nulla e che non esiste solo il sesso. Dio benedica la gerontofilia».



Alessio Poeta. Eppure lei viene spesso accostata al mondo del sesso.

Amanda Lear. «Perché sono stata il sogno proibito di molti italiani. Alta, straniera, totalmente diversa dalla donna mediterranea. E poi il mistero, la voce e le varie leggende hanno fatto il resto. Pensi che Rocco Siffredi mi ha confidato che da adolescente si eccitava a guardarmi in tv».


Alessio Poeta. Anche Donald Trump amava fare l’amore con la sua musica in sottofondo…

Amanda Lear. «Sì, me lo disse l’ex moglie Ivana».

Alessio Poeta. Lei l’ha mai conosciuto?

Amanda Lear. «Mai incontrato. Del resto, non sono mai stata attratta dai biondi ossigenati».

Alessio Poeta. Ho come l’impressione che il potere le abbia sempre fatto schifo. Sbaglio?

Amanda Lear. «Al potere ho sempre preferito i morti di fame. Una sola volta fui invitata dall’allora Presidente della Repubblica francese, François Mitterrand. Ero agitatissima, ma andò tutto bene».

Amanda Lear. «Avrei chiuso gli occhi e pensato alla Repubblica» (ride, ndr).



TRADUCTION ITALIEN / FRANÇAIS .....


"JE ME TROUVE NUE DANS L'ASCENSEUR AVEC ANNA WINTOUR" - AMANDA LEAR DIT À "QUI" L'événement de la folle parade pour l'adieu de GAULTIER: BELLE DANS LE MONDE. AVAIT PROMIS QUE NOUS NE MONTRERONS QUE CEUX-CI, ET AU LIEU ... "-" MON SECRET? Je m'assois à côté de femmes plus laides, je ne bois pas et je ne fume pas. QUELLE EST L'UTILISATION EST BELLE À L'INTÉRIEUR, SI PERSONNE N'ENTRE? "

Alessio Poeta pour "Chi Magazine Italien "

Ne l'appelez pas un mythe, une diva, une icône ou une légende. Et ne demandez pas de selfies: il les déteste. Que, la semaine dernière, Amanda Lear avait tous les yeux, les flashs et les projecteurs sur elle, pour être le top modèle du défilé Jean Paul Gaultier Haute Couture SS 2020, eh bien, c'est une autre histoire. «Je n'ai pas voulu accepter, a alors insisté Jean-Paul, car c'était la grande finale de ses 50 ans de carrière. Et tout s'est passé. Je te dis juste que je me suis retrouvé nu dans l'ascenseur avec Anna Wintour ».

Alessio Poeta. Avec la dame la plus redoutée d'Amérique?

Amanda Lear. « Exactement. À la fin du défilé de mode, dans les coulisses, ils m'ont complètement déshabillée et, alors qu'ils s'apprêtaient à fermer les portes de l'ascenseur qui me conduiraient au sol de mon dressing, le directeur de Vogue America est entré. Notamment hyène, elle était très gentille avec moi. Elle semblait amusée de me voir pendant que maman me faisait. Moi, j'ai caché ce que j'ai pu: mais tu ne sais pas quelle gêne! ».




Alessio Poeta. Ils lui arrivent tous!

Amanda Lear. « Incroyable. Et dire que je ne voulais même pas défiler ».

Alessio Poeta. Comment l'avez-vous convaincue, Gaultier?

Amanda Lear. «Il a insisté pour que mes jambes soient, encore aujourd'hui, les plus belles du monde. Il m'a promis que nous ne montrerions que ces ... »

Alessio Poeta. Au lieu de cela, il est resté intime.

Amanda Lear. «Quelqu'un a pensé que c'était la provocation habituelle, un accident de passerelle. J'ai levé les bras et le haut, définitivement trop court, a cessé de faire son devoir ... ».

Alessio Poeta. Ses photos font le tour du monde.

Amanda Lear. «J'ai lu des commentaires extatiques, pas même la première fois que je me suis montré! Peut-être, étant donné que j'étais arrivée avec deux modèles, pensaient-ils que je ne pouvais plus marcher? »(Rires, ndlr).



Alessio Poeta. Quel est votre secret de beauté, Amanda?

Amanda Lear. «En plus d'être toujours assise à côté de femmes plus laides, je ne bois pas, je ne fume pas et je ne mange pas beaucoup. D'ailleurs, à quoi sert d'être beau à l'intérieur, si personne n'y pénètre? ».

 Alessio Poeta. Amanda!

Amanda Lear. "Vous voyez: c'est l'humour qui me relie à Gaultier."

Alessio Poeta. Juste ça?

Amanda Lear. «Non, aussi la liberté et le courage d'oser. Au fil des années, le couturier français a révolutionné le costume en amenant des femmes blanches, noires, grasses et transsexuelles sur les podiums ».

Alessio Poeta. Elle est sa muse par excellence ...

Amanda Lear. «Lui, comme tous ceux qui sont nés sous le signe du Taureau, est un fidèle par nature. Avec Madonna, il a jeté l'éponge, pas avec moi ».

Alessio Poeta. Avez-vous vu que Madonna annule plusieurs de ses concerts?

Amanda Lear. «Je suis désolé de te voir réduit comme ça. Il devrait cesser de rechercher la perfection et imiter - avec peu de succès - la face B de Kim Kardashian ».

Alessio Poeta. Pourquoi avez-vous arrêté de faire des concerts à la place?

Amanda Lear. "Parce que je ne m'amusais plus. Désormais deux films vont sortir (Metti una notte et Si muore solo da vivi, ndlr) et j'espère qu'avec ces films le public italien pourra enfin archiver mon passé ».

Alessio Poeta. Le niez-vous?

Amanda Lear. «Non, mais je trouve absurde que nous parlions encore de demain. C'est vrai: j'ai vendu 28 millions de disques, mais j'en ai aussi fait beaucoup plus. Ma chance est que je travaille beaucoup à l'étranger, sinon je me retrouverais obligé d'être chroniqueur ou de faire monter la tête en qui sait quel spectacle de talent ".

Alessio Poeta. Pourquoi dites-vous peut-être?

Amanda Lear. "Parce qu'il n'y a jamais de lire! Ils m'appellent, je demande une somme et Rai me parle de précédents. La viande était aussi moins chère il y a vingt ans. Le marché change ».

Alessio Poeta. Quelle valeur l'argent a-t-il pour vous?

Amanda Lear. «L'argent est très important et j'aime le dépenser en voyage. Mes amies me disent toujours: "Mettez de l'argent de côté quand vous serez vieux." Pauvres choses, ils ne savent pas que je ne vieillirai jamais. "

Alessio Poeta. Est-il vrai qu'Amadeus vous a cherché pour le 70e Festival de Sanremo?

Amanda Lear. «Ils me cherchent pour Sanremo depuis des années, mais quelque chose se produit à chaque fois. Je vais peut-être aller voir mon amie Mara Venier pour commenter l'événement sur son Domenica In ".

Alessio Poeta. Ils vous donnent 80 ans sur le web.

Amanda Lear. «Ils pouvaient écrire ce qu'ils voulaient, tellement l'esprit.

Alessio Poeta. Cela vous dérange-t-il d'en parler?

Amanda Lear. "Non, c'est que je déteste le tic-tac de l'horloge; et non pas pour les rides, comme certains le croient à tort, mais pour les amis, les affections et les souvenirs qui s'en vont. Même dans ma vie, il y a eu des moments difficiles. Un de tous, le feu qui m'a tout emporté, mari compris ".

Alessio Poeta. Ça vous manque?

Amanda Lear. « Très bien. »

Alessio Poeta. Votre cœur bat-il pour quelqu'un aujourd'hui?

Amanda Lear. "Pour mes chats, mais je ne les cache pas car je suis très courtisé."

Alessio Poeta. Plus de jeunes ou de leurs pairs?

Amanda Lear. «Des jeunes. Et je vais vous dire: c'est réconfortant. Les garçons me disent que la vingtaine, cul à part, n'a rien et qu'il n'y a pas que du sexe. Que Dieu bénisse la gérontophilie ».

Alessio Poeta. Pourtant, elle est souvent approchée du monde du sexe.

Amanda Lear. «Parce que j'étais le rêve interdit de nombreux Italiens. Grande, étrangère, totalement différente de la femme méditerranéenne. Et puis le mystère, la voix et les différentes légendes ont fait le reste. Pensez-vous que Rocco Siffredi m'a confié qu'à l'adolescence, il était excité de me regarder à la télévision ».

Alessio Poeta. Donald Trump aimait aussi faire l'amour avec sa musique en arrière-plan ...

Amanda Lear. "Oui, l'ex-femme Ivana m'a dit."

Alessio Poeta. L'avez-vous déjà connu?

Amanda Lear. «Jamais rencontré. D'ailleurs, je n'ai jamais été attiré par les blondes oxygénées ».

Alessio Poeta. J'ai l'impression que le pouvoir a toujours aspiré. Ai-je tort?

Amanda Lear. "J'ai toujours préféré mourir de faim au pouvoir. Une fois, j'ai été invité par le président de la République française, François Mitterrand. J'étais très agité, mais tout s'est bien passé ».
Amanda Lear. "J'aurais fermé les yeux et pensé à la République" (rires, ndlr).