Invitée de l'émission de Marc-Olivier Fogiel, Le Divan, l'icône Amanda Lear est revenue avec sa gouaille légendaire sur les rumeurs qui voulaient qu'elle soient en réalité un homme.
L'icône n'a rien perdu de son franc-parler. Amanda Lear a été invitée sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel et est revenue sur les rumeurs qui courent sur elle depuis 40 ans et qui voudraient qu'elle soit en réalité un homme : « C'est formidable ! 40 ans qu'on parle de moi, on devrait m'avoir enterrée depuis longtemps. » Quand le journaliste lui demande si elle pense valoir à cette curiosité mal placée sa longévité, elle réplique : « Ce n'est pas que grâce à ça parce que j'ai quand même un certain talent mais ça contribue beaucoup. »
Elle raconte également à quel point, avec la rumeur régulièrement relancée, ce sujet a pu être obsessionnel chez le public : « Ce qui pouvait choquer il y a 30 ou 40 ans, aujourd'hui ne choque plus du tout. À l'époque ça a fait beaucoup jaser et j'ai même dû poser à poil. Toute nue dans Playboy, Penthouse, tous ces magazines. Il y a eu des savants italiens, quand ils ont vu mes photos à poil dans Playboy, ils sont agrandi sur un écran mes poils du cul pour regarder si l'implantation allait en avant, en arrière, j'ai rien compris. C'est pour vous dire à quel point les gens faisaient une fixette là dessus. »
Toujours aussi sexy et magnétique, Amanda Lear aspire aujourd'hui à un peu plus de tranquillité, loin de la tumultueuse vie d'artiste qu'elle a pu mener dans sa jeunesse.
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Amanda Lear a décidé de léguer ses biens… à ses chats...
PAR MARC FOURNY
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L'ex-égérie de Dali et sociétaire des « Grosses Têtes » refuse de voir ses biens revenir à l'État et a pris ses dispositions dans son testament.
On pourrait croire à une nouvelle lubie, mais Amanda Lear est formelle : elle a décidé de léguer sa fortune à ses animaux domestiques. « Je n'ai pas de famille, j'ai des chats, a-t-elle expliqué ce week-end sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel. Et je leur laisserai tout ! C'est sur le testament. Ce seront les chats les plus heureux du monde… » L'idée lui en est venue tout récemment, quand elle a décidé d'écrire ses dernières volontés. « J'ai fait mon testament l'an dernier, je ne l'avais jamais fait. Et Je me suis rendu compte que, si je meurs demain, je laisse tout à l'État. Attendez ! Il a fait quoi, l'État, pour moi ? Il n'y a pas de raison, donc je ne lui laisse rien ! Non… Je vais donner à des œuvres, des choses comme ça… »
L'ex-égérie de Dali et de l'underground londonien des années 1970 – elle a notamment fréquenté David Bowie – coule aujourd'hui une retraite paisible à Saint-Rémy-de-Provence, au milieu de ses oliviers et d'une dizaine de chats. Très croyante, l'artiste, que l'on dit âgée de plus de 70 ans, dit prier régulièrement sainte Rita et porte sur elle un chapelet béni par le pape. Elle peint toujours, mais loin des lumières du showbiz, qu'elle a décidé de quitter l'an dernier, après un gros coup de fatigue qu'elle attribue à un burn-out – ce qui ne l'empêche pas de sortir un nouveau livre de souvenirs, Délires (éditions Le Cherche Midi). Amanda Lear se dit aujourd'hui sans famille : Sa mère est décédée et son compagnon, Alain-Philippe Malagnac, est mort en 2000, dans l'incendie de leur maison. « De toute façon je ne suis pas très famille, explique-t-elle à Marc-Olivier Fogiel, sur France 3. Maintenant, je n'ai plus de parents, je n'ai plus personne. Peut-être que ça me manque, c'est vrai, quand arrivent les Noël. On aimerait avoir des gamins, des enfants, des cousins, tout ça… je n'ai pas ! J'ai mes chats. Ça me manque un petit peu. »
Dans le sillage de Brigitte Bardot et Karl Lagerfeld
Ce seront donc ses derniers compagnons qui profiteront de ses biens après son trépas. Si ces dispositions sont très faciles dans des pays comme les États-Unis – les maisons de retraite pour animaux se multiplient –, il convient d'être très rigoureux vis-à-vis du droit français pour ne pas déshériter des ayants droit possibles. Le mieux est encore de désigner une association qui peut s'occuper des chiens ou chats ou un nouveau propriétaire responsable de l'animal, à condition qu'il en prenne soin contre une partie de l'héritage.
Amanda Lear n'est en tout cas pas la première célébrité à se préoccuper de l'avenir de ses bêtes à poils. Brigitte Bardot a décidé de léguer sa villa tropézienne La Madrague à sa fondation, qui en fera un musée au profit des animaux. Quant à Karl Lagerfeld, il a déjà couché sa chatte Choupette, perle de ses yeux, sur son testament et a même prévu de mélanger ses cendres aux siennes, si elle meurt avant lui…
Amanda Lear : "brouiller les pistes, la base pour se rendre intéressant"
"Le mystère entretient l'intérêt. Brouiller les pistes, c'est la base pour se rendre intéressant", assume Amanda Lear dans un entretien à l'AFP, à l'occasion de la sortie d'un recueil de piques et répliques, truffé de souvenirs et d'anecdotes.
Malgré des "adieux définitifs" annoncés il y a deux ans, la truculente égérie de Salvador Dali devenue chanteuse et comédienne, est de retour à la veille de son 68e anniversaire selon la date de naissance qu'elle revendique, tordant le cou à une première rumeur tenace qui l'accuse de tricher d'une bonne dizaine d'années.
"Quand je serai morte, on me datera au Carbone 14 pour connaître enfin mon âge!", balaie-t-elle avec malice dans "Délires", florilège de ses bons mots qui vient de paraître aux éditions du Cherche-Midi.
"Ce livre est sans prétention! Depuis des années à la TV et à la radio, je dis des bêtises. Mon éditeur m'a proposé de les compiler avec des anecdotes sur ma vie", confie Amanda Lear.
Morceaux choisis : "je suis un portemanteau. Les gens accrochent sur moi tous leurs fantasmes", "Je croise à la pharmacie ceux que je croisais en discothèque il y a quelques années", "Je n'ai jamais couché pour arriver. Je suis arrivée pour coucher"...
"On vit une époque qui connaît un drame par jour... Moi, je suis une rigolote et j'aime dédramatiser. J'ai été à bonne école avec Dali, Jacques Chazot ou Thierry Le Luron", dit-elle.
Son équilibre de vie ? "Prendre les choses à la légère, avoir une pensée positive... C'est dans mes gênes. Ma fonction est de distraire les gens, ce qui ne m'empêche pas d'avoir des problèmes, comme tout le monde".
- Coup marketing -
"Longtemps, je n'avais pas suffisamment confiance en moi à force de fréquenter des gens comme Dali ou David Bowie. J'ai pris de l'assurance avec l'âge, tout en acceptant qu'on se moque de moi. C'est la règle!", assure celle qui a rejoint il y a quelques années "Les Grosses Têtes" de RTL.
Au passage, Amanda Lear revient dans son livre sur sa rencontre avec Dali, et condamne la récente exhumation de l'artiste surréaliste dans le cadre d'une recherche de paternité en Espagne.
"Dali n'aurait pas pu avoir d'enfant. Je suis bien placée pour le savoir. J'ai été sa maîtresse pendant près de vingt ans. Jamais de sa vie, il n'a pénétré une femme!". La muse s'empresse d'affirmer que le marquis de Pubol était impuissant...
Amanda Lear raconte aussi qu'Ivana Trump dont elle est l'amie, lui a confié que Donald Trump lui passait sa chanson "Follow Me" chaque fois qu'il s'apprêtait à lui faire l'amour.
A propos de l'autre rumeur récurrente qui fait d'Amanda Lear une transsexuelle, l'intéressée réaffirme qu'il s'agissait simplement d'un coup marketing soufflé par Dali.
"J'ai eu beau poser nue dans Playboy, scrutée à la loupe par des experts, la rumeur a perduré. Elle me survivra!", pronostique-t-elle.
"Depuis dix ans, j'ai enchaîné les pièces de théâtre. J'ai décidé désormais de prendre mon temps, à la campagne, entourée de mes chats", souligne Amanda Lear.
L'an prochain, à Rome, elle prêtera toutefois sa voix à la plante carnivore dans une reprise sur scène de "La Petite boutique des horreurs".
Amanda Lear assure qu'elle a fait une croix sur sa vie sexuelle et sentimentale : "le prochain mec qui me verra à poil, c'est le médecin légiste!".
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L'icône n'a rien perdu de son franc-parler. Amanda Lear a été invitée sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel et est revenue sur les rumeurs qui courent sur elle depuis 40 ans et qui voudraient qu'elle soit en réalité un homme : « C'est formidable ! 40 ans qu'on parle de moi, on devrait m'avoir enterrée depuis longtemps. » Quand le journaliste lui demande si elle pense valoir à cette curiosité mal placée sa longévité, elle réplique : « Ce n'est pas que grâce à ça parce que j'ai quand même un certain talent mais ça contribue beaucoup. »
Elle raconte également à quel point, avec la rumeur régulièrement relancée, ce sujet a pu être obsessionnel chez le public : « Ce qui pouvait choquer il y a 30 ou 40 ans, aujourd'hui ne choque plus du tout. À l'époque ça a fait beaucoup jaser et j'ai même dû poser à poil. Toute nue dans Playboy, Penthouse, tous ces magazines. Il y a eu des savants italiens, quand ils ont vu mes photos à poil dans Playboy, ils sont agrandi sur un écran mes poils du cul pour regarder si l'implantation allait en avant, en arrière, j'ai rien compris. C'est pour vous dire à quel point les gens faisaient une fixette là dessus. »
Toujours aussi sexy et magnétique, Amanda Lear aspire aujourd'hui à un peu plus de tranquillité, loin de la tumultueuse vie d'artiste qu'elle a pu mener dans sa jeunesse.
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Amanda Lear a décidé de léguer ses biens… à ses chats...
PAR MARC FOURNY
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L'ex-égérie de Dali et sociétaire des « Grosses Têtes » refuse de voir ses biens revenir à l'État et a pris ses dispositions dans son testament.
On pourrait croire à une nouvelle lubie, mais Amanda Lear est formelle : elle a décidé de léguer sa fortune à ses animaux domestiques. « Je n'ai pas de famille, j'ai des chats, a-t-elle expliqué ce week-end sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel. Et je leur laisserai tout ! C'est sur le testament. Ce seront les chats les plus heureux du monde… » L'idée lui en est venue tout récemment, quand elle a décidé d'écrire ses dernières volontés. « J'ai fait mon testament l'an dernier, je ne l'avais jamais fait. Et Je me suis rendu compte que, si je meurs demain, je laisse tout à l'État. Attendez ! Il a fait quoi, l'État, pour moi ? Il n'y a pas de raison, donc je ne lui laisse rien ! Non… Je vais donner à des œuvres, des choses comme ça… »
L'ex-égérie de Dali et de l'underground londonien des années 1970 – elle a notamment fréquenté David Bowie – coule aujourd'hui une retraite paisible à Saint-Rémy-de-Provence, au milieu de ses oliviers et d'une dizaine de chats. Très croyante, l'artiste, que l'on dit âgée de plus de 70 ans, dit prier régulièrement sainte Rita et porte sur elle un chapelet béni par le pape. Elle peint toujours, mais loin des lumières du showbiz, qu'elle a décidé de quitter l'an dernier, après un gros coup de fatigue qu'elle attribue à un burn-out – ce qui ne l'empêche pas de sortir un nouveau livre de souvenirs, Délires (éditions Le Cherche Midi). Amanda Lear se dit aujourd'hui sans famille : Sa mère est décédée et son compagnon, Alain-Philippe Malagnac, est mort en 2000, dans l'incendie de leur maison. « De toute façon je ne suis pas très famille, explique-t-elle à Marc-Olivier Fogiel, sur France 3. Maintenant, je n'ai plus de parents, je n'ai plus personne. Peut-être que ça me manque, c'est vrai, quand arrivent les Noël. On aimerait avoir des gamins, des enfants, des cousins, tout ça… je n'ai pas ! J'ai mes chats. Ça me manque un petit peu. »
Salvador Dalí with his muse Amanda Lear, and his friend Nanita Kalashnikov.10.1975
Dans le sillage de Brigitte Bardot et Karl Lagerfeld
Ce seront donc ses derniers compagnons qui profiteront de ses biens après son trépas. Si ces dispositions sont très faciles dans des pays comme les États-Unis – les maisons de retraite pour animaux se multiplient –, il convient d'être très rigoureux vis-à-vis du droit français pour ne pas déshériter des ayants droit possibles. Le mieux est encore de désigner une association qui peut s'occuper des chiens ou chats ou un nouveau propriétaire responsable de l'animal, à condition qu'il en prenne soin contre une partie de l'héritage.
Amanda Lear n'est en tout cas pas la première célébrité à se préoccuper de l'avenir de ses bêtes à poils. Brigitte Bardot a décidé de léguer sa villa tropézienne La Madrague à sa fondation, qui en fera un musée au profit des animaux. Quant à Karl Lagerfeld, il a déjà couché sa chatte Choupette, perle de ses yeux, sur son testament et a même prévu de mélanger ses cendres aux siennes, si elle meurt avant lui…
25.06.1976
Amanda Lear : "brouiller les pistes, la base pour se rendre intéressant"
"Le mystère entretient l'intérêt. Brouiller les pistes, c'est la base pour se rendre intéressant", assume Amanda Lear dans un entretien à l'AFP, à l'occasion de la sortie d'un recueil de piques et répliques, truffé de souvenirs et d'anecdotes.
Malgré des "adieux définitifs" annoncés il y a deux ans, la truculente égérie de Salvador Dali devenue chanteuse et comédienne, est de retour à la veille de son 68e anniversaire selon la date de naissance qu'elle revendique, tordant le cou à une première rumeur tenace qui l'accuse de tricher d'une bonne dizaine d'années.
"Quand je serai morte, on me datera au Carbone 14 pour connaître enfin mon âge!", balaie-t-elle avec malice dans "Délires", florilège de ses bons mots qui vient de paraître aux éditions du Cherche-Midi.
"Ce livre est sans prétention! Depuis des années à la TV et à la radio, je dis des bêtises. Mon éditeur m'a proposé de les compiler avec des anecdotes sur ma vie", confie Amanda Lear.
Morceaux choisis : "je suis un portemanteau. Les gens accrochent sur moi tous leurs fantasmes", "Je croise à la pharmacie ceux que je croisais en discothèque il y a quelques années", "Je n'ai jamais couché pour arriver. Je suis arrivée pour coucher"...
"On vit une époque qui connaît un drame par jour... Moi, je suis une rigolote et j'aime dédramatiser. J'ai été à bonne école avec Dali, Jacques Chazot ou Thierry Le Luron", dit-elle.
Son équilibre de vie ? "Prendre les choses à la légère, avoir une pensée positive... C'est dans mes gênes. Ma fonction est de distraire les gens, ce qui ne m'empêche pas d'avoir des problèmes, comme tout le monde".
Amanda Lear vient de sortir "Délires", un recueil de piques et répliques, truffé de souvenirs et d'anecdotes. - © MIGUEL MEDINA / AFP...
- Coup marketing -
"Longtemps, je n'avais pas suffisamment confiance en moi à force de fréquenter des gens comme Dali ou David Bowie. J'ai pris de l'assurance avec l'âge, tout en acceptant qu'on se moque de moi. C'est la règle!", assure celle qui a rejoint il y a quelques années "Les Grosses Têtes" de RTL.
Au passage, Amanda Lear revient dans son livre sur sa rencontre avec Dali, et condamne la récente exhumation de l'artiste surréaliste dans le cadre d'une recherche de paternité en Espagne.
"Dali n'aurait pas pu avoir d'enfant. Je suis bien placée pour le savoir. J'ai été sa maîtresse pendant près de vingt ans. Jamais de sa vie, il n'a pénétré une femme!". La muse s'empresse d'affirmer que le marquis de Pubol était impuissant...
Amanda Lear raconte aussi qu'Ivana Trump dont elle est l'amie, lui a confié que Donald Trump lui passait sa chanson "Follow Me" chaque fois qu'il s'apprêtait à lui faire l'amour.
A propos de l'autre rumeur récurrente qui fait d'Amanda Lear une transsexuelle, l'intéressée réaffirme qu'il s'agissait simplement d'un coup marketing soufflé par Dali.
"J'ai eu beau poser nue dans Playboy, scrutée à la loupe par des experts, la rumeur a perduré. Elle me survivra!", pronostique-t-elle.
"Depuis dix ans, j'ai enchaîné les pièces de théâtre. J'ai décidé désormais de prendre mon temps, à la campagne, entourée de mes chats", souligne Amanda Lear.
L'an prochain, à Rome, elle prêtera toutefois sa voix à la plante carnivore dans une reprise sur scène de "La Petite boutique des horreurs".
Amanda Lear assure qu'elle a fait une croix sur sa vie sexuelle et sentimentale : "le prochain mec qui me verra à poil, c'est le médecin légiste!".
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