Direct Link ...Caroline Perrin pour Voici.fr
Ça ne l’(a)muse pas du tout
La relation entre Amanda Lear et Salvador Dali n’est un secret pour personne. La muse du peintre est revenue sur les liens qui les unissaient et sur ce qu’elle détestait particulièrement chez lui.
Avant de devenir l’actrice que l’on connaît, Amanda Lear a croisé la route de Salvador Dali. C’est dans un club huppé de la capitale qu’elle rencontre dans les années 1960 le peintre dont elle deviendra la muse. Leur relation, longtemps ambiguë, a fini par ne plus laisser de place au doute quand, en 2015, l’actrice a évoqué leurs rapports. Et à en croire ses dires, il n’y a pas qu’avec l’artiste qu’Amanda Lear fricotait après avoir fait la connaissance de Gala, l’épouse de Salvador : « Elle s’inquiétait de mes chagrins d’amour, me payait à l’occasion un billet d’avion et me tirait les cartes […] Un jour, elle m’a confié qu’elle en avait un peu marre, au bout de 50 ans, de se taper ce vieux monsieur qui ne savait rien faire. »
Très à l’aise dans ce ménage à trois, c’est avant tout avec Salvador Dali qu’Amanda Lear a tissé des liens forts. Devenue muse du peintre, il tenait absolument à l’avoir à ses côtés. Mais le côté extravagant et caricatural de l’Espagnol a fini par agacer la jeune femme de l’époque : « Il jouait un rôle en public, confie-t-elle au site belge 7sur7. Il commençait à rouler des yeux, à toucher ses moustaches, il disait des conneries, c’était un numéro détestable. En tout cas, moi je détestais ça. » Et pour cause, Salvador Dali était un tout autre homme loin des frivolités du succès : « Dès qu’on se retrouvait en privé, que les journalistes étaient partis, il était adorable. C’était un amour, il était attentionné, il me récitait des poèmes. C’était Docteur Jekyll et Monsieur Hyde (sic) ». Amanda Lear était à deux doigts de ne plus pouvoir le voir en peinture…
La relation entre Amanda Lear et Salvador Dali n’est un secret pour personne. La muse du peintre est revenue sur les liens qui les unissaient et sur ce qu’elle détestait particulièrement chez lui.
Avant de devenir l’actrice que l’on connaît, Amanda Lear a croisé la route de Salvador Dali. C’est dans un club huppé de la capitale qu’elle rencontre dans les années 1960 le peintre dont elle deviendra la muse. Leur relation, longtemps ambiguë, a fini par ne plus laisser de place au doute quand, en 2015, l’actrice a évoqué leurs rapports. Et à en croire ses dires, il n’y a pas qu’avec l’artiste qu’Amanda Lear fricotait après avoir fait la connaissance de Gala, l’épouse de Salvador : « Elle s’inquiétait de mes chagrins d’amour, me payait à l’occasion un billet d’avion et me tirait les cartes […] Un jour, elle m’a confié qu’elle en avait un peu marre, au bout de 50 ans, de se taper ce vieux monsieur qui ne savait rien faire. »
Très à l’aise dans ce ménage à trois, c’est avant tout avec Salvador Dali qu’Amanda Lear a tissé des liens forts. Devenue muse du peintre, il tenait absolument à l’avoir à ses côtés. Mais le côté extravagant et caricatural de l’Espagnol a fini par agacer la jeune femme de l’époque : « Il jouait un rôle en public, confie-t-elle au site belge 7sur7. Il commençait à rouler des yeux, à toucher ses moustaches, il disait des conneries, c’était un numéro détestable. En tout cas, moi je détestais ça. » Et pour cause, Salvador Dali était un tout autre homme loin des frivolités du succès : « Dès qu’on se retrouvait en privé, que les journalistes étaient partis, il était adorable. C’était un amour, il était attentionné, il me récitait des poèmes. C’était Docteur Jekyll et Monsieur Hyde (sic) ». Amanda Lear était à deux doigts de ne plus pouvoir le voir en peinture…
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