Après I'm a photograph ... Je suis une photographie ....
Sweet Revenge ... Douce Revanche
Never Trust a pretty face ..... Ne vous fiez pas au beau visage
Un seul mot B.R.A.V.O !
Vous voici sous tout les panneaux publicitaires .
Lovée dans un plaid panthère, Amanda Lear reçoit dans sa loge couverte de velours rouge, un vrai petit appartement avec boudoir, salle de bains, cabinets laqués. « Pas mal, non? C’est La Montansier, la fondatrice du théâtre, qui a fait la déco », précise fièrement l’ex-égérie disco. Un cocon de star qui va comme un gant à Amanda, mais aussi à son double Divina, héroïne de sa nouvelle pièce au Théâtre des Variétés.
« Je joue une reine de la télé virée du jour au lendemain, obligée de repartir de zéro sur la TNT, où elle retrouve son ex, savoure la blonde au brushing flamboyant. Elle est odieuse, tyrannique, capricieuse, hystérique! » Du sur-mesure, écrit par Jean Robert-Charrier, le jeune directeur des Variétés, dont c’est la première pièce. « Il est parti de cette image qu’on a de moi, mais je ne suis pas comme ça! se défend Amanda. C’est une carapace, un rôle, et c’est aussi le cas pour mon personnage, qui va se révéler plus humain en réalité. »
Diva à la scène, pas tant que ça à la ville, jure celle qui posa pour Dali, sortit avec Bowie et anima la télé paillettes de Berlusconi. « Moi, on ne m’a jamais virée! s’exclame-t-elle lorsqu’on tente un parallèle avec la pièce. Ce doit être terrible d’être has been… J’ai choisi de partir. Pendant des années en Italie, j’ai animé des émissions pitoyables. Je n’en pouvais plus. » Sa dernière expérience : la version transalpine de « Danse avec les stars », où elle était jurée. « Je me faisais ch… » Si Amanda Lear revient un jour à l’écran, ce sera « pour un téléfilm ou une série », rien d’autre. « Frédéric Lopez veut que je fasse Rendez-vous en terre inconnue, je lui ai dit : Pas question, ou alors en Corse. »
Désormais, priorité aux planches. « Je ne vis plus que pour le théâtre », déclare la « jeune » actrice, plébiscitée par le public pour ses deux précédents essais, « Panique au ministère » et « Lady Oscar ». « C’est mal payé, fatigant, contraignant, et pourtant c’est magique, je préfère être là que d’être grassement rémunérée à animer des conneries en Italie », poursuit Amanda, angoissée malgré ses succès récents. « J’ai les jetons. Nicolas Briançon, le metteur en scène, est très exigeant, il veut que je devienne vraiment le personnage. Avec lui, je passe un cap. Il m’empêche de jouer avec mes mains, par exemple! »
Déjà épatée d’avoir autour d’elle un metteur en scène venu du théâtre classique, des comédiens « qui ont eu des Molières », comme Guillaume Marquet et Marie-Julie Baup, et de jouer « une vraie scène d’amour » avec le beau brun Mathieu Delarive, Amanda Lear se délecte de porter « cinq robes époustouflantes » dessinées par son ami Jean Paul Gaultier. « Même si on se ramasse, je sais qu’on aura fait de la qualité », sourit celle qui se verrait bien, à l’avenir, endosser « des rôles plus subtils, à la Tennessee Williams ». Qui s’y connaissait en divas.
Le Parisien Direct Link
Amanda Lear est "Divina" sur les planches du théâtre des Variétés
Amanda Lear est une des comédiennes de cette rentrée théâtrale. Elle prendra possession, dès demain, de la scène du théâtre des Variétés, dans "Divina", une star de la télé qui se fait virer et remplacer par un jeune talent.
Dans la peau d'une star de la télé
Amanda Lear est en super forme comme toujours. Folle de joie de se retrouver dans la peau d'une star de la télé qui se fait virer de son émission, et remplacer par une jeunette. Divina fera tout pour revenir dans cet univers impitoyable.
"Ce qui m'a plu dans le personnage c'est qu'elle est très volontaire, elle ne veut pas se laisser faire. Il y a aussi un côté vulnérable chez elle qui m'a aussi plu. Elle s'est créée un rôle de méchante, reine de la télé balançant des vannes à tout le monde et on s'aperçoit petit à petit qu'elle est restée amoureuse de son fiancé. Il y a un peu d'émotion et ça c'est nouveau parce que les pièces que j'ai joué précédemment, c'était plus de la grosse farce de boulevard", confie Amanda Lear.
Relookée par Jean-Paul Gaultier, Divina va tout faire pour revenir sur le petit écran avec une émission culinaire.
Amanda Lear, la croqueuse d'hommes
A une époque, elle était une super star du disco et une "croqueuse" d'hommes. Son succès elle l'explique par son naturel : "Je pense qu'il y a une certaine authenticité, je ne me la joue pas, je les fais rire, explique-t-elle, puis mon parcours les fascine parce qu'il y a eu Salvador Dali, David Bowie, donc c'est vrai que les gens que je rencontre aiment bien que je leur raconte tout ce parcours, tous ces gens que j'ai connu."
C'est avec rire et éclat de voix qu'Amanda parle d'une folle rumeur qui a circulé longtemps à son propos. Et non, elle n'a jamais été un homme et encore moins un transsexuel. "Les gens sont assez intelligents pour comprendre ce qui est vrai et ce qui est faux", estime-t-elle tout en avouant que cette histoire lui a été "très utile pour avoir de très beaux garçons" qui venaient vérifier la rumeur.
C'est avec rire et éclat de voix qu'Amanda parle d'une folle rumeur qui a circulé longtemps à son propos. Et non, elle n'a jamais été un homme et encore moins un transsexuel. "Les gens sont assez intelligents pour comprendre ce qui est vrai et ce qui est faux", estime-t-elle tout en avouant que cette histoire lui a été "très utile pour avoir de très beaux garçons" qui venaient vérifier la rumeur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire